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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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https://doi.org/10.11588/diglit.2794#0534
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A-

GA K ETTE DES AROENNES

10 Septembre 1tl»

Grave Incendie & Vilry-le-François.

On mande de Vitry-le-Françoi» au « Petit Parisien » :
_^ Un violent incendie «'est déclaré avant-hier »oirt. veri
sept heures, dans la boulangerie Boibary, Petite-Ilue-de-
Frignicourt. Le feu-i'est communiqué aux Immeubles voi-
■im portant les numéro» n, i3, 17, 19, ai. La boulangerie
Boibary a été entièrement détruite, ainsi que l'immeuble
eontigu, appartenant à M" Picord. Les autres maisons ont
été sérieusement endommagée?.

Les dégita dépaseci aient cent mille francs.

Les cocaïnomanes.

On mande de Lyon au «Petit Parisien»:

Le service de la «ûrelé vient de solutionner brillamment
une affaire de vente de stupéfiants.

Tout récemment, on arrêtait des demi mondaines en
flagrant délit d'achat da cocaïne. Un nid de cocaïnomane»
ayant été découvert, la police a saisi plusieurs envois de poi-
tons, /ails à des militaires et des femmes galantes, par un
pharmacien de Narbonne, nommé Mnury.

Les acheteur» envoyaient en billets de banque le priât de
leur commande, à raison de 5 francs le gfamme.

On a surpris une logeuse, la femme Gautheron, alors
que, pour le compte d'intoxiquées, elle retirait de sa boite
des envoi» de poison.

Une volumineuse correspondance ayant été saisie à Nar-
bonne en vertu d'une commission rogatoire, on peut sup-
poser que d'autres arrestations vont suivre.

Que faut-Il croire ?

Le monsieur qui lit deux journaux — sauf quand l'un
de oeux-cl l'appelle 1' « Œuvre »,.. — doit être parfois
fort perplexe.

Celui, par exemple, qui, achetant 1' « Echo de Paru»
de lundi y trouva cette phrase :

Tous lei objectift ont été atteint», et mime dépassât.

S'il avait ouvert le « Matin » du même jour, il y aurait
trouvé, à propoa de la même opération :

Tous le» objectif» ont été atteints, sans qu'aucune unité
Ut cherché à let dépasser.

C'est clair... (L' « Œuvre ».)

LE '-' SOLDAT AVANTAGEUX „

Je l'ai rencontré le héros, u beau parleur » qui, (fo-
rint un auditoire médusé par sa faconde, met en icàne

four la-millième fois, en retroussant ia moustache,
assaut où il te,couvrit de gloire par d'inoubliablei
exploits 1....

U était là, «n plein Paris, dans un petit café qu'eût
aimé Tris Un Bernard, à califourchon sur une chaise,
le képi sur ]a nuque", détaillant ion récit d'une voix
•faire et d'un geste assuré. Sa verve joviale provoquait
de fréquenta éclata de rire. Les habitués prêtaient
l'oreille, et les joueurs de jacquet amortissaient le choc
de leurs disques de buis pour ne, pas couvrir la von
du narrateur. Derrière lui, la serviette k l'aisselle, le
garçon béait d'admiration et pour ne rien perdre de ce
beau morceau d'éloquence, la caissière, se-penchait en-
tre les colonnes de soucoupes et l'urne d'argent où
fleurit un bouquet de petites cuiller*....,

-Mon orateur était venu, honnêtement, «arroser»
la Croix de guerre d'un dèf ses camerades, un jeune
fusilier marin à l'uniforme fripé et détaint, au visage

énergique, tout coulure de cicatrices, qui, loin d'être
jaloux du succès de son hâte, l'écoulait avec la plus
évidente1 considération. Quelles fantastiques prouesses
pouvait-il donc raconter pour éclipser au?si complète-
ment un tel auditeur ?. .. . *

Avide de l'apprendre, je m'approchai respectueuse-
ment et fus'stupéfait de constater que mon foudre de
guerre était un pacifique u auxiliaire k n'ayant jamais
touché uu fusil et no s'étant pas éloigné un seul jour
de la tranquillp caserne où, depuis treize mois, il
copiait des u étals » I C'était tout simplement la
chronique lnirnot inique de son dépôt qui enthousias-
mait son entourage.

