ET DE M. DE VOLTAIRE.
celles de votre esprit. Assurez la marquise de mon ““
estime, et soyez persuadé qu’on ne saurait être plus
que je ne le suis,
votre très-fidèle ami,
EÉDERIC-
LETTRE C X X I.
DE M. DE VOLTAIRE,
AvriJ.
MONSEIGNEUR,
~Vo T R E idée m’occupe le jour et la nuit, Je rêve
à mon prince comme on rêve à sa maîtresse.
Temptls trat quo prima quies mortalibus œgris
Jncipit, et do no Divûm gratijjima. serpit :
In somnis ecce ante oculos pulcherrimus héros
Visus adejje mlhi
Je vous ai vu sur un trône d’argent maiïif que
vous n’aviez point fait faire, et sur lequel vous
montiez avec plus d’affliction que de joie.
Plus frappé de la triste vue
D’un père expirant devant vous,
Que de la brillante cohue
Qui s’empressait à vos genoux.
Beaucoup de courtisans qui avaient négligé de
celles de votre esprit. Assurez la marquise de mon ““
estime, et soyez persuadé qu’on ne saurait être plus
que je ne le suis,
votre très-fidèle ami,
EÉDERIC-
LETTRE C X X I.
DE M. DE VOLTAIRE,
AvriJ.
MONSEIGNEUR,
~Vo T R E idée m’occupe le jour et la nuit, Je rêve
à mon prince comme on rêve à sa maîtresse.
Temptls trat quo prima quies mortalibus œgris
Jncipit, et do no Divûm gratijjima. serpit :
In somnis ecce ante oculos pulcherrimus héros
Visus adejje mlhi
Je vous ai vu sur un trône d’argent maiïif que
vous n’aviez point fait faire, et sur lequel vous
montiez avec plus d’affliction que de joie.
Plus frappé de la triste vue
D’un père expirant devant vous,
Que de la brillante cohue
Qui s’empressait à vos genoux.
Beaucoup de courtisans qui avaient négligé de