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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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https://doi.org/10.11588/diglit.2794#0116
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DES ARDENNES

En Alsace, action de noa batteries sur les voies de com-
munication de l'ennemi dans la région de Ccrnav (vallée
d* la THur).

La guerre aérienne. Uo de nos équipages, sur avion bi moteur,
■ abattu un avion cutnrt(, qoi osl tombé A 1» ;<■:>-"> sur lo» tr.ni-
chées allemandes ot a prie ton on touchant le sol.

FAITS piÈ GUERRE

LES COMBATS AU NORD DE VERDUN

Loi aarntcrj communiqué* officiels témoignent d'une ac-
calmie au nord de Verdun. Les Allemand* occupent une nou-
Telle ligne sensiblement meilleure. Les derniera combat!
d'infanterie amenèrent la prise du villnge de Douaumont
p*r lpp troupes atlrrriemlr», mw »-'y sont maiiHenues mnlgré
do violcnlc<f contre-Httarpica fninç.iiârs.

Notons que la presse parisienne avait déjà capturé en
imagination le continuée!** hrtmdclir>urgcoi.« qui avait en-
levé d'jtwtut le fort eiHiaaaé de Douaumont et qui ne l'a plus
lârhrj depuis. « Mat** » du 3 murs écrivait :

« Le parti de BranrfebtMirgcois qui' avait réussi à péné-
trer le'3& février don* lu ruines- du- fort de Douaumont l'y
maintient loujonri» nnu dans une situation de plus en pins
précaire.... S«ns (toute notre commandement n'i-t-il pas
jirgïj opportun de sarrifier inutilement qnekpic» vie»
humaine» poirr un «saut dfu'mtrf, car le sii'gr aura- néces-
sairement ia«oa de» a encerclés-de Douaumont <>----

« Nous n'nvoiis quâ' attendre Te moment proche où Ici
firandebourgeois seront forcés de crier : a Kamerad I »
Et I' « Eclio de Pans a dut » mors :

« Les Brandebourg ois sont à Doujumout, d'une pré-
sence précaire, périllcuïe, ineJTicacc,«sacrifiée. Qu'ils soient
plot- mr mornf f(W jrtwimnier», c'est secondaire. Il* nu eoe»p-
teni plus. La grande luTalre, c'est que notre ligne demeure
fixée comme rlle est,, ne soit pas reportée en arrière, h

Or les comrnwaiqaté* allemands du 3 ot du 4 mars nous
Ont ftivpri« qise le» ftrançei*' ont en effet du u reporter leur
ligne esr «arien* »t le viHsaje de f>ou«umont éLiirt prie ci
meintenii- pur Ipt \*h*manrta. Le prétendu- « cnrcrrkrncti*>»
du fort est donc aujourd'hui brisé.

fi»- presse parirterme. comme toujours, préfère se perdre
etf conjectures <aue de commenter sobrement I<!» faiU. Elle
pasae rapidement d'un point de vue h l'autre, et il est su-
pertlu de 1» suivre dan» teuft cet1 ébats. Elle tient totriours
p it ht* I'"S(*mde de» <r Mcatember MverrMisnVv »; eHe cite
; a tort ef fr twrrcrrr te.7 chiffre» les- pu» fanlastnjoca,
•tors* mu; ft* cwrggawwsUnt dtr tr Time$ » (trône franchemenf
gtîe hrs pertes rileVrmrtars sont bien inférieures ¥ ceftVs su-
bie» dans d'.nih es batasUcs sur le front français, 1er attaques
allemandes ayanVélé préparées avec soin, avant d'être éner-
gitfuesnetrt eTéç«*écflt

Comme ai 1rs ^ussnwHstes parisien? avaient élé n*i»
au courant de» intenlàan» du Ifaul Commandement nllc-
mand, nnus \o>ons Ces stralèges en chambre abonder d'imn-
gfaatton, ,-ifin de pouvoir, quel que soit le succès de TadVer-
surr, déclarer plus (srtt qst-'il' a' subi un échec I C'est ainsi
que- Mhtirirc BeeifV dtVtare 'aur le but de* AsHemond»> c'est
Parts :

« CVst le désir de Phrti, toujours, qui enflamme et pré-
cipite ces border (Foulrc-Rnfn. Le doser de sai*rr la vifle
qu'ifs envient et mausdiatent....»

