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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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https://doi.org/10.11588/diglit.2794#0104
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GA2ETTE DES ARDENNE9

1" Map» 1»H

La guerre aérienne. — Un zeppelin ■ survol* Lunivilto dana
1» solrie d'Iuor et a Jct6 {juplquca bombes qui n'ont cause que des

s Uctt.

Paris, 22 février 1910, soir.

En Belgique, bombai dément des tranchées ennemies à
ftêl de Boesmghe.

En Artois, la clitite abondante de la neige a empCché
toute activité offensive.

En Chcuiipagfltt, nuus avuna effectué de» fars de de^liuc*
Won sur les ouvrages ennamia A l'ouest de Savarin.

Dana la région *»f aun' de Verdun, après un violent bom-
bardement sur les deux rives de la Meuse, lea Allemand!
ent dirige, nu coure de la journée, une série d'actions d'in-
fanterie extrêmement vives sur notre front entre Brobant-

Sir-Meusc et Herbebois. Toutes les attaques menées contre
rabant et Herbebois ont été repuussees. Entre ces deux
pointa, et au prix de perles considérables, l'ennemi a pu
jSccuper le bois d'Hnumont et le" saillant que forme notre
signe &u nord de BeaumouL

Au nord-ouest de Fromezey, nos tirs de barrage ont
empêché une attaque en préparation de se déclencher.

Assez grande activité dr>a deux artilleries dans la région
du Ban-de-Sapt et a l'ouest d'Aitkirch.

Paris, 23 février lKItl, 3 heures

En Artoi*, noue *\ans repria quelques éléments de
tranchée» dons le bois de (jivenclty. «

Dans la région au nord lie Verdun, la bon»bardénient
ennemi, énergiquement contrebattu par nous, a continué au
cours de le ouiL

Lea actions d'infanterie ae sont développée» sur un front
U'ensenibLe de quinze kilomètres environ.

Le lutte se poursuit avec violence depuis la rive droits
Hé la Meuse jusqu'au sud-est do Herbebois.

Nous a-vons évacmi le village de llmimont dont nous
tenons les aborda aprts un combat acharné où no* troupes
dut Infligé n l'ennemi des pertes très élevées.

A l'est de ce point, une contre-attaque noua a permie ds
rtarendre 1* majeure partie du bois (tes Caurs», situe dans
la saillant occupé hier par l'ennemi un uurd de Beauraont.

Une forte attaque allemande, dirigée sur Herbebois, a été
arrêtée net pas nos tirs de barrage.

Aux dures des prisonniers, certaines mutés allemandes
ont été complètement détruites au coiks de ces actions.

Duel d'uilillerie lent et continu dans la région de Uaul#-
Eharrière et de Fromezey.

En Lorraine, dans la région Noiueny, notre artillerie s'est
montrée assoz active.

Une reconnaissance ennemie au nord de Letrioourt n'a pu •
aborder aos lignes.

Pans, 23 février 1910, soir.

En Belgique, un tir d> tféfrrohtion de notre artHlerie a
OOTftrt placeurs Ucècuea «îu-s les tranchées allemandes en
bu*e de SteeaMtnajtet.

An nord de FAisne. no» betterree ont bouleverté le or-
ganisations ennemies du plateau de Veuclerc,

Dans In région du nord de Verdun, l'attaque allemande se
deïsinr: ainsi qu'il aven» été prévu, comme une action très
Importante préparée stven de» moyens puissants. La hetaitte
A continué aujourd'hui avec une intensité croissante, et a
été énerginuement soutenue par nos troupe». La bouibaoda-
éTïfjnt »n«J-rrornpu d'obus de gros eaiil'.es, auquel notre
artillerie a répondu avee une égals violence, s'est étendu sur
un front de près de quarante kilomètres, depuis MaUncourt
Jusqu'à la-1 cgioa en face d Ktaïu.

Les acUm» e'iofan*erie allemande à Lrëa gros effectixs,
eomprenan! des troupes de sept corps d'armée différents, se
sont succédé au caws ote la journée, entre Bran ont-.sur-
Meuse et Ornes.

Au débouché, du viMage de Hautnont, l'eneerrii n'a pu,
malgré ses efforts, nous déloger de nos positions.

