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https://doi.org/10.11588/diglit.5197#0035
CRANES DE LÉVRIERS ET BOUCLE EN BRONZE. 27
L'après-midi fut employée à vider le caveau n° i. Nous épuisâmes
d'abord l'eau qui remplissait un tiers de la cuve. Nous trouvâmes au
fond les ossements du mort avec sept crânes de chiens lévriers (fig. 8)
et une boucle en bronze (fig. 9).
Fig. 8. — Crânes de lévriers trouvés dans Je sarcophage n° 1.
Une fois la cuve ainsi vidée, je la lis poser, au moyen de nos crics,
sur de gros rouleaux en bois de citronnier que j'avais fait tourner exprès ;
puis, je fis envelopper de feutre épais la partie nue de la moulure
inférieure de la cuve, afin que le câble dont on devait l'entourer n'y
fît pas de tache et n'en ébréchât pas les angles.
Fig. 9. — Boucle en bronze trouvée dans le sarcophage n" 1.
Comme le sarcophage se trouvait presque sur l'axe du tunnel, nous
n'eûmes qu'à nous servir des grands palans pour le tirer tout doucement
hors de son caveau et l'avancer ainsi jusqu'au milieu du vestibule. Là,
je le fis poser sur quatre dés on pierre que je fis mettre sous les quatre
angles, afin de pouvoir glisser par-dessous le chariot à patins qui lui
était destiné ; cette opération exécutée, je fis retirer un à un les quatre
dés, et le sarcophage se trouva d'aplomb sur son chariot.
L'après-midi fut employée à vider le caveau n° i. Nous épuisâmes
d'abord l'eau qui remplissait un tiers de la cuve. Nous trouvâmes au
fond les ossements du mort avec sept crânes de chiens lévriers (fig. 8)
et une boucle en bronze (fig. 9).
Fig. 8. — Crânes de lévriers trouvés dans Je sarcophage n° 1.
Une fois la cuve ainsi vidée, je la lis poser, au moyen de nos crics,
sur de gros rouleaux en bois de citronnier que j'avais fait tourner exprès ;
puis, je fis envelopper de feutre épais la partie nue de la moulure
inférieure de la cuve, afin que le câble dont on devait l'entourer n'y
fît pas de tache et n'en ébréchât pas les angles.
Fig. 9. — Boucle en bronze trouvée dans le sarcophage n" 1.
Comme le sarcophage se trouvait presque sur l'axe du tunnel, nous
n'eûmes qu'à nous servir des grands palans pour le tirer tout doucement
hors de son caveau et l'avancer ainsi jusqu'au milieu du vestibule. Là,
je le fis poser sur quatre dés on pierre que je fis mettre sous les quatre
angles, afin de pouvoir glisser par-dessous le chariot à patins qui lui
était destiné ; cette opération exécutée, je fis retirer un à un les quatre
dés, et le sarcophage se trouva d'aplomb sur son chariot.