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Philostratus, Flavius [Hrsg.]; Philostratus <Iunior> [Hrsg.]; Callistratus <Sophista> [Hrsg.]; Vigenère, Blaise de [Übers.]; Artus, Thomas [Übers.]
Les Images Ov Tableavx De Platte Peintvre Des Deux Philostrates Sophistes Grecs Et Des Statves De Callistrate — Paris, 1629 [Cicognara, 1933-2]

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https://doi.org/10.11588/diglit.27697#0699

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D E PHILOSTRATE. 67S

chacunc endroit soy separées & diiioinâes, cela estant arriué à mon aduis
par lescroullemensdelaterre. Les costesestoiencsemblablementdiuiséesà
part de l'eschine,mais à prendre le tout ensembleja grandeurm’en sembloit
estrange&mal-aisée à exprimer : carayansversé duvindahsson test,nous
ns le peusmes remplir du tout auecques soixante- douze bintes Candiottes.

Or ily a vn promôntoire en llsse dimbros, expôfé âûvent daual, où les
yaisseaux peuuènt surgir, auecques vne Fontainè ioignantssaquelîe rend Eu-
nuques & impuissans à ehgendrer tous les aniinaux masses qui en boiuent,

&C en>yure les femelles de sorte quelles s ehdormët tout soudain. Là vn gros
pan de tere s estant esboulé du prohiontoirejdebrisa le coirps dVn fort grand
Geant: queiî vousnemen voulez croirè5hanigez-y : caril s 3y peut voir en-
cores tout estendu 3 &£ le cherhin dîcy là est fort cbûrh Phenicien. le deiî-
rerois, certes5fort vblôtiers, allêr iusquès au delà de s Ocean poùr sencôtrer
vne telle merüeille3 ïï elle y estoit, mais mon ttafïic ne mè perrnet pas de î a-
bandônner, àins riou's Faut assubjedir à nostrè yàiiseaü, &C y demèurer atta-
chez, toutainstqu Vlysses au ïïen pour heseiaisses allér aux Sesèih'es que st
iiouslefaisonsautremét, toutperiracommèlohditantàlaproüe comsne
àlapouppe. Vigneron. ÀlaVeritétout cecy estbienditdevous,maisn’ad- ij
ioustez pointde foy, ii bon nèvous semble àrien de ceque iè vous ay dit,
premier que d'auois naüigé àCosdàoùlekossemensdecèux qui fusent en~
gendrez de lâ terf e se peuuent voir tôus estehdus, qüon appelle les Meropes
ou premiers hommès: &C en Phsygié ceux d’Hyllüs fils stHercüles, voire 18
par lupiter en la T heisalié meimes des Aîoïdesfqüi pour vray cprhprèhnent 1$
neufiournaux de terrè, ÔZainiî le racohtent les Poêîes. Les Neapolitains zo
dbutre-parthabituezenltaiie bnt fait teiix d'Âlcyoneusd’Vhe meriièilleü- zi
se grandeur,&C alleguènt quîl y eutlà pluïîeurs Geants qüi furet foudroyèz
de lupiter, &C tous ars âu mont Besbien. Pareillemét en Pàllehé queles Poë- %%
tes appellent Phiegra^ la terfe a en sa possession plüsieurs autses tels corps de
Geantsquisecampèrent làendroitpour batailîer cohtrelesDieux, dont les
lauasses des pluyes,ôtles tsehiblemèhs desesre èn ont manifesté laplüïpast,
maisil ny a pasteur qui ÿ osebohhèmët demèurèrsurlemidy pôurle bruit
ôtgrand tintamarre quiy font leürs phantoimes qui y apparôissent, tous
forcenez comme sîls estôient chassez des fusies. Or de mescrôire telles cho-
ses, paraduenturequbhreustbieripeudutemps dHercules, lcquel aÿant
tué Geryonen Erythée, aftil qubn îe dist s’estre attaqüé àvn hommé d vne
telle ènorme grandeur, ôèque personne nevouiust plus faire dedoute dé
leur combat, en mit les os en l’Olympe. Phenicien. le vous estime bien-
heureux,certes,d’estreainst versé éshistoircs. Qnant à moy iestoisigno-
rantde ces grandes choses, ôZmendeflîoisèn mon grôsôCrural lourdois,
jtnais pour le regard de Prothesiîaüs, &C comment cet affairè và, ie deiîre for t
de lentendrèj caril est desormais temps dyvènin Vigneron, Escoutez
doncqües ce quiî sféh dit dighe de foy,

LLl ij
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