Tes MU-ntand» m- soatajpnt ni à « envier », ni a a m*u-
(Hre »'hrt§. Ontat h de» a**imdes puériles et théiHraaes ciUv
conviennent au rnbotinage de la presse houlevnrdière et e,iie
, nous UftSCTOni voloMiewi' rttirré». B'itutnnV nfus» qw'if ne
parle-aansV (*e Pa«t»qMe pcwt» pouvoir écrire :

(f M ("me se Verdow passait au pouvoir des assaillants,
notre ligne reporte» intacte, en deçi de la vicittc forteresse
daclasaée, noua laMscraùt toutes nos chances.... »

ÉÊÊÊtékm iHwrauteaH, M. IVarr^» est prêt i (Ou* I

Douaumont.

La « Koetnische Zcilung n écrit, a propos de la prise de
Douaumont, événement absolument dénaturé par la presse
parisienne :

n Nous avons pu aperécier, au conr* de la guerre,
combien no» adversaires varient dan* leur» renseignements
militaires, et passent d'un point de rec à ('autre. Si une de
leur» vantardises ne se rtittise pas, ih> nienH la portée de l'é-
vénement, «nns se préoccuper de fenp ju^em^ut antérieur
et mus uniquement par le désir d'amoindrir le succès de
l'ennemi. Notw eu avons» fait une fow de plu» l'expéiicne»
k Douaumont On prétend h Paris eE | Londres rpic ce fort
cuirassé n'a plus de canons.... parce qu'on est forcé de
l'abandonner. Il en est autrement, err réalité. Lorsque I*
force de nos canons de 4a se fut fait sentir, les Français ont
retiré de ï>onnumont les canons qni s'y trouvaient bétonnés;
la chose est exacte. Mais les canons lourds qni se trouvaient
dans les tourelles bfindées et d'autres encore y sont restés.
Lorsque le feu de notre artillerie f-al'H son- plem-, un régi-
ment français d'infanterie reçut l'ordre d'occuper le fort,
mais ne put y parvenir en teirrrw ntife ; par contre, un mil-
lier d'hommes des positions voisine» afht y chercher refuge.
IU étaient très* déprimés et ne purent remr Tenra position»
sous le feu allemand ; quand le régiment de Brandebourg
fi* son entrée dnn» fe fort, it pot conwfcter que h» rmtfail-
lerrses proférées? pur des fonrs blindées et avoisinan* lyouau-
nront, étaient resté» inemptoysf»; toi»» les servant* s'étant
réféfgiés' dan» fe fort. Les canon» de» fonrs Khndée» es-
sayèrent de se défendre; mai» furent mnr hor» combat par
les obus lourds. Voilà ce qui en est du «déclassement et
du désarmement du fort h. I* grande v»lewr-que les Fran-
çais» attachent n l>w>aumont est démontrée par r>( assaini»
continuels qu'ils font pour fc reprendre. Nous gardons le»
positions prisât, »

Le cano* de Verdun.

Sonecc titre : « Le canon d* Verdun nous riviie la rèultti
de» choses *>, Ht. Auktrd, l'hrjfOrren bien connu, publie den»
le n Jowrnnl * \m article, où ù> dit entre aulrr : i

«fie ranan de Verdun n envi le ntiAge officiel qni
nichait an priipTe français II réslîtt des fhtffpa.. v.

n Maintenant, on voit à plein combien notre possirrmm»
aginant avait raison de votrfoir dissiper cet optiimsrne du
moindre effort, si profitable aux Allemands, si nuisible k
la France.

