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Walicki, Michał: Materiały do "Katalogu malarstwa holenderskiego w Polsce"
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.12453#0159
MATERIAŁY DO „KATALOGU MALARSTWA HOLENDERSKIEGO W POLSCE"
153
27. Pieter de Grcbber, Alegoria trzech cnót
w drugim — krajobraz oraz funkcja nadwieszonej kotary. Typ twarzy Cimona
powtarza w pewnym sensie rysy młodzieńców, jakie znamy z obrazów de Grebbera
w zbiorach wiedeńskich Liechtensteina (ryc. 20) oraz z aukcji Mullera w listopadzie
1924, nr 47 (ryc. 21), czy innych (ryc. 22—27).
Sądzę, że w nowo odnalezionym dziele powitać można jeden z celniej szych
obrazów haarlemskiego artysty, w sposób bardzo szlachetny wzbogacający
wiedzę o nim i jego twórczości38.
MATÉRIAUX POUR LE „CATALOGUE DE LA PEINTURE HOLLANDAISE"
1. Hendrik Pot ou Horatius Paulijn?
Le Musée National de Poznań a, dans ses collections, un tableau de 78 X 109 cm qui provient du château de Bro-
nisławki près de Czarnków. Peint sur chêne, il est signé des lettres H. P. qu'on a crues, jusqu'ici, être le monogramme
de Hendrik Pot. Comme l'indiquent les détails architectoniques et les costumes, il représente une scène biblique à person-
nages nombreux. Jusqu'ici, il était catalogué sous le titre général de La Présentation des offrandes.
Une analyse plus détaillée a permis d'établir qu'il est dû à Horatius Paulijn (1644— ? ), un peintre hollandais
oublié, mais très intéressant qui a travaillé en Angleterre, à Hambourg et au Danemark où il a séjourné assez longtemps
(de 1676 à 1682). Comme on le sait, c'était un homme aux tendances des plus contradictoires qui a peint des scènes piétistes
à côté d'un grand nombre d'oeuvres obscènes.
Les tableaux de Paulijn sont rares. Pour autant qu'on le sache aujourd'hui, il s'est surtout consacré à la peinture de
genre. On connaît cependant quelques portraits qui lui sont dûs et deux natures mortes qui ont longtemps été attribuées
à Potter. Il a subi l'influence de F. van Mieris, P. Potter et H. Steenwick ainsi que celle, plus faible, de Netscher et Verelst.
Eclectique aux ambitions assez limitées, il jouissait d'une assez grande faveur, due plutôt au contenu sensuel et souvent
scabreux de ses oeuvres qu'à leur valeur artistique.
C'est un tableau signé de Paulijn qui se trouve aux réserves de l'Académie des Beaux-Arts de Vienne qui a permis
de déterminer l'auteur du tableau de Poznań. Le tableau de Vienne qui ne figure pas dans le catalogue d'Eitelberger était
connu de Frimmel et Wiirzbach. La disposition de ce tableau, la mise en page et la facture picturale sont si proches de
38 Np. obraz Grebbera pt. Granida i Daifilo (prywatna kolekcja holenderska), oparty podobnie na motywach pasto-
ralnych, nie wytrzymuje porównania z naszym obrazem. Por. S. J. Gudlauggson, Représentations of Granida in Dutch
Seventeenth-Cenlury Painting, cz. II, „Burlington Magazine", 1941, s. 350, il. 21.
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27. Pieter de Grcbber, Alegoria trzech cnót
w drugim — krajobraz oraz funkcja nadwieszonej kotary. Typ twarzy Cimona
powtarza w pewnym sensie rysy młodzieńców, jakie znamy z obrazów de Grebbera
w zbiorach wiedeńskich Liechtensteina (ryc. 20) oraz z aukcji Mullera w listopadzie
1924, nr 47 (ryc. 21), czy innych (ryc. 22—27).
Sądzę, że w nowo odnalezionym dziele powitać można jeden z celniej szych
obrazów haarlemskiego artysty, w sposób bardzo szlachetny wzbogacający
wiedzę o nim i jego twórczości38.
MATÉRIAUX POUR LE „CATALOGUE DE LA PEINTURE HOLLANDAISE"
1. Hendrik Pot ou Horatius Paulijn?
Le Musée National de Poznań a, dans ses collections, un tableau de 78 X 109 cm qui provient du château de Bro-
nisławki près de Czarnków. Peint sur chêne, il est signé des lettres H. P. qu'on a crues, jusqu'ici, être le monogramme
de Hendrik Pot. Comme l'indiquent les détails architectoniques et les costumes, il représente une scène biblique à person-
nages nombreux. Jusqu'ici, il était catalogué sous le titre général de La Présentation des offrandes.
Une analyse plus détaillée a permis d'établir qu'il est dû à Horatius Paulijn (1644— ? ), un peintre hollandais
oublié, mais très intéressant qui a travaillé en Angleterre, à Hambourg et au Danemark où il a séjourné assez longtemps
(de 1676 à 1682). Comme on le sait, c'était un homme aux tendances des plus contradictoires qui a peint des scènes piétistes
à côté d'un grand nombre d'oeuvres obscènes.
Les tableaux de Paulijn sont rares. Pour autant qu'on le sache aujourd'hui, il s'est surtout consacré à la peinture de
genre. On connaît cependant quelques portraits qui lui sont dûs et deux natures mortes qui ont longtemps été attribuées
à Potter. Il a subi l'influence de F. van Mieris, P. Potter et H. Steenwick ainsi que celle, plus faible, de Netscher et Verelst.
Eclectique aux ambitions assez limitées, il jouissait d'une assez grande faveur, due plutôt au contenu sensuel et souvent
scabreux de ses oeuvres qu'à leur valeur artistique.
C'est un tableau signé de Paulijn qui se trouve aux réserves de l'Académie des Beaux-Arts de Vienne qui a permis
de déterminer l'auteur du tableau de Poznań. Le tableau de Vienne qui ne figure pas dans le catalogue d'Eitelberger était
connu de Frimmel et Wiirzbach. La disposition de ce tableau, la mise en page et la facture picturale sont si proches de
38 Np. obraz Grebbera pt. Granida i Daifilo (prywatna kolekcja holenderska), oparty podobnie na motywach pasto-
ralnych, nie wytrzymuje porównania z naszym obrazem. Por. S. J. Gudlauggson, Représentations of Granida in Dutch
Seventeenth-Cenlury Painting, cz. II, „Burlington Magazine", 1941, s. 350, il. 21.