Dans le bois de» Caures, dont nous tenons la plu» grand»
partie, ne» eo^c-attaques ont enrayé le* offensives
ennemis

A l'cal iUi huis des Coures, les AUemuadj ont pu pénétrer
dons le boia de la Wavrillc, a, la suite d'une série d'allanua*
sanglantes.

Au nord d'Ornes, les assauts de l'ennemi sur noire ligne
de l'Herbebois ont été arrêtés par nos contre-attaques.

Pas d'action d'infanterie sur la rive gnucho de la Meuse
ni entre Ornes et Fromezey.

En Alsace, hier, en fin de journée, l'ennemi a attaqué nos
positions ou sud-est du boia de Curspach (sud-oued d'Alt-
kirch). Une contre-attaque immédiate l'a rejeté de la plus
grande pflitie des éléments» avancés où il avait piia pied.

Pans, 21 terrier 1910, 3 heures.

En Artois, lutte à coup» de grenades n l'est de Soudiez.

Dans la région au nord de Verdun, la lutte a continué
toute la nuit nvec la même intensité depuis la rlv« droite de
la Meuse jusqu'au sud d'Ornes.

Etant donné la violence du bombardement de la position
ovancée de Bratmnt-^ur-ïvtaaae, nos rroupes ont évacué la
village a la faveur de la nuit, protégés par les tirs de finn-
quement de nos positions de la rive gauche de la Meuse.

Une attaque, dirigée sur Sumogneux, a été repousséc.

Une mitre attaque,' forte d'une brigade au moins, lancé»
sur le bois de Caures, nous a repris une partie de ca bols
dont nous tenons actuellement la corne sud.

Toutes le» ofienaive» dirigée» sur Uaaumont, à l'avant
duquel nous sommes établi», ont été impuissantes à nous en
déloger.

A l'est du front attaqué, nous dominons en avant d'Orne*
le couloir situé ou sud dTferbebois.

Le» mouvement» de repli prescrits pour éviter de^ perte»
Inutiles, se sont effectués avec une cohésion parfaite, son»
que l'ennemi, qui n'a avancé qu'avec difficulté, an prix d»
sacrifices considérables, ait pu lompic notre front.

Bombardement lent et continu de la région entre Orne»
et Fronwzcy.

En Lorraine, l'ennemi a pris pied dans un de nos postes
avancés des Croix de Cheminot, d'où nous l'avons chassé
aussitôt.

Quelques contacta de patrouilles h l'est de Reillon.

La guerre aérienne. — Hier, su emin de ta nuit, une de nos
isrsahglm do boui)>ardpin<-~l a lancé quarante-cinq projectile»,
dont pïmieurs do gros enhf r\ sot In (tare du Metz-Sablon et aur
l'usine à eaz dan» la région de laquelle a été observé aussitôt après
ud gros inccndï*.

FAITS DE GUERRE

L££ COMBATS AU NOItl> D* YfcùKlH N

Au jour le joar, les communiqirés officiels allemands
signalent, dans leur sobre brièveté, les progrès réalisés par
les opérations que le haut commanaVmerrt allemand a jugées
nécessaires dans cette région, et dont )ni seul connaît, jus-
qu'à! présent, le but. Nr»s renvoyons donc no» lecteur» a la
lecture de ces communiqué».

Il va ne soi que ces événements sont commentés par tt
presse française. L'imrfbrmisé 6V ces commentaires laisse
facilement deviner le orot d'orrfre officiel. r*id*le s sa vieille
tactique, le service déformation de Paris s'applictiie s exa-
gérer d'une port le» drssems aRemanoN, pour mieux pouvoir
en dKprérier les rétnitmtt. Comme il aVeat pa» probable que
l'étst-major allemand ait comnwiniqué ses pisme à l'Agence
Bave», c'est un jeu futile. Ce sont les résultats seuls qui
ienportetrt. Ces résultats, la presse française se voit toutefois
foreée de les reconnaître sa moins psrtirllemerrt.

