Provincial and Peivate collections, G-reat Britain.
133
Translation :
Amenemha-t born of Neter-mestu.
(XI.) A small alabaster slab engraven with seven vertical columns of hieroglyphs
containing the names of various cosnietics, oils, etc., each colunm of inscription terminating
in a small cup-like bollow. Size 4" u/\ath in length, by 2" »/,„* in width.
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Q-4
a—c
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O
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AAAAM
1
s
f
t
m!
W
Q
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Q
Q
(To be continuée!.)
The Larches, Westbury on Trym. August 1. 1888.
LES CARRIÈRES DE GEBELEIN ET LE ROI SMENDÈS.
PAR
Georges Daressy.
Presque à mi-chemin entre Esneh et Erment, les rochers de Gebelein se dressent à pic,
isolés, au bord du fleuve.1 Dans l'antiquité la ville de Q*^0™1® Anti, c'est-à-dire les deux
montagnes, exactement comme le nom arabe du lieu, s'étendait derrière ces rochers dans la
plaine qui va jusqu'à la chaîne lybique, distante du Nil d'environ un kilomètre et demi.2 La
nécropole, bien que présentant des tombes qui peuvent remonter à l'époque du moyen empire,
n'a guère livré jusqu'ici que des objets du temps de la décadence et des momies romaines.
La rive opposée n'avait pas jusqu'à présent attiré l'attention des archéologues. Il est
vrai que du fleuve on n'aperçoit aucun vestige d'antiquités : on a devant soi une petite
vallée fermée au fond par une montagne en calcaire très blanc, argileuse à la base, ayant
la même apparence que Déir-el-bahari.3
1) Le plus grand des rochers, celui sur lequel est le tombeau du Sheikh Moussa paraît s'être nommé
cp^czrzfj^j^ ou ^"""î ^ Q dapl*s 1111 fl'aSment de tègende tl'uu(i divinité, provenant des murs
d'un temple ptolémaïque qui existait en cet endroit.
2) Gebelein est peut-être Pathyris. Sur une stèle grecque qui en provient le proscynème est fait à
«Isis la déesse très grande de Pathyijs*.
3) Une fois au fond de la vallée, si on prend la ramification qui s'étend à droite, puis encore la
première dépression à gauche, on trouve de gros blocs d'albâtre, qui toutefois ne paraissent pas avoir été
exploités. Presque au sommet de la montagne il y a une grande grotte naturelle, ou plutôt un ensemble
de larges fissures causées par des mouvements du terrain, qui ont été habitées par les Arabes.
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Translation :
Amenemha-t born of Neter-mestu.
(XI.) A small alabaster slab engraven with seven vertical columns of hieroglyphs
containing the names of various cosnietics, oils, etc., each colunm of inscription terminating
in a small cup-like bollow. Size 4" u/\ath in length, by 2" »/,„* in width.
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(To be continuée!.)
The Larches, Westbury on Trym. August 1. 1888.
LES CARRIÈRES DE GEBELEIN ET LE ROI SMENDÈS.
PAR
Georges Daressy.
Presque à mi-chemin entre Esneh et Erment, les rochers de Gebelein se dressent à pic,
isolés, au bord du fleuve.1 Dans l'antiquité la ville de Q*^0™1® Anti, c'est-à-dire les deux
montagnes, exactement comme le nom arabe du lieu, s'étendait derrière ces rochers dans la
plaine qui va jusqu'à la chaîne lybique, distante du Nil d'environ un kilomètre et demi.2 La
nécropole, bien que présentant des tombes qui peuvent remonter à l'époque du moyen empire,
n'a guère livré jusqu'ici que des objets du temps de la décadence et des momies romaines.
La rive opposée n'avait pas jusqu'à présent attiré l'attention des archéologues. Il est
vrai que du fleuve on n'aperçoit aucun vestige d'antiquités : on a devant soi une petite
vallée fermée au fond par une montagne en calcaire très blanc, argileuse à la base, ayant
la même apparence que Déir-el-bahari.3
1) Le plus grand des rochers, celui sur lequel est le tombeau du Sheikh Moussa paraît s'être nommé
cp^czrzfj^j^ ou ^"""î ^ Q dapl*s 1111 fl'aSment de tègende tl'uu(i divinité, provenant des murs
d'un temple ptolémaïque qui existait en cet endroit.
2) Gebelein est peut-être Pathyris. Sur une stèle grecque qui en provient le proscynème est fait à
«Isis la déesse très grande de Pathyijs*.
3) Une fois au fond de la vallée, si on prend la ramification qui s'étend à droite, puis encore la
première dépression à gauche, on trouve de gros blocs d'albâtre, qui toutefois ne paraissent pas avoir été
exploités. Presque au sommet de la montagne il y a une grande grotte naturelle, ou plutôt un ensemble
de larges fissures causées par des mouvements du terrain, qui ont été habitées par les Arabes.
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