Ces bons sourires confiants — constants en Ta baisscrliL
mark — nous endormaient dan£crrueemenl dena l'illusion
de croire que celte immobilité du régime des, tranchées n»
prendrait pu fin, et qu'il u'y avait qu'a tfteaéYa et & ré-
péter : e On tes aura » pour sauver Ta France. Qne pensez-
vous maintenant des gens qui appJxndrstaient a f ' cr usure »
de l'Allemagne cl qui assuraient doetement qm'il n'y. avait
rjn'l laisser fc temps travailler powr noua ? C'est aiawi que,
fotfcment, on s'hanrfnait k un- état chronique d'immobilité,
qu'on croyait inexpugnable.... n

Et M. Anhtrd termine en exprimant l'espoir que le canan>
de Verdun sonnera enfin le glas de la routine, de la puai»-
[inimité, etc., pour reverWer les»énergie» nécessaire».

Vf* OKMIK IU f JOUR »V GIUVKKAL. PÉTA IN

L'ordre du jour suivant a été trouvé sur un prisonnier
français du 33* de ligne :

Depuis U 21 février, l'armée du Kronprinz attaque
avec la dernière énergie not positions autour de Ver-
dun. Jamais l'ennemi n'avait mis en oeuvre autant d'ar-
tillerie, ni dépensé autant de munitions. Il a déjà com-
plètement employé dans /« baktitle tes meilleurs de
ses corps d'armée, soigneusement tenus en réserve
depuis plusieurs mois. Il renouvelle les assauts de son
infanterie sans souci de perles considérables. Tout
démontre l'imp&rssince que l'Allemagne attache à cette

action offensive, la première de grande envergure
qu'elle ait tentée depuis plus d'une année sur nofw
front. Elle a hâte de remporter un succès qui éHtermim
la fin, d'une giterre, dont sa population souffre de plms
en ptas. Ses r軫 cfVxpamiVm orientale s'évanouissenf.
tes accroissements des armées runes et angtniscs t'fie-
quiëtemt.

Ia. proclamation du Kaiser que noits ont rapportée
les déserteurs est un aveu des fffn^cs récites de cette
offensive désespérée : « /Votre patrie, dit il, est obligée
à l'offcnsiie, mais notre volonté de fer brisera l'adver
"ffirff, en cr-nséquence j'ordonne l'attaque. »

Leur volonté de fer se brisera contre notre énergie
c>mme en lorraine, en. Picardie, en Artois, sur Viser,
en Champagne, riOttt finirons par les dominer ti la
ruine de cet effort désespéré oit les meilleures troupe»
qui leur restaient se .cront vainement épitisécs, sera le
prétnde de leur détecte.

Ijl France et les yem- snr x»orw, elle compte, une /oi»
encore, que chacnn fera son devoir jnsquan hoitl.

Le Générât Cdt. de fa f armée,

" (signé) : PET AIN.

Net* de> eotenel :

A celle proclamalhn rfa Générât fétain, ancien
colonel du .?3*, le chef de Corps n'ajoutera qu'un mot :
n le 33* est toujours digne de son oncirn colonel, le
53" se fera trier, s'il te faut, mais ne reculera jamaii. n

Note Au chef de n»huHon>:

Lecture de cet ordre sera donne" immédiatement à toule
la compagnie rassemblée.

Le* événements réservèrent an 3,1" d'mfanteric, auquel

s'adresse cet ordre du jour, le sort que voici :

I* $ et le k mars-, le régiment combattit pour la posses-
sion du village de Douaumont. Pendant ce» deux jours il
subit de grnvcs pertes ; Te» prisonniers Témoignèrent don
état dame désespéré, se plaignant du commandement et du
ravitaillement. Le nombre de* prisonniers du régiment aU
teignait, le 5 mars, ai officiers et 87^ hommes.