-Le a5 février, V a Jfcho de Parts h "se voyait obligé
d'avouer :

« Nous avons en fin de journée rectifié notre front, qui
était jalonné, par W sud d« Breton*, les abossls «le rJUumant,
le sud de Beaumont, le milieu du bois des Caures et, plus à
l'est, le bois de la Warville, où l'ennemi a pu s'infiltrer, o

Et plus loin :

« Si, limant de dus» combats, par endroits, notre com-
mandement a sagement ordonné de ramener légèremtrit à
l'arriire sur certains poinfs quelques tinfféa înud'Iemîmt

exposfes, il a appliqué avec beaucoup de raison la doctrine
da la défensive telle qu'elle résulte des enseignements de la
guerre actuelle. »

Le »4 déjà, le h Afafin » convenait que a les aliemativei
inséparables de» combats sur lignes fortifiées ont marqué
Ut dernières phase* de ces actions. Le premier bond a porté
la vague ennemie jusque dans nos tranchées de première
ligne, qui furent elles-mêmes parfois dépassées, etc.... h

Mais tout en avouant l'avance allemande, la presse fran-
çaise s'applique A la déprécier. Les petits moyen» auxquels
elle recourt, dénotent une mentalité spéciale.

Tout d'abord, la presse parisienne cherche les raisons qui
ont pu pousser les Allemande à cette action. A son avis, ce
sont, avant tout, des misons dynastiques, la popularité des
maréchaux Hindenburg et Mackcnscn étant devenue un dan-
ger pour l'Empire (0 Celui qui a inventé cela, mérite d'en-
trer à l'Académie, pour y siéger cnlro MM. Barres et Masson,
sa compréhension de l'Allemagne étant à peu près au même
niveau.

Ensuite vient le refrain du « désespoir ». C'est la faim —
cette bonne vieille famine qui sévit en Allemagne depuis
19 mois ! — qui pousse les Allemands à den actes « déses-
pérés » I

Non moins connue et re»wsiêe est l'affirmation, que les
pertes allemande* seraient énormes. On a toujours écrit
cela, depuis U prise du premier fort de Liège, dans la presse
alliée. On a toujours répété que les Allemands, — qui
ignorent évidemment les règles les plus élémentaires de la
guerre moderne I — attaquent « en formations serrées et
profondes » et couvrent littéralement le terrain de leurs
morts. Seulement, upi.j; les grandes offensives victorieuses
qu'ils ont menées \ bonne fin en Russie et en Serbie, H est
étonnant, n'est-ce pas, qu'un seul soldat allemand soit encore
en viol ÎTon, U légende des hécatombes allemandes ne
trompera plus personne. Klle n'a qu'un but, celui de calmer
le public français et d'atténuer les succès de l'adversaire
qu'on ne peut uier.

Le radiogramme officiel de Paria, 37 février, à «- 5o,
nie, dans te même but, 1'ex.actrrtide du chiffre de ro.ooo pri-
sonniers faits par les Allemands, chiffre qvi a, depuis, aug-
menté de moitié. Il se passer» évidemment quelque lemp»
jusqu'à: ce que 1s liste complète de ces prisonniers soit éta-
blie et publiée dan» la u Gazette des Ardennes ». D'ici la,
il est facile de nier I Pour le grand public français, allié et
neutre, auquel s'adressent les radiogramme» officiels de-
Paris et de Lyon, H est également aisé de ferre du fort de
Dousiimotit un « fort décloseé ir, où il n'y avait ni canon ni
fantassin (radiogramme de Pari», 37 février, h. 60). Allez-y
donc voir 1

D'après te radiogramme de Lyon, 37 février, g heures,
il pnrait que la prise éventuelle de Verdun lui-même n'aurait
guère d'importance non plu». Ecoutons cette voix officielle :

« La conquête d'une place forte ne s airt pa» évidemment
pas la place erte-méine, mais psr l'importance de hj garnison
qu'on y a fait prisonnièreet par rimportunoe des vivres et des
munitions dont on s'empare. H y a lone/tempt qu'il n'y a.
plut d'approvisionnement à Verdun. Il est par conséquent
•vident que la prise de Verdun aurait uniquement un effet
moral but l'Allemagne. L'effet moral de l'échec stlleuianrj
devant Verdun serait plus grand encore. »

Ainsi donc, une défaite française à Vcrdnn n'aurait pu
grande importance, mais un échec aJJemtfJui en aurait une
très grande f