Je poussai un soupir de soulagement. Rien ne me
gelait plus l'image sî pure des héros silencieux., Je
leur demandai intérieurement pardon d'avoir pu croira
un instant à la résurrection possible du malamore de
taverne. «

Ce n'est plus qu'à l'arrière que peuvent se perpétuer
les classiques anecdotes militaires, 1rs traditionnelles
plaisanteries de caserne gui font les gaietés de l'esca-
dron ou de la compagnie. Le colonel Ramollot, le
capitaine Ronchonnot, le Don Juan defl nourrices ne
sont pas partis le jour de la mobilisation : ce sont des
«inaptes», ils sont restés dans les dépôts!....

A ce riche et brillant rép itoiic, que peuvent
opposer les vrais soldats ? Us n'ont plus d'histoires Je
chambrées depuis qu'ils -conclu nt sous les étoiles, lis
ont fait de l'héroïsme une monnaie coûtante et de h
gloire un aliment quotidien aussi banal que la boule
do ton. Ils n'oseraient jamais réclamer le silence pour
pnilrr des tranchées( des canons, des obus et «uli ?s
sujets que le zèle de nos publîciatei a fait tomber de-
puis longtemps dan3 le domaine public. Tous le»
académiciens ont décrit leurs impressions mieux qu'ils
ne sauraient le faire !

Ils n'ont qu'une seule revanche, les vrais soldats ;
c'est leur silence, qu'ils ont appris à- sentir vivre et
vibrer en faco du danger, ce silence plus éloquent
qu'aucun discours, vaste comme la vie et profond
comme la mort I

LA GAZETTE REGIONALE

DES AVIONS ANGLAIS BOMBARDENT UNE
AMBULANCE.

Le ai août 1916, dans la soirée, quatre avions anglais
survolèrent les localité» françaises de C... et E..., où la
population français reste très nombreuse. Soudain ils
lembièrent avoir découvert quelque chose. Sur un signal
de leur chef, ils firent volte-face et filèrent dans la direc-
tion de la ligne ennemie. Peu après, il» revinrent; mais
ils étaient dix-huit cette fois. Leur objectif était la localité
de E.-.., où ils jetèrent au moins quinze bombes

Le fait que les aviateurs anglais n'hésitent pas à bom-
barder do» localité» à population française, est en somme
une affaire a vider entre Anglais et .Français. Mais quand
ces prétendus défenseurs du droit des gens jettent leurs
bombes sur des ambulances, le fait prend un intérêt plus
général.

Lors du raid en question, six bombes ont été lancée»
sur le lazaret de campagne a I .., dont quatre tombèrent
à moins de 5o mètres.

Qu'on ne dise pu que le lazaret n'était pas'reconnais-
sable comme tel. Les bâtiments servant d'ambulance k E...

1ÈRE HEURE

Service spécial de la « Gazette des Antennes »

Berlin, 9 tcplcmbre 1910 [officiel},

Un sous-marin allemand bombarda la ville et le port de
Malien Ha, u la côte roumaine de la nier Noire.

Boite, 9 septembre 1916.

À propos du combat qui a eu lieu au Nord de Donbric
entre troupes bulgares et russes la 9 Kumbana » apprend :

Une brigade russe, Secondée par de l'infanterie et de l'ar-
tillerie roumaine, attaque en rangs serrés deux bataillon»
bulgares. Le fui meurtrie! de ceux-ci faucha toute la bri-
gade russe, tandis que les Roumains furent pris de panique
et s'enfuirent, Tout le terrain est couvert de cadavres rus-
- se». La colère des Bulgares était particulièrement grande,
parce qu'ils avaient trouvé dans la caserne de Donbric 60 ca-
davres d'innocents habitants.