L'ordre du jour fougueux du chef d'armée, qui n'hésite
pa» d'opérer arec un appel impérial qni n'a, bien entendu,
j*mah existé, n'a donc pas conduit le régiment à la vretoir»k

CC QUE VALENT LES INFORMATIONS FRANÇAISES

Le communiqué ot lierai du Haut Commandement auV
mn» résume de la façon suivant» les combat» qni curent
lasti te 3 mars pré* de Verden :

n Ce» deux côtés de la fttitse lei fronçai» renforcèrent
FectHité de leur artitterie et attaquèrent, après avoir consi-
dérablement accru leur fe.u, le vittaye de Douaumont et nos
lignes attenantes. Ht furent repaussés, ci et là dans dm» com-
batte corpt à- corps, avec de grandes pertes eA pardirent, en
outre, de nouveau pins de 1,000 prisonniers rien. b*>rsé*. »

Le» Frauçai* eux-momea ne sauraient geère douter'dc la
véracité des informations officielles allemandes. Néanmoins,
ou peut être d cause de cela, le* communiqués allemand*
ne sont pas portés à la connaissance du peuple français.
Par contre le service d'information officiel français décrit
les mêmes événements dan» 11» radiogramme da Lyon, daté
dtr 4 mors cl dootrné au peuple-français et an inonde neutre,
auquel on s'efforce également de cacher le» informations de
source allemande. Ce radiogramme est ainsi conçu :

n Le» tentatives des Allemande à vontoir a tout prix pren-
dre Verdun Icor ont encore conté hier de» porte* e^traurds-
na*renient élevées. La presse constate qu'il* avouent 75,000
hommes. Cela donne une idée de leurs perte* réelles. Le plan
ennemi, qui consiste A élargir In brèche au nord de la ville
pour faire passer le» tronpce vnîeorieuaea* a encore romplè-

• Mars 191«

tement échoué hier. 3-4oo mètre* de gain de terrain provî,
soire constituent en tout et pou» tout *ff- résultat de ces de»c
mères journées de la bataille air nord d* Verdun.

Le n Pehf Parisien ■ écrit :

Jusqu'à- présent aucun* résultat pratiqua n a été obtenu
par ^adversaire. La lutte continue; c'est vraiment une grande
bataille dans laquelle nous n'avons encore engagé qu'uni*
faible parti» de nos réserves. «

fVaprvs le a '!»/.n », des constatation* e*senliellci se dé-
gagent do lu journée érontéc : la première c'est que psrlout
nous avons admirablement résisté au formidable feu rpit
déferlait contre nos positions. Avec les alternatives d'avnne*
et de recul qui se produisent au cours d'une action aussi vio-
lente, nous avons maintenu notre ligne, sans faiblir et sans
permettre a l'adversaire de conserver contre nous les moin-
dres avantages.

Kn deiiTiéme lien, il est indiscutable que-le» Allemands,
ont subi hier encore des perte* infiniment plus considéra-
ble» que Ici notre». Sur le* neiges sanglante» de» hauteur* da
Douaumont l'élite de lettre bataiHon* a éW massacrée ; aa
certain» points le» cadavre» étaient tellement les un* cootrs
les autres qu'ils n'ont pa* trouve assex de place pour tomber
à terre et qu'ils sont restés debout, formant une phaUnga
sinistré, a

Cette description dépasse même 1* mesure de* ssaasaâaal
ge* de même source, répandes jusqu'ici. Le X mars fit o*>
jour de combat, où le» aitssjase acharnée» da» lYaAçait
n'effondrèrent, malgré le» plus loerds sacrifie es sanrJuta. st
avse une perte as plu» de I ,IMK> pria*renier» non M—ti,
tandis que le» Allemand» ne bougèrent pa* d'un, piirf, <*
qui était conforme s- leur pu»n>r et ont aa***s»s»n souoesoeat
leurs gains, en- ne subissant epse des perte» Ire» supportables.

