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https://doi.org/10.11588/diglit.70230#0093
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158,18) 159,19) 161,20) 163,16422), im Verhinderungs- oder
IS) An Friedrich IV. v. d. Pfalz, 6. April (vgl. Anm. 10). V. A.
scaura ce que s’est passe en ses affaires. Je ne puys m’ empescher de
luy dire que ce qui a donné le dernier faict a la réputation des Princes
et des affaires d’Allemagne est la négligence que tous comme bandez
a la ruine de leurs estais leur Religion ont monstre en la conservation
et poursuyte de la cause de l’Evesché de Strasbourg. Le moyen de la
relever est d’embrasser a bon escient ceste affaire.
19) An die Kurfürstin v. d. Pfalz. 6. April (vgl. die vorhergehende
Anm.). Dieu auteur de la lumière auteur du Bien, esclaircira ces tenebres,
vertira ce mal au Bien des siens. Mais pour Bien Madame, apportez
de l’eau a ce feu . . . Vous, le pouvez Madame par la prudence que Dieu
a mise en vous par le credit que ceste prudence vous a acquis. Vous
le devez par la pieté qui vous oblige a Dieu, a son Eglise, a vostre
prochain quel qu’il soit.
20) An den Kurf. v. Brandenb. 10. April. (Fortlaufendes Monats-
datum. vgl. Anm. 10). . . . Illmam Celsnem Vain ego obtestor per eam
gratiam a Deo habet in Imperio dignitatem, pei' familiae suae excelsum
nomen, per iliaque antea et opibus et auctoritate inferior gessit, ne curam
deponat laude et praedicatione digissima depositae alias publicae rei.
Sed quanto incidisse difficilliora tempora videntur tanto alacrior tuendae
dignitati, libertatique incumbat, quam per Impiorum artes gravissimum
in periculum nemo est qui non videat. Equidem nemini me de negotio
Argentinensi Regis nomine et dicere et scribere plurima. Meo nunc
nomine: imo publico bonorum sed et prudentum omnium nomine Illmam
Celsnem Va,n hortor, ne perire tanti momenti causam ipsa patiatur cujus
ruina Germanicam secum et dignitatem et libertatem possum attractura
sit: cujus restitutio Germanici et principibus ubique et dignitatem reddi-
tura et libertatem confirmatura sit.
21) An Waidenfels. Ein kleiner siebenzeiliger Brief, in fragmen-
tarischer Form, unklar und schwel' leserlich. B. war Zeuge von Waiden-
fels’ Wohltaten und Undankbarkeit. J’ay travaille a réussir vos bien-
faits. Mais Je n’ay point de part a l’ingratitude . . . 266, ebenfalls an
Waldenfels gerichtet, handelt von der Strassburger Sache; 162, an den
brandenburgischen Rat Loebenius gerichtet, und die vorhergehenden
auch. Es ist deshalb nicht ausgeschlossen, dass auch vorliegendes Frag-
ment auf Strassburg Bezug hat, ohne dass man für diese Annahme auf
bestimmte Angaben sich berufen könnte.
22) An den Administrator. 9. Mai. (Forts, vgl. Anm. 12). Je n’entreray
point en discours sur le sujet de la lettre qu’il a pieu a V. Exc. m’
escrire le 14me d’Avril (das war offenbar die Antwort auf B.s Brief 155
vom 3. April). Je ne le pourrois qu’avec aigreur, Recognaissant par trop
que nous nous eslonguons de notre debvoir. V. E. prendra s'il luy
plaist ce que Je luy en ay escrit comme par tout d’un désir que J’ay
de voir les affaires publiques soustenues au moins d’un costé: Nous
158,18) 159,19) 161,20) 163,16422), im Verhinderungs- oder
IS) An Friedrich IV. v. d. Pfalz, 6. April (vgl. Anm. 10). V. A.
scaura ce que s’est passe en ses affaires. Je ne puys m’ empescher de
luy dire que ce qui a donné le dernier faict a la réputation des Princes
et des affaires d’Allemagne est la négligence que tous comme bandez
a la ruine de leurs estais leur Religion ont monstre en la conservation
et poursuyte de la cause de l’Evesché de Strasbourg. Le moyen de la
relever est d’embrasser a bon escient ceste affaire.
19) An die Kurfürstin v. d. Pfalz. 6. April (vgl. die vorhergehende
Anm.). Dieu auteur de la lumière auteur du Bien, esclaircira ces tenebres,
vertira ce mal au Bien des siens. Mais pour Bien Madame, apportez
de l’eau a ce feu . . . Vous, le pouvez Madame par la prudence que Dieu
a mise en vous par le credit que ceste prudence vous a acquis. Vous
le devez par la pieté qui vous oblige a Dieu, a son Eglise, a vostre
prochain quel qu’il soit.
20) An den Kurf. v. Brandenb. 10. April. (Fortlaufendes Monats-
datum. vgl. Anm. 10). . . . Illmam Celsnem Vain ego obtestor per eam
gratiam a Deo habet in Imperio dignitatem, pei' familiae suae excelsum
nomen, per iliaque antea et opibus et auctoritate inferior gessit, ne curam
deponat laude et praedicatione digissima depositae alias publicae rei.
Sed quanto incidisse difficilliora tempora videntur tanto alacrior tuendae
dignitati, libertatique incumbat, quam per Impiorum artes gravissimum
in periculum nemo est qui non videat. Equidem nemini me de negotio
Argentinensi Regis nomine et dicere et scribere plurima. Meo nunc
nomine: imo publico bonorum sed et prudentum omnium nomine Illmam
Celsnem Va,n hortor, ne perire tanti momenti causam ipsa patiatur cujus
ruina Germanicam secum et dignitatem et libertatem possum attractura
sit: cujus restitutio Germanici et principibus ubique et dignitatem reddi-
tura et libertatem confirmatura sit.
21) An Waidenfels. Ein kleiner siebenzeiliger Brief, in fragmen-
tarischer Form, unklar und schwel' leserlich. B. war Zeuge von Waiden-
fels’ Wohltaten und Undankbarkeit. J’ay travaille a réussir vos bien-
faits. Mais Je n’ay point de part a l’ingratitude . . . 266, ebenfalls an
Waldenfels gerichtet, handelt von der Strassburger Sache; 162, an den
brandenburgischen Rat Loebenius gerichtet, und die vorhergehenden
auch. Es ist deshalb nicht ausgeschlossen, dass auch vorliegendes Frag-
ment auf Strassburg Bezug hat, ohne dass man für diese Annahme auf
bestimmte Angaben sich berufen könnte.
22) An den Administrator. 9. Mai. (Forts, vgl. Anm. 12). Je n’entreray
point en discours sur le sujet de la lettre qu’il a pieu a V. Exc. m’
escrire le 14me d’Avril (das war offenbar die Antwort auf B.s Brief 155
vom 3. April). Je ne le pourrois qu’avec aigreur, Recognaissant par trop
que nous nous eslonguons de notre debvoir. V. E. prendra s'il luy
plaist ce que Je luy en ay escrit comme par tout d’un désir que J’ay
de voir les affaires publiques soustenues au moins d’un costé: Nous