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Bulletin de la Société pour la Conservation des Monuments Historiques d'Alsace — 2.Sér. 10.1879

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Séance du Comité du 21 février  1876
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Assemblée générale du 2 mars 1876
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https://doi.org/10.11588/diglit.24970#0020

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- 8 —

Sur la proposition de M. G. Schmidt: M. Sieber, bibliothécaire en chef
de Bâle, M. Charles Schmidt, pasteur à Paris, et M. Edmond Schmidt,
négociant à Paris.

4° M. le président annonce qu’il a obtenu, comme par le passé, de
l’administration des chemins de fer le retour gratuit pour les membres du
dehors qui désirent assister à l’assemblée générale, et que pour cette
réunion on a mis à la disposition de la Société la grande salle de l’Hôtel
de ville.

5° Comme dans la dernière assemblée générale il a été question d’une
restauration de la chapelle des Zorn dans l’église protestante de Saint-
Pierre-le-Jeune, M. le président annoncera dans son rapport que, ce projet
ayant rencontré quelques difficultés, l’exécution en a dû être ajournée.

La séance est levée.

Assemblée générale du 2 mars 1876.

Présidence de M. le chanoine STRAUB.

L’assemblée générale s’est réunie le 2 mars 1876, à 2 heures de l’après-
midi, dans la grande salle de la Mairie.

Étaient présents au bureau: MM. Blanck, Brucker, Conrad, Kraus,
Petiti, Ringeisen, Salomon, J. Sengenwald, R. de Türckheim, C. Schmidt,
secrétaire.

M. le préfet avait délégué, pour le représenter, M. Roffhack, assesseur
du gouvernement.

MM. de Schauenburg, vice-président, Klotz, trésorier, L. Spach et
Ignace Chauffour se font excuser.

M. le président ouvre la séance par l’allocution suivante :

« Messieurs,

«Avant de vous entretenir de nos travaux de l’année, je crois devoir
vous donner quelques explications sur le retard qu’a éprouvé la convoca-
tion à l’assemblée générale. Je suis forcé, bien malgré moi, de ranger
parmi les premières causes les occupations pressantes du président, au-
quel le mois de décembre, mois fixé par nos statuts pour le terme d’une
séance générale, a amené une surcharge exceptionnelle de travail. De
plus, la rentrée des souscriptions a éprouvé quelques lenteurs, qui n’au-
 
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