la guerre navale

LES EXPLOITS DU » MŒVE »
Berna, 4 mari l»l
Le vaiflsenu de 9. M •< Moto* » (cummosot par 1» casa»
ttfne de corvette Burggraf und Graf eu Dohna-Scbaoaaaot
«et rentré M}Ourd'mii don» ae» port (l'attacha, auras uns
crotatére de ptuneur» mot» rien» e» aueee* i) avait h b
comme priswimarr : ♦ offlaer» angMSr 2> soituu» d» n
et mots lot» oeglaie, tW homme» prwiaaat d'équra
vapeur» en ne nu» — paras» caex-e* Haï Inutea» -
dss lingot» d'or d'une jeteur d'usr mùnor» d» markav L*
veuasen a capturé le» vapeurs ennemi» suivant», oat'A a-
couté» pour 1» plupart, ot dent it a eawmy» «a* petit neuabrs,
comme prtse». demi de* port» neetra» :

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droU* de 1* côit enoemu, dont le vmssww it gu«rre fiDgM,
o Bimar* VII » s»!, enlr» «utrei, âtvem !m TtcSne

IM tomwge total du navtm rii,lnré» c«4 d*57.S3& tooMat

Parra» 11» soldats français tombés sn captivité allemande, un certain nombre de blessés et de malades ont succombé nwlgrfr les soins dont ils furent entourés. La tt Gcuette »
continue A gabier la- liste de- ces victimes du devoir. Un certain nombre de ces décédé» s'étant toutefois trouvés lors de leur oaptnre dans nn état d» faiNees» eiohranl
toute pfiesibilitA do les interrogor, il n'a pas été possible d'établir exactement leur identilù. Dans ces cas
possible de recueillir. . ~

Gasette n publiera les données (matricule»,, ete.) qu'il aura été

LISTE »* 15 DE PRISONNIERS DE GUERRE FRANÇAIS DÉCÉDÉS DANS LES HOPITAUX ALLEMANDS

MESCHEDE ' westf.

lie-rlltelot Pierre, Hénon (Uôtes-du-Nord), inf. t-errrt. 74.
Wanrliùi-tfJpam Vfllirme (t:6te^chrL*Yorrl), in(. lorrir.74.
HoquiHort FAmotn% I«*mainm n'ayan* pu fHre MaWiC.
t:aullf"y Kk'licr, formation n'jyant pu élre établre.
Uoulo», rorntaUotr n/ayaM pu ôtre (Habite:
ReUtoyo Laurent, fWirratiOTi n'ayant pu être établie.
Driva»; 8t~.-\x&ino* (Cflles-du-Nord), infant, terrrt. 73.
FaugeroUcs Jean, infanterie 144.

GeUroy ^ ;o.c. MaiilhéJon, caporal fKiiru), inf. terril. 73.
Gcndï-ol Scimuel, formation n'ayant ]>u ^Ire &tÉkW.
llnmlrlol, lorrnottoa n'ayant pu elre élaliltc.
Jiislitc KbsaH bat. d'afr.

Launay .tenn ITapL, fîuekit fnùte^-dn->ford), infanterie
( letntoiiale'73.

'I,e Hnber Ixiitr*,. GiwMhnUe (Manche), infîlnt. tcrrït. 74.
Le flraftî CîHamrcr, PrttMieril (CôtOb-dn->Joid), infanïcrie

leu ilorj.ilc 7-î.
Le r.uv' .leaii, fernuTTIotr ir'ayant- pu rtre étnl'dre. <
Le l'élut .Icatv, Plftlo {(iûlea-du-Pioi'dK infant, terrrt. 74.
lj*titr> Kdv.tiaiïl; Montfortvillo (MuncUe), inf. terril. 73.
Iwn-cinl A'usfusto,. f'hîneulf (Gole&-tlji-Noid;, inf. Lcrr. 74.
Ijoraot Joseph, Ilillon (Cùtt;r-du-r;oid>, inUnt. lerrit. 74.
ompy Jrar> Hopt., AimvirK (t:ùles-dn-\oid), infanterie