La stratégie parisienne, ce n'est pas plus difficile que ça f

Quelque» Jugements
Le journal anglais « Uorning Post u écrit entre autre :

a Nout devons avoir conscience du terrible danger que
comporte Is nouvelle attaque allemande, qui continue avec
une force élémentaire. Non» ne tommes pas de cenx qnl

cherchent leur consolation dan» le» chiffre» répanda» sur lu
pertes allemandes et dans la théorie de leur désespoir. Lors-
qu'un adversaire attaque avec de» force» Importante» une
forte position, cela n'a jamais encore été un témoignage

d'épuisement ou de découragement. Tous le» signes que nous
avons pu recueillir au cours d» la guerre, démontrent que
l'Allemagne est encore amplement munie d'hommes et de
munitions. Ajoutons l'esprit d'ordre allemand, qui est sim-
plement admirable, et qui lui permet d'utiliser rationelle-
ment ses ressources. »

Le journal danois « Svenrka DagMadet u écrit que Jr
gain de terrain, que les Allemands ont déjà réalisé et qui
suit de près les succès importants d'Ypres et de Souchei
signifie le plus grand changement de situation sur le front
depuis la grande offensive de Joffre en septembre. Ce que
les Allemands perdirent alors, semble être pleinement com-
pensé, voire même plus que compensé aujourd'hui,
a Slockholms Dagbladet « s'exprime ainsi :
s Au point de vue tactique la succès est naturellement
très important. Ce que les Allemands enlevèrent d'an saml
élan dépasse de beaucoup ce que les Français ont pu atteindre
jusqu'ici par une série d'assauts, qui durèrent parfois des
mois. Au point de vue moral ces combats ont une grande '
importance, tout particulièrement dans i» situation actuelle
de la guerre. »

Durazzo aux mains des Atistro-ttottgrais

Vienne, 27 février (Officiel).

Ce matin les troupe» austro-hongroise» eVrnptre-

rent de Burami. Hier matin déjà, une de nos eotonnes
s'était avancée, malgré Te feu de F artillerie de» navires,
italiens, au delà du déLioit nord. Pendant la journée,
elle pénétra jusqu'à Fortes, a 6 kilométrée air nord d*
Dux&zzo. Les troupes, envoyée» par la voie du détroit
sud, furent tout d'abord entravées- par l'artiHeiie d?
marine ennemie ; de nombreux détachements réussi-
rent toutefois à gagner avant le soir, soit à la nage, aoit
au Daoyen de radeaux, le pont à l'est de Durazzo, où. Us
culbutèrent les arrière gardée italiennes.

A l'aube un de nos bataillons pénétra dan» la vifle
en fia rames.

Dumxzo, l'ancienne capitale albanaise du prince de
Wicd, est située i peu près à 85 kilomètres de Sculari, air
une presqu'île rocheuse. Elle fut jadis le port très important
du Tilsvet turc de Scatari. La ville possède encore an rient
rempart et une crUdeUe, qui remontent à iY-poque bysanlsne,
mais n'ont guère de voleur militaire. La ville a séaauoins
une importance stratégique très griuule, de par son port et
par te fait que le cable transadriatique y aboutit, ainsi tjec
pour les voies de communication vers l'intérieur du pays,
au nord vers &»o Giovanni dj Merlus cl Scnlsii, nu sud vers
Valona

An:-i comprend-on que les Italiens t'aient mise es état
de défense et ne l'aient abandonnée qu'à la eVroftrt exirsV
mîté. Cet abandon forcé constitue pour eux une grande

perte.

LE MONT LOVGEN ET NAPOLÉON 1*

Le mont Lovccn, cette formiclable forteresse naturelle
du Monténégro, dont la prie*: par l'armée luîtro-bongraise
' restera un des plus beaux faits d'armes de cette guerre, a
joué souvent un rôle important dans l'histoire.

Napoléon I" désirait vivement posséder cette hauteur qui
domine toute la mer Adriatique. Lorsque l'rinpesTur eut
nomme le maréchal Murmont doc de Raguse, il lui dît :

« Veillez sur cette ré(ji»n sAtiàre ei I» fronce sera met-
tresse de VAdriatique. » -

LISTE DES DÉCÈDES FRANÇAIS

en t©»Tsr»toix»«5 occupé

E6fiE.T-EN-WOEVrVE (Meortbe-et-MMeBe).

ti seplcmhie 14H4. — Vîè^iilc Joseph, 87 on*, vigneron.
9$ ivfiêmdrt lOftA, — Vrémite FronçosM, S* ans.
iT «ctoeve IM4. — Uidier Hirwàu, K ans. seneter.

