DE PAS TU M. 43
CHAPITRE CINQUIEME.
Essai motivé sur la manière dont le grand Temple était couvert.
ARTICLE PREMIER.
De la Charpente en général.
u
n faîtage, quatre pannes et cent vingt-deux chevrons, en bronze, cons-
tituoient la charpente qui soutenait la couverture de cet édifice. Cette cou-
verture était formée de grandes tables également en bronze , recouvertes l'une
sur l'autre, ou tellement réunies, qu'elles semblaient n'en former qu'une seule
dans toute l'étendue de la surface du comble.
Nous allons essayer de prouver les diverses parties de notre opinion. Nous
les établirons en questions , que nous résoudrons tour-à-tour.
i°. Y avait-il un faîtage, et comment était-il soutenu dans sa longueur ?
1°. Pourquoi y avait-il quatre pannes, et quels étaient les soutiens qui les
soulageoient dans leurs portées ?
3°. Quel motif porte à assurer qu'il y avait cent vingt-deux chevrons ?
4°. Pourquoi cette charpente était-elle en bronze, et non en bois?
5°. Enfin quelles sont les raisons qui font présumer que la couverture était
aussi en bronze , et non pas en grandes tuiles de pierre ou de marbre , ainsi
que les Anciens le pratiquaient, avec des masques ou des palmettes à l'extré-
mité de la saillie de la corniche, et a-plomb de chaque colonnes des faces
latérales ?
ARTICLE SECOND.
Du Faîtage.
Y avait-il un faîtage, et comment étah-il soutenu dans sa longueur?
Les entailles ou scellements Q, fig. A et B, Planche V, répondent eux-
mêmes à la première partie de la question : mais quant à la seconde , nous
conjecturons qu'a-plomb de chaque colonne intérieure, s'élevait un petit pilier
en pierre , Planche VI, qui soutenait un antrait sur le milieu duquel était un
poinçon supportant le faîtage, à l'aide de chevrons qui sans doute y faisaient
chacun l'office d'arbalétriers.
CHAPITRE CINQUIEME.
Essai motivé sur la manière dont le grand Temple était couvert.
ARTICLE PREMIER.
De la Charpente en général.
u
n faîtage, quatre pannes et cent vingt-deux chevrons, en bronze, cons-
tituoient la charpente qui soutenait la couverture de cet édifice. Cette cou-
verture était formée de grandes tables également en bronze , recouvertes l'une
sur l'autre, ou tellement réunies, qu'elles semblaient n'en former qu'une seule
dans toute l'étendue de la surface du comble.
Nous allons essayer de prouver les diverses parties de notre opinion. Nous
les établirons en questions , que nous résoudrons tour-à-tour.
i°. Y avait-il un faîtage, et comment était-il soutenu dans sa longueur ?
1°. Pourquoi y avait-il quatre pannes, et quels étaient les soutiens qui les
soulageoient dans leurs portées ?
3°. Quel motif porte à assurer qu'il y avait cent vingt-deux chevrons ?
4°. Pourquoi cette charpente était-elle en bronze, et non en bois?
5°. Enfin quelles sont les raisons qui font présumer que la couverture était
aussi en bronze , et non pas en grandes tuiles de pierre ou de marbre , ainsi
que les Anciens le pratiquaient, avec des masques ou des palmettes à l'extré-
mité de la saillie de la corniche, et a-plomb de chaque colonnes des faces
latérales ?
ARTICLE SECOND.
Du Faîtage.
Y avait-il un faîtage, et comment étah-il soutenu dans sa longueur?
Les entailles ou scellements Q, fig. A et B, Planche V, répondent eux-
mêmes à la première partie de la question : mais quant à la seconde , nous
conjecturons qu'a-plomb de chaque colonne intérieure, s'élevait un petit pilier
en pierre , Planche VI, qui soutenait un antrait sur le milieu duquel était un
poinçon supportant le faîtage, à l'aide de chevrons qui sans doute y faisaient
chacun l'office d'arbalétriers.