Ici nlnnato 77»*
POho, fonnaliou n'ayatil'ptv tMie t-lahtio.
IVi-tme, t.fidifÀrt^îauiincr (Gôtes~dn-Nordî, le! d ait. 2.
l*riiiipi>e .Heofii, Utorme, bot. ri'afr. 2.
PrVi tki \f:inricc, onpor.il, mf.intene Ci.
l>ô*rlt> .io*"-]di', rormation n'ayant pu être (Habite.
Poun'i'nt! KKeiTfkcX etsDJSiMWfl a pied 91
Potirconu K'icnnc, lormidton rï'nyaitt pu ôtre ûtnbtïe.
l'i la formation' n'ayant pu êlre i;.faMic.
<Jnotre7 JittVç,' fÈyi'mn.Uou n'ayant pu Mro C'fabiic |
ïièva} Ijotih nitnTilfriD'7Ti.
lîîhntiri; Mit.tI', nifanlei te Mt
1ii\itTc .P ai-Hapltsle, lornintum pu l'-lre ûlablie.
lluliin Airicd,' Maule-Sa\oic, intaiiteiio Mft .
'l'Iinllin .1. \farie, fOriimMon n'aynnl pu iMrc ('«lablic.

METZ-MONTIGNY

Ai'iiaiill \i"itv Hiofoiitl (Indre), infanïcrie fo.

.Mailiit \\iiiadd* Aux-Chesny (An\crie), infanieiie 20'i. ,

MINOE"! rW.

Bandez lu ni. POnt-s.-So/nbre (Nord\ foi mat ion n'ayanl

pu ètft éÛieseoV
Jtlu Loui-. nttaiilerie Lercitormle251.
Iionifaco f\dolplrO, Bautenierca (Nord), infaïiK lenit. 3.
Catlvian, i:m.le, WulùKniut (Nord), infanterie terril. 4.
Compagnon Pcraand, Sl.^Sulpice-de Cognac (Charente),

infantoflo 007.
Deremelx 6u*jUu, Blessy (Pns-dc-Calais), infanïcrie Ii5.

Derombise Léon, Ponl-s.-S»mbre (Nor(t)> garde-voies.
Deschamp^ René, Kranctieville (Cûle-d'Or), infant. 60.
Doucet Henri, Paris, infanterie t45.
Drouart Gaston, Gentelte-Picardie, in-fanteria 12.
Bcnelard Malhtinn, rnfanlerie territoriale 85.
Fontaine KéHx, la Telhaie (Morbihan), infant, territ. 85.
Gobiflot Joseph, Konlainebleau (Seine-et-Marne), in-
fanïcrie 25t.

Gossclin, Henri, Fermanvifle (Majfctie),-artiHerie 3.
Gravelle Alexandre, Rombies (Nord), artifrerie i.

Guillermot Louis, sergent, Ponlivy (Morbihan), infan-
terie colomalo 32.

Gustin Henri, Onnaing (Nord), infanterie territoriale 2.

Juhel Thudual, rxeinarie (Morbihan), infant, terril. 85.

Lavend Louis, Vannes (Morbihan), infant, territor. 85.

Leduc Iréon, Onnaing- (Nord); iufanterid territoriale 2.

Le Fur Guillaume, Korbral (Finistère), infant, colon. 3Î.

Le Qtnntrec Alain, SI-Alloueslre (Morbihan), infanlet ia
coloniale 3S.

Martin Louis, Valleranguc (Gard), infanterie col6n. 4.
Naugeler Ixmis, Musny (Nuid), infanterie territoriale 3.
Rimboud Pierre, infanterie 20.
Soufflet Fiançou, Wignehies (Nord), artillerie 1^
Sourgcl Jobcj)h, Monleneuf (Morbihan), infant, terr. 85.
Taure Mrnest, Corbie (Nord), infanterie territoriale 14.
Wallemaci] Augusle, Wasonehal (Nord), infanterie 145.

MOLSHEIM

Cailloux Philipi>, Taiiiiiay-en^Hazttts (Ntêvro), cliasseun
k picii if.

f.aslnftnc Ant., Urancoilles (r.orr^w), chiss. à pied 21.

MUELHEIM m d. ruhr

Catvct Fnmi;ois, sei^cnt, Argenteml, infanterie 98.
r\amele( Marcel, Nogcnt-siir-Scine, infanterie 37.

