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https://doi.org/10.11588/diglit.36875#0011
LA PYRAMIDE.
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Les fondations du gros œuvre sont rudimentaires. On se contenta d'enlever la couche super-
ficielle de sable et de galets et de niveler le sol à o m. 80 à peine au-dessous du niveau primitif.
Fig. 1. — Coupe de ta pyramide (dessin de M. J. P. Lauer).
Sur cette terrasse carrée, qui mesure îd m. yo de côté, et au milieu de laquelle les dalles
de toiture delà chambre formaient un massif saillant, était construit le noyau de la pyramide,
dont il ne reste aujourd'hui que la partie inférieure des quatre murs, sur une hauteur de d mè-
tres à peu près au-dessus du sol. L'intérieur a été si bien démoli qu'il forme un véritable enton-
noir au fond duquel on voit paraître les vestiges du caveau.
Les faces extérieures sont bâties, suivant la coutume de l'époque, en moellons de forme plus
ou moins régulière, réunis par un mortier d'argile et de sable; on ne peut mesurer l'épaisseur
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Les fondations du gros œuvre sont rudimentaires. On se contenta d'enlever la couche super-
ficielle de sable et de galets et de niveler le sol à o m. 80 à peine au-dessous du niveau primitif.
Fig. 1. — Coupe de ta pyramide (dessin de M. J. P. Lauer).
Sur cette terrasse carrée, qui mesure îd m. yo de côté, et au milieu de laquelle les dalles
de toiture delà chambre formaient un massif saillant, était construit le noyau de la pyramide,
dont il ne reste aujourd'hui que la partie inférieure des quatre murs, sur une hauteur de d mè-
tres à peu près au-dessus du sol. L'intérieur a été si bien démoli qu'il forme un véritable enton-
noir au fond duquel on voit paraître les vestiges du caveau.
Les faces extérieures sont bâties, suivant la coutume de l'époque, en moellons de forme plus
ou moins régulière, réunis par un mortier d'argile et de sable; on ne peut mesurer l'épaisseur