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Schadow, Johann Gottfried
Polyclète ou théorie des mesures de l'homme: selon le sexe et l'age ; avec indication des grandeurs réelles d'aprés le pied du Rhin (Text) — Berlin, 1866

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https://doi.org/10.11588/diglit.4903#0006
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VI

Viele Bücher und Abhandlungen
sind geschrieben von der Schönheit,
der Anmuth, dem Genie, der Einbil-
dungskraft, von der Originalität, dem
Style, der edlen Einfalt, der stillen
Grösse, vom Geschmack und auch vom
Colorit und der Composition, nach de-
ren mit Aufmerksamkeit geschehenen
Durchlesung ein bestimmtes Wissen
schwerlich erfolgt; obwohl man hier-
mit das Gute und Nützliche derselben
nicht verkennen will.

Der von Hofrath Hirt aufgestellte
Grundsatz, allgemein geltend für die
bildenden und redenden Künste, näm-
lich die Charakteristik, dünkt uns je-
doch hier der klarste und einzig zu-
verlässige Leitfaden, und wird jetzt,
wo die Analyse der Körper, die Kennt-
niss des Wahren, die Neigung zum
Natürlichen herbeigeführt hat, dieser
Grundsatz der allein geltende bleiben.

Es giebt Gegenstände, wo die
Schönheit oder das Ideal, andere, wo
die Anmuth weder in der Gestalt,
noch in der Kede, angebracht werden
können, und geschieht es, so entsteht
Falsches, Geziertes und der Natur des
Gegenstandes Unangemessenes. Die
Sucht, elegante Formen in allen Ge-
staltungen anzubringen, ist wohl der
Grund der vielen falschen und ma-
nierirten Kunstwerke von sonst genie-
vollen Künstlern.

Beispiele zum Gesagten beizu-
bringen, halten wir für unsere Leser
überflüssig, führen aber über zu den
Mitteln, Formen zur Anschauung dar-

II existe un grand nombre d'ou-
vrages qui traitent de la beauté, de
la grâce, du génie, do l'imagination,
de l'originalité, du style, de la sim-
plicité, du grandiose, du goût, enfin
du coloris et de la composition; mais
leur lecture ne conduit pas à une
science certaine, quoique d'ailleurs
leur mérite ne soit pas à mécon-
naître.

Le principe que Mr. Hirt a établi
sous le nom de principe de l'indivi-
dualité caractéristique et qui est éga-
lement applicable aux arts do l'ima-
gination et aux arts imitatifs, nous
semble seul pouvoir être adopté comme
guide: et aujourd'hui que l'analyse du
corps de l'homme nous a conduits dans
la route de la vérité, et nous a inspiré
le goût du naturel, nous avons droit
d'attendre que ce principe sera uni-
versellement adopté.

Il y a des objets dans lesquels la
beauté ou l'idéal, d'autres dans les-
quels la grâce des formes et du lan-
gage seraient totalement déplacées;
et si l'on veut néanmoins leur appli-
quer cet idéal, on sort nécessaire-
ment de la vérité, et l'on tombe dans
l'affectation. La manie de mettre par-
tout de l'élégance a induit une foule
d'artistes de mérite à produire des
ouvrages maniérés et peu naturels.

Il nous paraît inutile d'alléguer des
exemples : nous passons aux moyens de
reproduire avec vérité les formes aux
yeux do l'observateur capable d'en,
 
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