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https://doi.org/10.11588/diglit.3341#0052
44 LES R UÏNES
ARTICLE TROISIEME.
Des Pannes.
Pourquoi y avait-il quatre pannes, et quels étaient les soutiens qui les
soulageoient dans leurs portées ?
Les scellements R, fig. A, Planche V, sont ainsi qu'à l'art, précédent, la
preuve qu'il y avait des pannes en ces endroits ; et leur situation a-plomb des
murs et des colonnes nous fait présumer que les murs O pouvaient être élevés
jusqu'en R, et soutenir deux pannes dans toute leur longueur. Les deux autres
pouvaient être soutenues par les petits piliers dont il a été question à l'article
précédent.
ARTICLE QUATRIEME.
Des Chevrons.
Quel motif porte à assurer qu'il y avait cent vingt-deux chevrons ?
Les scellements S , fig. A et B , Planche V, comme aux articles précédents j
répondent à cette question. Il est impossible de contester que par leur nombre
et par leur forme, ces scellements n'ayent pas été destinés à l'usage que nous
conjecturons.^ Il en existe encore trente-quatre d'un côté, et trente-neuf de
l'autre.
Ces scellements sont un carré oblique, qui avait au plus deux décimètres sur
chacune des faces.
La face intérieure, qui recevait le dessous du chevron, est inclinée suivant
la pente du fronton, et celle sur laquelle était apuyée l'extrémité du chevron,
lui est perpendiculaire , ou est à angle droit (i).
Le nombre de cent vingt-deux chevrons est le résultat de la division générale
de la longueur totale de l'espace, compris entre l'intérieur des deux frontons,
en nous servant exactement des scellements existants, et supposant seulement
ceux qui sont entièrement détruits.
ARTICLE CINQUIEME.
Pourquoi la Charpente était-elle en bronze, et non en bois?
Cette question va se résoudre d'elle-même, si l'on fait attention à la
petitesse de toutes les entailles ou scellements du faîtage , des pannes et des
(i ) Le hazard peut-être nous a fait faite cette découverte. I Cet -mc;dent nous a fe;t porter nos observat;ons pIus l0;n j et
Etant montés sur cet édifice après un orage, nous nous som- de_la le tésakit que nous yenons <pexposer.
mes apperçus que la plupart de ces trous contenaient de l'eau. |
chevrons.
ARTICLE TROISIEME.
Des Pannes.
Pourquoi y avait-il quatre pannes, et quels étaient les soutiens qui les
soulageoient dans leurs portées ?
Les scellements R, fig. A, Planche V, sont ainsi qu'à l'art, précédent, la
preuve qu'il y avait des pannes en ces endroits ; et leur situation a-plomb des
murs et des colonnes nous fait présumer que les murs O pouvaient être élevés
jusqu'en R, et soutenir deux pannes dans toute leur longueur. Les deux autres
pouvaient être soutenues par les petits piliers dont il a été question à l'article
précédent.
ARTICLE QUATRIEME.
Des Chevrons.
Quel motif porte à assurer qu'il y avait cent vingt-deux chevrons ?
Les scellements S , fig. A et B , Planche V, comme aux articles précédents j
répondent à cette question. Il est impossible de contester que par leur nombre
et par leur forme, ces scellements n'ayent pas été destinés à l'usage que nous
conjecturons.^ Il en existe encore trente-quatre d'un côté, et trente-neuf de
l'autre.
Ces scellements sont un carré oblique, qui avait au plus deux décimètres sur
chacune des faces.
La face intérieure, qui recevait le dessous du chevron, est inclinée suivant
la pente du fronton, et celle sur laquelle était apuyée l'extrémité du chevron,
lui est perpendiculaire , ou est à angle droit (i).
Le nombre de cent vingt-deux chevrons est le résultat de la division générale
de la longueur totale de l'espace, compris entre l'intérieur des deux frontons,
en nous servant exactement des scellements existants, et supposant seulement
ceux qui sont entièrement détruits.
ARTICLE CINQUIEME.
Pourquoi la Charpente était-elle en bronze, et non en bois?
Cette question va se résoudre d'elle-même, si l'on fait attention à la
petitesse de toutes les entailles ou scellements du faîtage , des pannes et des
(i ) Le hazard peut-être nous a fait faite cette découverte. I Cet -mc;dent nous a fe;t porter nos observat;ons pIus l0;n j et
Etant montés sur cet édifice après un orage, nous nous som- de_la le tésakit que nous yenons <pexposer.
mes apperçus que la plupart de ces trous contenaient de l'eau. |
chevrons.