MUELHAUSEN "E.

AAtkrtetlX Jean, dragoiib i%

liai Jet Victor, Lyon, furmalion n'ayaat pu filrc établie,
liartkîz I'icrrc, malncule : 1003, Kpinal N" 1GO0.
Hat-riul Jean, Chassclay (Rhône), infanïcrie 371.
northclin Paul-Louis-Marcel, Fredey (Seine-et-Marne),

infanïcrie 86.
lïicliet Justiph, Pans, infanterie 42.
Rourgeoh rictirt, infanïcrie 172.
lioyer Auguste, Uochc-Ia-iVlolière (Loire), chass, alp. 28.
Braillard Jean, Si.-Etienne (Ain), infanterie 23.
Brevet Mwrie, infanterie 23.

Cautelin Henri, Montreuil-soua-Roia (Seine), infant. 42.
■ Cellier Philippe, infanterie 171.
Ohabrici Jnl. s, Uolve/el (Gard), infanterie 171.
[Jhapnl Victor, Lyon, infanterie 235.
Gliaudal Claude-Maxime, lieutenant, Torpes (Saône-et-
Lotrcj, infanterie 35.

Ghaumont Jean-B,, matricule : 18Bi, Auxonne N' 87î.
Cbevrairt Maurice, matricule : 19ii, Berfort N' 2050.
Ghoquey Jules, Froideconche (Haute-Saône), infant. 4S;
Colletaz Constant, matricule : îyO», Belley N* 407.
Cudraz Jean, Notre-Dame-de-Briancon (Savoie), inf. 07.
Curty Julien, la Mukttière (Rhône), infanterie 171.
Owisade Joannèa, matricule : Rhône-Nord N* 809.
Daval Antony, Notraable (Loire), infanterie 23.
Dejamand Julien, Nnrbonn» (Aude)-, chass. alpins 27.
Dormoy Edmond, Vyans (H«ut«-Saône>, infanlerie W.
Ferrey Ernest, matricule : 1006, Vesoul N* 205.
Gavoret François, St.-Pterre-d'Albigny (Savoie>, inf. 07.
Gérard Henri, Faverney (Haute-Saône), infanterie 42.
Geraudie l^on, matrici/le : 1912, Tulle H* 235.
Grandpierre Auguste, Luxelle, infanterie V4.
Guy Louis, matricule : Vesoul Ne 328.
Joty Alexis, infanterie 297. -

Lacrivix Charles, St.-Lupicin (Jura), infanterie.37J.
Laune Eugène, St.-Btienne (Loaère), infanterie 23.
Lavastre Augustin, matricule : i912, PonWSL-Ksprlt

N* 162.

Léger Joseph-Henri, Au Grange de Poizade (Ain), chas-
seurs 1©.

Maillard Benjamin, Mollans (Seine), infanterie 42.
Mallelon Jean, Chaffard (rsère), infanterie 42.
Meunier Pierre, St.-Etienne, infanlerie 23.
Metrts Henri, matricule : 1904, Vesoul N* 435.
Morel Pierre, Croix, infanterie 35.
Morin Antoine, Combes (Puy-de-Dôme), infant, terr. W.
Morizot Félix, Maxilly (Côte-d'Or), infanterie territ. 57.
Moulnlle Henri, Esbarres (Côte-d'Or), infant, territ. 57.
Nisat Alfred, St.-Blous-de-Mauclesus (Hérault), drag. 19.
Paquclet Jules, Vellefne (Haute-Saône), infanterie 42.
Perrier Emile, Onans (Doubs)» infanterie 371.
Ramand Camille, infanterie 60.
Rassinicr Jules, matricule : 1912, Relfort N* 852.
Ration Pierre, matricule : 1910, Bourg 246.
Reverdol Eugène, .Dijon (Côte-d'Or), dragons 15.
RilTier François Jean-Bapt,, St.-Pourcain (Allier), in-
fanterie 235.
Robert Claude, matricule : 1913, Belley N" 1282.
Sacliari Jean, Ayde (Hérault), dragons 19.
Sandoz Charles, matricule : 1911, Belfort N* 17C.
Soulhomas Albert, Apremont (Aisne), infanlerie 371.
Thomas Maurice, Pans, infanterie 42.
Trolliel François, Genève, infanterie 97.
Ulmann Lucien, infanterie 35.
Vautrin Lôon, chasseurs 5.
Verger Etienne, chasseurs à pied (?).
Voland Lucien, Arinthod (Jura), infanterie lorrilor. 242.