Pan-, a seplumbre l"hi

Le ministres des finances, M. Ribot, présenta au comité
h la commission du budget un projet de crédits futurs. 11
réclame 8 milliards 3/17 millions (ta francs ponr je dernier
trimestre de l'année iqifl. Les crédits accordéVdepuia le
début de la guerre se chiffrent à Ci milliards,

sont situés a l'cvliemitc de l'endroit. Ils ront séparés du
reste de la localité. En temps de paix déjà, ils servaient
d'hôpital pour les mineurs de la fosse M... Les Anglais ne
peuvent ignorer ce fait.. Les aviateur» ne peuvent d'ail*
leurs s'excuser en disant qu'ils n'ont pu vu la croix rouge
de très grandes dimension», qui inarque le toit de chaque
bâtiment. En outre, Ja tour du puits poile le drapeau de la
Croix-Rouge, visible de loin.,

Le nouvel exploit anglais n'a occa*ionné que dea-dé-
gâls militaires in-ignilianls, mais il fait, hélas, ù part
quelques ble-sés légers, une victime parmi la population
civile ; un vieillard de 83 ans qui paya de sa vie la visite
des alliés de son pays.

UNE HISTOIRE DE LAPINS.

(Amusante — et vraie l) •

Dans une petite viile française de la Meuse, un con-
trôle des ldissez-pas°er f eu lieu dernièrement, sur les dif-
férents pont? et chemins de sortie. Un homme fut arrêté,
porteur de six lapins voles. H ne voulut, d'abord, donner
aucun renseignement but la provenance de son a butin ».
Mais peu d'instant» après, un cheminot vint déclarer
au bureau de police qu'on lui avait précisément yo\è lix
lapin» ; il fut enchanté, comme on pense, d'apprendre
qu'ils étaient retrouvés. Mais sa joie se refroidit quand il
apprit qu'une femme s'était également présentée, décla-
rant qu'on lui avait aussi volé ?ix lapins.

L'affaire fut cependant tirée au clair,, car il s'agissait
de» mêmes lapins, que le cheminot et la bonne dame, qui
habitent une seule et même maison, considèrent évidem-
ment comme leur propriété commune. Comme il était
grand temps que l'employé de chemin de fer courut 1 ion
train, on ne put approfondir davantage ce petit cas de
communisme.

BESMONT (Aisne). . -
Nous apprenons, sans en être nullement étonnés, que'
M. le vicomte de La Tour du Pin, dont la résidence habi-
tuelle du temps de paix est Paris, se trouve actuellement
sous les armes, qu'il a reprises au premier-jour de la
guerre en même temps que ses frère» U» comte Jacques de
La Tour du Pin et le comte François iombé, comme la
« Gazelle » l'a dit, au champ d'honneur.

Berlin, 9 septembre

La ii Onze lie de Vo«s » apprend de Londres que l'Angle,
terre fait li s plus grand» effort» pour combler ses pertes * -
suhji s sur le front Ouest. Tous les gouvernement» coloniaux
ont été avisés que toutes "les réserves disponibles doivent
être tenues prêtes à la disposition du commandement anghù,.

\ icnni , 0 septembre 10IB. i

D'après une statistique particulière, U-s Italiens ont perdu
entre le i5 cl le 3i août, le» officiers suivant» : a généraux
8 colonels,et lieutenant-colonel-, 7 commandants, io capû
tain es, 33 premierlieutenanls et 157 lieutenants.

Unii , 'J septembre 1810.

Le 1. Bund » de Reine annonce que d'après le u HusilU
Iiuulid le vapeur japonais <i Asagi » a sombré à la"côte"
de Huk'kaido. L'équipage comptait £40 hommes.

Copenhague, 3 septembre Jfllfl.

Dans un bref avenir line grande conférence aura lieu, a
Si -f'elcrabourg, pour discuter le, problème du ravitaille-
nient du pays en vivres i5 gouverneurs et les présidents"-
des Scmstwos y assisteront.

Calendrier rétrospectif île la grande

iO septembre f9lù. —» Les hauteurs de Pieskd {à la Zel-
u inuka i sont enleveeti d assaut ; OUunkû est pria. -

// septembre (9/5. — bkidel et NieUasze sont*enlevée»
deliinlivunenl, Lawna esl pria d'assuut , la garde russe est'
culbutée nu' Nord-Oue-t de Wilna. Le passage de la Zel-
wiaulta. est forcé a plusieurs endroits.