9 octobre 191». — Jatmn î+icoias, 72 ans, viçneron.
*♦ octobre MM t. — Berfw Zerte, 75 ans.
1À octobre 1014. — Leùèvre Catherine, ** «ne.
W'ocrôore T9H. — Floquei Catherine, 79 trnî.
SI octobre 19U. — Baie Isidore, 70 ans.
M octobre LSrK — Pelbre Charles, 62 ojw, garde particulier.
24 octobre 1914. — Venue Gro// nét LaOemand, 75 an*,
•énsevtm.

K oeiohrw 1314. — RertheloL Delphine, tic ans.

26 oefobre 1914. — Pratique Marie, 73 uni.

tS ortoUrc Mil*. — MeJfot Geowfes, 3 mois.

28 octobre I<HA — Veuve fjtOemand, 76 ans.

9 novembre rîT!4. — Fcrrvitte Stgisbert, 82 ans, rentier.

13 novembre 1SL4. — Luuinonl Auguste, 75 ans, vigneron,

îl novembre 1914. — Loiufc Eugène, 58 ans.

21 novembre 1914. — Carême Joseph, 68 anj, «fjneron.
& WHutMitr* 131*. — Demcnu Eugène, 73 ans. .

Î7 novembre 1914. — Adam Joseph, 74 ans.

11 déerrubre I9U. — Adam Emile, 60 ans, cultivateur.

12 décembre 1W4. — Grasttidier Anasthastc, 72 ans, vigneron
tt dàtcnrùre T914, — Tgsstn ThéojjfUlc. 78 anr, cultivateur.
S février TM6. — tepnnre Adettne, 67 uns, cultivateur.

M mar* Itflo. — &onata.<t**AugusUne, 84 an*, rentière.
M août KH6. — Peclmu Auguste, 74 a ru, vigneron.
tepUmitue »9i5. — Mrrelie Jean-Claude, 70 an»,
«■lembrc tfll5. — Du noir Alfred, 48 ans.

ETJUriâ (fa»-ae-Cslaia).
il nooemtirc l&i4. — LuLoux Camille, 73 anr, cuUioaieur.
V diecMitre 1914. — Uacbclel Amélie, ii6 ans, débitante.

17 ianvter 1815. — fformrd Désiré, 83 uns, cultivatrice.

22 {évrle.r 1915. — Len^nnn Auguste, t mois.

23 fCrrfrr W3, — Mocq«i*M Adetm; tri ans, rentière.
» février Mâ. — a*«i_m<»u* J-«*i«, 8Û ans, ménagère.
* mars Viib. — PqàLtr iMoetuie, 14 aau.

47 avnt 1015. - Uo .l*;uii MarUie, ii'J unr, ménagère.
U mai taft — l»*iiwir,yc; Artcmise, Gl anr, ménagère.

18 juin 1015. — LesawJ Adrlaide, 2 ans.

I futllel I9i5 — Dut: vi trancouie, 70 ans, cultivatrice.

tt iuMei 1916. — Mt>. A/w*j«u, ÔO ans, taénagère.

2»jui«>( mi — St^t Af jXMdre, 7U ans, ménagère.

H tuiiiei liriô. _ Merchei Aoè, 11 ans, ménagère.

1« août hM$ — foui pinire, 7'i ans, mànanire.

%mtt 18tt — Drmçtfi IUi'?ul\jtel 8- m

Ti août rfÎB.. — Bizé ri .ré, 73 an», mt <■ <•■

ETH (Nord).
iâ/ni/lc( rgi5- — Ligei Ida, 3/t ans, minugére.

tfBfOI :rRE9 (Ardenues).
38 août 191.;. — Leurus Iules-Camille, !to ans, mouleur.
4 aeptVailw iar(, - (V^'ul Joecphine-Loaise, 66 ans, sans
pmfeatiun:

20 novCHrhre i^ii — avf/.t ffise-Jeanne-Marte, 34 ans,
s't«i ptfÊ0Ês0m

18 [iro-m'ire,!!,!/,. - f.*-yms Murte Yicloire, 78 anr, jan,
p9mèmdees.

n dé ce ,„l, t,- iqij ■ u iMtte-CéLfnie, 85 ans, sens prof.

»i janvier iqï5. — ,4ubrj fticolas-JaUs, 60 ans, mouleur.
19 février 1916. — Jouarf /Heiandrtne, 89 an», sans prof.
^ mars igi5. — Carbon Claris, 83 ans, sans profession-

10 mars 1916. — Jouart Ziphirine, 83 arts, sans profession.
31 avril 1916. — TTielmye Adeline, 71 ans, sans profession.
34 euril 1915. — Potdévin Augustin, '-ja ans, caflivafear.

