«4o soîhocle:
ôc les ames Nymphes, selon Pollux, commc si elles estoient les espouses du corps.
C a r tu aspeu apprendre d’'vn des plm sauorù nourrijfons de Calhopé\ que les dons des Dietix ne se doi-
ttentpoint reietter. II entend Homere, lequel au 3. dc rïliadc introduit He£tor qui reproche à
Pâris son frere, csjcarctet, &Jbç d&i&i ywoqtf&v\ç vm&mvrùy mal-heureux Varù, qm n’as rien de hon
quela beautéy deceueur des semmes, &c. Et il respond ces vers icy ;
mpi J&p ^cptpsps fâvuriç A yQ&d$wiç9
Ovivi &ICOV î&MVtsïct JÏÏÇpC,
Ne me reprocbe point les dons
jâymables de Venus doree,
Car les prejens njenans des Dieux
Ne sont point de nous niettables.
-
I
HYACINTHE.
ôc les ames Nymphes, selon Pollux, commc si elles estoient les espouses du corps.
C a r tu aspeu apprendre d’'vn des plm sauorù nourrijfons de Calhopé\ que les dons des Dietix ne se doi-
ttentpoint reietter. II entend Homere, lequel au 3. dc rïliadc introduit He£tor qui reproche à
Pâris son frere, csjcarctet, &Jbç d&i&i ywoqtf&v\ç vm&mvrùy mal-heureux Varù, qm n’as rien de hon
quela beautéy deceueur des semmes, &c. Et il respond ces vers icy ;
mpi J&p ^cptpsps fâvuriç A yQ&d$wiç9
Ovivi &ICOV î&MVtsïct JÏÏÇpC,
Ne me reprocbe point les dons
jâymables de Venus doree,
Car les prejens njenans des Dieux
Ne sont point de nous niettables.
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I
HYACINTHE.