' LE MIROIR DE LA PRESSE FRANÇAISE

Les fausses nouvelles, Us informations tendan-
cieuses sont une arme de propagande do'nt la presse
Jrançuite abuse vraiment. Pour, s'en rendre compte,,
il suffit de reiire*a\x jpur le jour, ce que les grands
quotidiens de Paris écrivaient l'an passé. Les quelques
extraits que la « Gozctte des Ardeiiucs » reproduit ri-
gulièremint dans-son n Miroir rétrospectif» sont~ime
contribution modeste à celte utile leçon d'Histom

tû septembre 1915.
Extrait de V « Intormazione » (de Home) publié pur
1' a Echo de Paris u :

NOURRIS PAR DES PILULES. — Pur ordre de l'autorité-
militaire supérieure, U sera distribué pour la première fois,
le 15 septembre, â tous les soldats allemands qui combattent
dans- divers secteurs, une boite de pilules, spéciales,
préparées dans des laboratoires allemands de chimie. Cs»
pilules sont destinées a remplacer la ration quoditienne da
vivres. Pour le succès de J expérience, il sera absolument
interdit aux troupes de prendre une autre Jiourriturt
pendant le délai de 24 heures.

// ieplembre 1915.
Extrait du « Petit Parisien » :

EN DEPIT DE LEURS SUCCÈS. — En dépit de leur»
succès, les commandants russes ingèrent prudent toulefoi»,
en raison de la supériorité de l'autiHoiie ennemie, de réoc-
cuper leurs anciennes positions sur le àçreth. Bien que cetlt
victoire ait délivré la région de Dubno d'une mea^e mime*
dtale développement, les.Ruties n'en sont pat moins dans
bi nécessité d'occuper des positions, Hf-aveUes sur l'IXwa et
le Goryu supérieur, en raison des opérations frontales da
TenaemL

La « Gazette » continue â s'acquitter d'un triste devoir qu'elle s'est proposé d'accomplir. Il s'agit' de la publication d'une liste de soldats français morls et
inhumés derrière le front allemand. Nous donnons, aussi précises que possible, les informations qui on^ pu être recueillies avec l'aide des autorités militaires et cictles. La oà
il ne nous est pas possible de donner les noms des soldats enterres, nous précisons*tous les détails dont nous disposons : régiment, matricule, etc. Nous ferons remarquer qu'il
ne nous est pas possible de donner aucun renseignement supplémentaire.

LISTE N° 17 DE SOLDATS FRANÇAIS INHUMÉS DERRIÈRE LE FRONT ALLEMAND

1 la Maille le Lorraine

du 19 au 20 Août 1014

BRUDERDORF.

. (Suite.)

Tombes n* iS. — Pris des tombes n* 3 (sud-ouest du a* i*)>
. Formation n'ayamt pu iras staiub.

Giusonnie Fmlls.
Guzal Louis.
Cbatanf Pierre.
Beaiau Pierre.
Etpècha Victor.
Voncel Denis.
[Vache Henri.
Captai Henri.
Claux François.
Dflblanc Justin.
Counord Félix,
•oulsc Daniel,
Vaieilles Daniel.
Uno tomba contenant ua
fkt, Identlti inconnue.

Bonne Henri.
Vidal Firmin.
Longeon Joseph.
Jaquiu Jean.
Miolane Jean.
Lagrarigno André.
Betrand Pierre.
Lhassauy Pierre.
Cornède Jean.
Hydroud Pierre.
Abagnac Amédée.
Jousien Antonio.
Bdlaud Irénée.
•oU Frousselier.

Tombes n* 19. — Chemin vers Schneckenbtuch.
Formation h'atant pu «tris è i allib.

Âooouturier Hugo,
Chassende Andrt.
IVayieet Pierre,
"louguet Jules.
"Tisserand André.
FeJgines Victor.
Fouruet Eugène.
Ceppe Jean,
•onnet Jules.
E>uboia Léon,
stonneviale Hilarion.

Ligicr Victor.
Bonnet Théofred.
Barbslat François.
Fahre Jean. , -
Derasoux François.
Miremont Marc.
Bathanet Georges.
Brasaier Jean.
Argaud Jean.
Serre Jean.
Castillon Roger.

fçmbu n' 20. — A fauche de la roule Hochwalich-BOM,

joiucàttoh h'aTaÏt pu ftrmi itadl1k.

iooJbv Henri,
fcouchy Emmanuel,
iàntignao Pierre,
■talon Antoine.
Bexard Félix.

Sia.ua Jean-Baplisle.
Serre Eugène.
Planche Adolphe.
Pucch Noël.
Faura Antoine.

