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P E L O P S.
mx GreCs que la <ville nc feroit iamaüprist, deuant suils eusftent sait apporter en leur camp l’arc d’Herculcs,
&l’os de Telops. Tarquoy ilsy ftrent'venir PhiloBetes, &l'vne des efftaules de Pelops] qni leur sutamenée de
Pifte. Mais au retour, le nauire quï la remportoitfteperditpar sortune de mer, empres lifte dc Negrepont. L ong-
temps apres, certain pefchcurde l’Eretne nommc Damarmenm, ayant lettéfes flets en la mer, tira cetos, de
■la grandcurduqucl eftant demeuré eshahy, ille cacha dans le fahle , & le garda la, pendant quil s'en alla cst
Dclphespour smsormcr de l’Oracle de qui il eftoit>& a quoy ilpourroit eftre hon. Et come tout au meftme temps»
parie nefçay quelleprouidence diuine les deputez, des Eleensy fujfent arriuez>,pour dernander quelque rernede
contrelapefte qui les molestoit, la Pythiepar vnfeulmoyen leurrendita tom deuxrejponfe. Aux Eleens.quils
recouurasstèntles os de Pelops, & à Damarmenw, de leurdeliurercequ’ilauoittrouué. Cela faitjes Eleensre-
cupar fuccestion dctemps elle futsort interejste.
C A R les Lydiens (ftautres Barhares de la hauteAste, enserment leur heautèdans tellesfortes d’habille*
mens. Cecy semble auoir esté emprunté de la Clio d’Hcrodote, ou il dit, parlant des Lydiens.
aftJJ ro7ai Avdôlai, cryydh û rolcn ccAAoiai BctpCcftoicn ctvJpct bfûLujaj yu(s,v'ûv, cuaguvlw
jutytAlw Carenuers les Lydiens, &presque tom les autres Barbares encores, ceU est tena à vnegrandê
honte, de voir mesme vn homme nud.
PELOPS
P E L O P S.
mx GreCs que la <ville nc feroit iamaüprist, deuant suils eusftent sait apporter en leur camp l’arc d’Herculcs,
&l’os de Telops. Tarquoy ilsy ftrent'venir PhiloBetes, &l'vne des efftaules de Pelops] qni leur sutamenée de
Pifte. Mais au retour, le nauire quï la remportoitfteperditpar sortune de mer, empres lifte dc Negrepont. L ong-
temps apres, certain pefchcurde l’Eretne nommc Damarmenm, ayant lettéfes flets en la mer, tira cetos, de
■la grandcurduqucl eftant demeuré eshahy, ille cacha dans le fahle , & le garda la, pendant quil s'en alla cst
Dclphespour smsormcr de l’Oracle de qui il eftoit>& a quoy ilpourroit eftre hon. Et come tout au meftme temps»
parie nefçay quelleprouidence diuine les deputez, des Eleensy fujfent arriuez>,pour dernander quelque rernede
contrelapefte qui les molestoit, la Pythiepar vnfeulmoyen leurrendita tom deuxrejponfe. Aux Eleens.quils
recouurasstèntles os de Pelops, & à Damarmenw, de leurdeliurercequ’ilauoittrouué. Cela faitjes Eleensre-
cupar fuccestion dctemps elle futsort interejste.
C A R les Lydiens (ftautres Barhares de la hauteAste, enserment leur heautèdans tellesfortes d’habille*
mens. Cecy semble auoir esté emprunté de la Clio d’Hcrodote, ou il dit, parlant des Lydiens.
aftJJ ro7ai Avdôlai, cryydh û rolcn ccAAoiai BctpCcftoicn ctvJpct bfûLujaj yu(s,v'ûv, cuaguvlw
jutytAlw Carenuers les Lydiens, &presque tom les autres Barbares encores, ceU est tena à vnegrandê
honte, de voir mesme vn homme nud.
PELOPS