15 mai 1915. — Bon Marguerite, 89 ans, sans profession.
36 juin 1910. — Auibry Clémence, 70 ans, sans profession.

12 aoit 1 ji j. —-Itoisei Joseph, 71 ans, cultivateur,

3 octobre igi5. — Pafal Zéphir, 79 ara, manoeuvre. -

ETREA.UPONT (Aisne).

5 aoûf igrii. — Dantenf Brnesfriie, 79 an», sans profession.

13 aoeVt igra. — Marchand j4rfhar, 5a ans, mitnàer.

17 août 191a. — Parisot Alphonsine, j5 ans, wtnnière.

i septembre 1914. — ffourdaudhin Jevnne, 54 ans, vanniire
9 septembre egie. — Bouwarf Gilbert, 4 mois,
a octobre igrq. — Wuval Opportune, 70 an», eenniere.
9 nouembre 1914. — IVisanf Catherine, 76 ans, sens prof.

13 novembre rgis. — «attaui iiifWte, 3g ans, journalière.

16 nouembre rgi^. — Wmrssy »u^îenne-*farie, rt esta,

7 décembre tgi4- — Graue Leortiine, 60 ans, sens profession

14 décembre 1914 .— Compawi Marie-4fice, 4a ans, sans

profession.

I* janvier igi5. — Bienfuix Léonie, ■ mois.

4 janvier igi5. — Berger Joseph, 76 ans, journalier.

a4 /envier igr5. — Boulanger Attttotde, 84 an«,.iuns prof.
a5 janvier igi5. — Morcaux Hilaire, 77 ans, sans profession
36 janvier rgr5. — Dfrreter Ironie, 10 mois,
ag janvier iniô. — Lobstein Suzanne-Marie, 37 ans, sans
profession.

30 y'unuier 191D. — fiouiuiif/er Vicfoire, 88 ans, sans profest.

11 février igi5. — Williot Firmin-Jean-Bapt., 65 ans, /ac-

teur retraité.

r6 février roi5. — Flamant Léontine, 4o ans, sans profese.
a mars igs6. — Brisée AnousUne, 56 ans, sans profession,
11 mars igi5. — Bertin Eugène-Léon, 73 ans, sans prof su.
9 avril 191D. — Bonnemaison léphir-Joseph, 83 ans, instir

tuteur en retraite.
14. aunl 1915. —Joseph Adonis, ;a ans, herbager.

16 aunl rgi5. — Clin Emile, 5 jours.

38 avril r 915. — Lemaire Herthe-Louixe, 4 ans.

a6 mai igi5. — Jumelei Sturir-Calhcnne, 84 'in«, t'annièr*.

13 juillet igi5. — Dehulbe Denis, 7a ans, mu profession.

8 août 1915. — M ont lie Julie Sidome, 63 ans, sans prufess.
1J1 août rg 15. — MLsmncnte Marie-Murg., 78 ans, sanj prof.

14 août 1915- — Lagasse Krnestinc, fî,3 an.s, sans profession.

18 septembre igi5. — Basile Armuntine, 77 un», sans prof.
36 septembre igi5. — Bt<mm Alfred, 75 ans, sans profess.

31 octobre igi5. — Lentutre fTla*re-e>ne*((rw, 36 ans, sans

profession.

4 novembre igi5. — Thiéboux MeUhior, 85 uns, sans prof.

17 novembre igi5. — teféore Rosalie, 06 an», vannière.

19 novembre igi5. — Scohier Zéphir, 74 uns, jons profess.
a8 novembre igi5. — Lunrz l'jtil-Eufjènr, 7 mois.

39 novembre igi5- — Grave Hippulyle-JnU-s, Ht ans, sans

profession.

FAMABS (Nord)

17 août 11)14. — Iluberl llippohjte.flenn, IS mois.
24 août 1914. — Delciiw Joseph-AUfjiptfa, 17 ans, usinier.
24 août l'Jli. — Braem Je-iti luiptiste, K un.s, l[fiffliflfeiir
3t août 1914. - Gfeise Ariuand-François, ans, fommeMer.
10 septembre 1914. — Malaqmn François, 74 uns, cultivateur.
27 septembre 1914. — Gleise Pierre-François, 75 ans, tuinter.
23 décesxers l»l*. — Loubeit hosaiit, 7i ans, ménagère.
27 décembre l'J14 — Fotire; Adolphme, 2 uns.