Jeanjcan Urbain.
Marquet Camille.
Roux Edouard.
Amblard Henri.
Ardaillet Jean.
Cellier Alfred. *
Genevier Jean.
Moncyron Louis.

Mapuis Camille.
Pellou Frédéric.
Duthel Jean..
Paillet Augustin.
Gauthier Antoine.
Lebrun Joseph.
Ferriol Gilbert.
Brûger Pierre.

BUEHL.

Tombes n" 4. — Chemin allant à la Peterskapelle, côté droit.

Despoulles Félix, inf. 98.
Siret Pierre, -infant. 58.
Braa .Antoine, infant. 98.
Meténïèrc, infant. g8.
Silvestre'Octave, Inf. oS.
Uarthouré Luc, infant. 98.
Vélécitat Jean, infant. 98.
Grand Jules, infant. 16.
Varciat Pierre, infant. 08.
Gacade Etienne, inf. 16.
Ralnaud Jaeques, Inf. 08.
Grayel Pierre, inf. j8.
Parbnnet Jeun, Inf.-98.
Glrardin, infanterie 98.
Tarasie Eugène, inf. 86.
Gronou Jean, inf. 86.
Miolane François, inf, 86.
Bastide, infanterie 86.
Gourdinel Jean, inf. 86.
Feuvre Félix, inf. 86.
Tiisandier Jean, inf. 86.
Degré Marcel, Inf. i3.
Tixier Barthélémy, Inf. 86.
Peret Maurice, inf. 86.
Simon Félix, inf. 86.
Roche Jean, inf. 86.
Veret Antoine, inf. 86.
Muury Maurice, inf. Sù. ^
Serre Antoine, iuf. 86.
Moret Aristide, Inf. i3.
Bar^e Jean B., inf. 98.
Guillol Félix, inf. 98.
Tamea Jean, inf. 98,
Gravière François, inf.
Parecy Albert, inf. 98.
Getit Jean, inf. 86.
Perlut François, inf. 86.

86.

Moilou Paul, inf. 98.
Mollou Claude, inf. 98.
Marcellier Gilbert, inf. 98.
Geradot Alfred, inf. 98.
Charbonnet Jean, inf. 86.
Chanet Joseph, inf. 86.
Pallub Auguste, inf. 86.
Epinat François, inf. 98,
Duvorges Jean, inf. 98.
Meeynard Mathur., inf. 98.
Thimon Benoit, inf. 98.
Pixeyre Jean, inf. 86.
Chstelin François, inf. 85.
Richard Camille, inf. 85.
Moudain Emile, inf. 85.
Sajjnon Gabriel, inf. 85,
Revallier Emile, inf. 95.
Traiiuou Jean, inf. 96.
Lauriat F., inf. 98.
Luhrin Laurent, inf, 98.
Sontt François, inf, 98.
Delorme Mathieu, inf. 86.
Sfegouj ChnrleCj inf. 98.
Mothey Henry, inf. 98.
Plasse Jean, inf. jS.
Ëasaeigijf Louis, inf. 98.
Jallal Charles, inf. 98.
Laueigqucr Louis, inf. 98,
Flaehier Antoine» inf. 98.
Jargeille Stéphane, inf. 98.
Serre Auguste, inf. 98.
Parrût Jean, inf. 98.
Guillou Albert, inf. 98.
Serre Michel, inf. 80.
Talou Antoine, inf. 86.
Richard Antoine, inf. 98.
Tabntin Jean, Inf. 98.

Sechaud François, inf. 98.
Gavy» Georges, inf. 16.
Riom Franç-oi», inf. 98.
Lassablière -Jean, inf. 86.
Faure Joseph, inf. 86.
Psrrand François, inf. 98.

Ballerat Philippe, inf. 98.
Laulrec Louis, inf. 98.
Dornadieu M., inf. 98.
Tontoieille Jacques, inf. 98.
Allihert Henry, inf. 98.
Lanille Louis, inf. 98.

Mathevou Jean, formation n'ayant pu être établie.
Ozelle Jean, formation n'ayant pu être .établie.
Hardouio Georges, formation n'ayant pu être établie.
Cinq tombes contenant cinq soldats du 86* d'infanteri»,

dont l'identité est inconnue.