SIERENZ B muelhausen '/E.

Clerc Alphonse, caporal, Jougnc (Doubs), Infant. 97.
Volaire Joseph, Bnançon (Hautes-Alpes), infanterie 169.

GEBWEtLER "E.

Beseel JMtqves, crKiaewr» aéptn» 2aV
Bonmrr Loués, matrreul* : Bourges N* 19.
Cardât Réafrs, dnsMun alpins 28»
Dtnnont Jean, infanterie 334.
Huot Charles, clmuoeurs a pied S.
Mathieu HHaire, sergent, ehassetirs h- pied 5.

MUENCHEN

Baccou A., Aigues-Vives (Hérault), formation n'syant

pu Mm «tebiie.
Barinda Louis, Montagnac (Hérault), infanterie 322.
Hr.-vet Albert, caporai, Marisruon (Vaiy, infanterie lit

Charransot Marcel, serg., Avlgnorr (Vacrcrtraet irrf, IH
Chauvet Jean, Fourneis (Lozère), chasseurs alpins 24.
Clément Isidore* Vinctaitte» (Seîna), infanterie 139.
Connes François, Brouilla (Pyren-.-Orient.); chasseurs 6
Dupuis François, Tôtirmlles (Garonne), chass. alpins 23.
Durand Joseph, Limages (Aude), infanterie 61.
Esposito Mathieu, Marseille, chasseurs alpins 23.
Fargier Henri, Chaumienne, înfimterhy Ht.
Garros Pierre, RochefeurH» (Bas^es-Aipea), infant. 40
GimoMo Antoine, Nice (Alpes-M)»rit.), infanterie (4L
Masson Auguste, chasseurs 03.
Sarnette Verou, Sennas (Rhône), infanterre 40\
Sciorato François, Toulon 0'sr)< infanterie 112.
Sorre Ernest, Pftm es (Gard), infanterie 40*.
Theraube Fernand, Grande-Combe (Gard), infanterie '

MUENDEI» (Hannover)

Chopin René, Cancalcs (ille-et-Vilaino), infant, oolo* t
Duahale Jean, Ustarifa (Ha8se«-Pyrén.)y infant, col. fW.
Dufros Joseph, Caul (Colc«-dii-NoVd), infanterio 202.
Emeriau Ernest, Nantes (Loire-lnL), infanterie 9»» -
Jea^Ernost, Goudorville (Tarn-e.t-Garoime), infanlerie
coloniale 24.

Leciincne Eugène, SL-André-drs-Kanx (ixiire-ïnt.), in-
fanlerie 135.
Marchand Alfred, Paris, infanterie 40.

Milcendau Jean-Marie, St.-Jean-de-Mont (\'endre), i:'
fonterie 137.

Simone! Henri, Réveillon (Marne), infanlerie 76v-
Thierry Lucien, Monldefelier (Seine-et-Marne), inf. W

MUENSINGEN

Bergeron Henri, Ojaccio (Corse), infanterie 173.
Bousquet Gaston, Carcassonno (Aude), infanterie 143-
Champ Samuel, Privas (Ardeche), infanterie 61.
Pintenal Octave, Cosne (Nièvre), infanlerie 86.
Renaud Louis, Cosne (Nièvre), infanterie 85.
Rouanet Henri, Perpignan (Pyren.-Orient.), infant. 53.
Sendrané Mariua, Carcassonne (Aude), infanterie 143.
 
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