1 ianvler Î9t5. — Pat/en Ferdinand-Joseph, 61 anj, four-
na fyrr.

•1 fanvier 1W5, — mimer Jean-Barptiste, 9t ans, retraité des

douanes.

9 mars 1915. — Afouc'mti Joséphine, 95 ans, ménagère.
12 mars T9tt. — Hubert Alfred, 7T> nns-, pmtdleur.
25 avril 1915. — flenaul Félicité, 78 tsns, jwnnJiére.
1" juin 1915. — Bourdequin Léon, 57 anj, menuisier.
Iff lt*in 1915. — Plaucharl François-Ghtslain, 74 ans, iour-

9 aotU 19*5. — Chamberiin Emile-Charieis, 9 mai*.

15 septembre 1915. —Vauhover Hortense, iZ ans, renfMre.

6 nouembre 1915. — Place Edouard, 93 ans, fournaiier.
17 nfrorrm-sre f915. — Trichant Henri, 79 ans, journalier.

PAMPOUX (Pas-de-Calai»),

S octobre \9l*. — Tranoy Alfred, 62 an*.

17 o-rtùbrs 19M. — Tum-hon Français, 80 ans.
28 octobre 191 i. — Chabé Omérine, 67 «me.

1- nOTembr» 1914. — Desoarpes «Hcite*, S» ans

19 novembre ii>14. — Delnssus Julien, 23 ans.

9 décembre 191*. — Honoré Alexandre, 86 an*.

t décembre 1914. —"Jofy Zéiia, 64 anr.

V ianvter VAâ. — hemoine Vieamte, 00 ans.

2b ianmter 1915. — Lefebure renélon, «7 ans.

28 janvier 1915. — Dreg[us Georgette, t an.
P » février 1915. — Afojuet Cécile, 78 an*.
r 28 /Yurior t915. — Mtngug Andréa, S an*.

5 mars 1915. — Croqfer Sophie, 90 ans.

9 mai 1915. — Tanclum Zélie, 85 ans.

12 mal 1915. — Délassas Cawohne, 84 ans.

lûmal 1915. — ffutm Amédée, 3 stoj.

18 mai 1915. — Demoulm Auguste, 64 ans.
9 fuin IW5. — Fermes Jeanne, 7 mou.

9 yain 1945. — Richard Jeanne. 10 mois.
U futn 1915. — Dupujcn AlcvLe, 52 ans.
18 ium 19r5. — Crepei Henri, 77 an*.

SU Juin 1915. — Wtart Cliarlotle, 75 ans.
18 juillet 1915. — Caupm flestiludc, 84 ans.
21 tuillei 1915. — Martin llermance, 64 ans. '

23 juil/«( 1915. — Leroy Arthur, 60 onr.

86 MM 1915. — Lequeux Afaunce, 4 an*.

26 iuiilet 1Û15. — Lequeux Uectorette, t ans.

5 aoui 1915. — Jlf« j'Anùraîe, AfolleiJJelaire, 82 aru.

26 septembre 1915. — Catheloin Narcisse, 82 an*.

25 octobre 1915. — Chrestien Berthe, 47 an*.
5 nouembre 1915. — Dehée Adolphe, 82 an*.

FARGNIERB (Aisne).

12 aoûi 1914. — Pichet Jules, 65 ans, retraité du chemin

de fer.

18 aoûi 1914. — Aubry Léonce, 1 /our.

24 août hfM — Lecomte Juies-Pierre, 1 mol*.

10 septembre 1914. — Aubry Afarouerii*. 24 jours.

13 septembre 1914. — flameit» Gisèle-Mari*, 2 on*.

16 septembre 1014. — Coquisart Pau/me, 6 mots.

21 sepfembrs 1914. — Corfain f^)tiis-Afextr. 78 ans, scieur
de long.

28 repieni&re 1914. — Abeele Lumtna-Pierre, 68 an*, pr#-

pn^Iaire.

2 octobre 1914. — Veuue Gast Catherine, 74 ans, propriétaire,

26 octobre 1914. — Dme* Afesrandre-C'onsiani, 77 an*

retraité du chemin de fer.