Vingt-trois tombes contenant vingt-trois lold&ta du 98'd'ln-.
fanterie, dont l'identité est inconnue.

Une tombe contenant un soldat du 11* chasseur, dont l'iden-
tité est inconnue. "

Deux tombes contenant deux soldats, un du 86* et un du 96*
d'infanterie, dont l'identité est inconnue.

Deux tombes contenant deux soldats, un du 96* et un du 86*
d'infanterie, dont l'identité est inconnue.

Trois tombes contenant trois soldais, deux du 98* et un du
86* d'infanterie, dont l'identité est inconnue.

Tombes n' 5. — Près du mur, derrière la Peterskapelle.

Dcpoutio, capitaine, infanterie 86.
Renaudire, lieutenant, infanterie 98.

Formation n'aïam pu éthb établie.

Cluillier, lieutenant, Paris.
Sentze Joteph.
Tousung Paul.
Horbard Antoine.
Goudeioux.
Coicoux Alphonse.
. Tournier Jean.
Vasny Antoine.
Maillée Gustave.
Marcel Antoine.
Verdier P.
Cherzol Jean.
Feilsou Toussaint.
Dalhary Etienne.
Cubizolles Joseph. -
Cubizollcs Pierre.
Une tombe contenant un Mil!

inconnue».
Deux lornbe( contenant deux

et identité Inconnues.
Trois lombes contenant trois

inconnue?.

Montayne Jean.
Dury Antoine.
Houbert Jean. ' -

Souve Jean.
Fontaine Jean.
Tourangin Octave.
Monier Ai uste.
Reyniaud Pierre.
Coudcgras Benoît.
Babcrt Joseph.
Surron Jean.
Silvam Jean.
SanicJ F'rançois...
■Masliak Charles.
Yar^ou Delair.
Heuvier Antoine,
i-oflicier, formation et identité

soldats d'infanterie, formation

soldats, formation et identité

Tombas n* 6, — Dons le pré, entre la Ptterakapelfr

et le champ de l'exercice.

Formation- m'avait pu êthe ktabliv.

Brunei Loui», lieutenant.
R'ouquet Jean.
Michel Pierre.
Bernard Jacques.
Tirjea Louis.
Martin Félix.
Delgelier Jeaja.
Muchallet Pierre.
PeLillecny Charles.
Star ou François.
Coutier Henri.
Jardy Laurent. "
Marchand François.
Rasle. _
Monat Jean.
Limousin Claude.
Rousseau Emile.
Délabre Henri.
Routsel Alexis.
Sabot Paul.
Mazerol Marcel.
Faure Jean.
Drevet Jean. _
Prange Pierre.
Saugère P.
Coz Gabriel.
Sourdo Jean.
Irndin Jean.
Vazaille Auguste.
Charbonnier Benoît.
Olivier Antoine.
Roche fvonne.
Ortonne Antoine.
Lapoite- Jcarj.
Sartre Jean.
Jureas Albert.
ComLa-sou Pienc.
Satre Joseph.
Redon Auguste.
Gras Louis.

Pregay Jean. *
Melennier Pierre.
Coffry Joie».
Merial Louis.
Betîaux François.
Poutedoux François
Souillât François.
Lavier Eugène.
Gonimard Baptiste.
Vexe Léon.
Beynaud Gilbert.
Gillet Marcel. g
Guinainand Pierre.
Boissière Claude.
Léondry Françoi».-
Soury Jean.
Du Pont Jean.
Pardon Tony.
Morel Henri.
Moiriat Georges. '
Marchas Pierre.
Deasouse Pierra.
Faure Jeun-Pierre.
Revollou Jean, *
Planche Louis.
Mayaud Etienne.
Mitai Auguste.
. Savaye Lucien.
Polonuia Antoine."
Mallet Louis.
Vinsent Paul.
Dauthouy Claude.
Vindiollet François
I astique Alex.
PeUIer M.
Mdslc. Lucien.
Lemain l'-né.
Lacroix Louis.
Carton Claude.
Deigoura Pierre.

d'infanterie,

Une tombe contenant un sous-offïcicr du f

dont l'identité est inconnue.
Huit tombes contenant huit soldais du 98* d'infaDterA

dont l'identité est inconnue.

(A suivre.)
 
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