27 octobre 1914. — Godefroy Mélanie, 74 ans.

7 novembre 1914. — Lavacliery Henriette, 1 jour.
9 nouembr» 1914. — Miel Loms-Corulani, 1 mois.
18 novembre 1914. — Hennocque Désiré, 71 ans.
18 nouambre fffi — Beaurteux Camille. 56 ans

28 novembre 1914. — Cêuiani Charles, i
l- décembre 1914. — Ëùijafnrn. Vicior-Louis, 81 ans.

6 décembre 1DL4. — Kilfuin Jean-Baptiste, 83 ans. retrait*! du

chemin de fer.

7 décembre 191-i. — Caplasn Auguste, 77 aru, retradé du

çttem m de 1er. ^
14 décembre 1914. — Fouillart Pierre, 27 ans, aiauHlenr est

chemin de fer du nord.
5 januisr 1915. — Prudhamme Flarimond. 71 an*, retraité da

chemin de 1er.

SU ianvier 1915. — Légère Félicité, vcuoe Ifennet, 78 ans.
9 février 1915. — fiambout Marthe* 32 ans.
9 février 1915. — Cordler André, 7 Jour*

12 février 1915. — UauUlcaux Charles, 56 ans, retraité àit

chemin de 1er.
18 février 1915. — Aufirp Virpinie, 3 mot*.
lS.^orier 1915. — Desuafl*o Alfréda, 19 an*.

20 mars 1915. — Démorget Louise, SU an*.

21 mars 1915. — Bérenger Jean-Baptiste, 67 ans, retraité sTu

chemin de fer.
31 mars 1915. — Vtttard Julienne, 19 an*.

13 avril 1915. — Lacochs Clémentine, 76 an*.

13 «uni 1915. — tamouret Sylvain, 64 an*.

20 avril 1915. — L&vacJiery Chrisoslome, 54 ans, retraité Sa

chemin de ter.
T5 mai 1915. — Gr«f Julien, 20 ans, ajusteur.
M mai 1915. — Taurei Charles-Louis, 62 aru, retrait de

l'Etat.

16 mai 1015. — DeiuiUe Mans, 37 ans.
1" juin 1915. — Larive Paul, 81 an*, represenfanf de com-
merce.

4 juin 1915. — Du/loi Ociaue, 65 ans, canionnier sur le
canal.

20 juin 1915. — Gilles Jeanne, 12 ans.

3 juillet 1915. — Ledoux Charles, 30 ans, ajusteur.

12 jitiltet 1915, — Roger Jules, 63 ans, retraité Su chemin

' de fer.

12 juifief 1915. — Tondu Désiré, 74 arts, reîratfe* du chemin
de ter. •

16 juiCel 1915. — Laposiaf Marie, 77 ans.

30 juillet 1915. — DoWien Ariftur, 44 ans, employé de chemin
de fer.

1" aoiK 1915. — Bonnaire Elise, 78 ans.

4 aoûi 1915. — Moulin Victarine, 77 ans.

5 septembre 1915, — Lec'crc fiaijmond, 5 mois.

26 octobre 1915. — Anciaui André, 2 ans.

5 novembre 1915. — Delaporte Octave, 50 on*, mjuetem

FAUGOUCOURT (Aisne).

6 septembre 1914. — Barbier André-Féliœn, 5 moi»
1" octobre 1914. — Moreaux Albert-Arthur, 4 moii-
28 novembre 1914. — Vtilain Clémentine, 77 ans.

23 décembre 1914. — Coûtant Edouard-Maximitien, 71 an*
manouvrler. s

14 janvier 1915. — Go//mon Jules-Nicotas, 82 ans, prr>
prié taire,

17 mars 1915. — Courtonne Louis-Théophile, ' 35 an*,
domestique ds ferme.

22 juin 1915. — Leroux Joséjphine, 62 ans, manouvnére.

25 juin 1915. — Desonnois Eléonie, 63 ans, sans profession

27 fuillet 1916. — Cluet Onésime-Mélanie, 87 an*.

B octobre 1916. — Baudrex Georaeiftf-frma, 9 jours.

26 ocfobrs 1915. — Labois Bénoni, 83 ans.

FCCHAIN (Nord).
I mars 1914. — Pinaion AppofWn*, 71 ans, cuKioalric*;
16 fdvrier 191B. — Fovaux Jean-Pierre. 80 ans, euihWeitr.
 
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