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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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https://doi.org/10.11588/diglit.2794#0140
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GAZETTE DES ARDENNES

n L'empereur allemand! je lui donnerai bien Verdun
pour troll ceni m/de Allemands! »
Et Polybc d'ajouter :

« II y a beauMUp plus rte choses dans ce mot — authen-
tique, jo l'affirme, — que dans Lien des digressions de la
I Revue des sciences militaires », où j'ai pâli I »

Vous comprenez ce que cela veut dire. Cela veut dire

Ïue celte, midinette dont le talent stratégique, ébahit M.
einarh, lit le» journaux parisiens et qu'elle croit aux folle»
légendes des hécatombes allemandes qui y fervent de conso-
lation et d'excuse à chaque recul français.

Mais laissons Polybe à la modiste et donnons I« parole
A un critique véritable, dont la renommée n'est plus h faire.

Dans le ■ Bund », grand journal vraiment neutn dt
Btrne, M. II. Slegemann, appréciant les résultats dès au-
jourd'hui acquis par les Allemands au nord de Verdun, es-
time que la valeur de Verdun en tant que porto de sortie et
d'attaque contre l'Allemagne, se trouve paralysée et le plan
d'une grande offensive frapeo-anghisc contrecarré.

UN ÉCHEC ITALIEN

Vienne, 16 mars (Officiel).
, À l'Isonzo inférieur il n'y eut hier qu'une IcnUtive
d'attaque, exécutée près de Sclz par de faible* leoupes
Italiennes ; clic fut repousséc devant les obstacles des posi-
tions autrichiennes. Le feu d'artillerie et la lutte \ coups de
mines et do grenades fut d'une force moyenne. I.o duel
eVartillcrie fut d'autant plus vif dans le secteur de Tclmem
«t Fritscli et dans la contrée de Fclla-

Dans la partie nord do la tÊte de peut de Tolmehi, uni
tTftopes attaquèrent, enlevèrent une position ennemie, rirent
yrtaonnier» 449 Italiens, dont M officiera et prirent trois
tnltnritfeusea et un lance-mines.

Au front tyrolien, simples luîtes d'artillerie au- M nl«
Piano, ou Col di Lana, près de Riva et'en Judioaric.

ON NAVIRE-HOPITAL TORPILLE.

Un communiqué officiel austro-hongrois du 19 mari
llfnale le torpillage, par un sous-marin allié, du navire-
Mpital autrichien « Kleclra ». Co torpillage eut lieu non
loin de Sebenico, par un temps clair et sans aucun* aver-
thiement. Le navire fut torpillé deux fois et frappé uns
fWi ; il est gravement endommagé, un matelot s'est noyé,
deux infirmières de la Croix-Rouge sont grièvement blessées.

L' « Klectn » était formellement déclaré comme navirc-
hôsntai et était caractérisé comme tel par la croi\ rouge
rtfiementaire, vinblt de loin.

On ne mumiI imaginer plus grave violation du droit des
gens que cet acte cwmmis par un sous-marin allié.

Un destructeur français torpillé.

Dans la matinée du t6 mars, un sous-marin austro-
hongiois a torpillé, devant Durazzo, un destructeur fran-
çais do type « Fourche u. Ce dernier sombra en "une
minute.

LE BLUFF ANGLAIS

Sous ce litre, le « Bruxellois 11 vient de publier, à propos
'do la nouvelle loi de conscription anglaise, un article dont
Voici les principaux passages :

« Ça y est 1 Et pourvu que les graves ne s'en mêlent pas,
qos bons amia, les Anglais, auront, vers le 1" janvier 1917,
une nouvelle année....

<i Au temps Jadis, en 1914, l'on parlait fortement du mil-
lion d'hommes qu'Albion devait envoyer au front ouest pour
Janvier 1 ni5. Vint février, l'on déclara non moins sérieuse-
ment que ce même million viendrait en avril. Avril passa

et fin décembre, il fut encore plus fortement question du
service personnel qui produirait cotte fol» une nouvelle et
formidable armée, destinée h soulager enlin I nos frères au
front.

« De» gens « intelligents » discutaient à perle de vise
sur cet événement tant atlondu, appelant la statistique à
leur aide. Le million de Kitchener redevint un dogme
sacro-saint, qu'on no discutait plus.

« En fait de « service obligatoire », les Anglais ont cru
prudent de laisser l'Irlande en dehors de la combinaison,
certains que les fils de la Verte Erin (que depuis tant d'an-
nées, .4(i>r6rt décime, exploite, martyrise et affame), ne fe-
raient que de piètres soldats forcés,

ii Albion dut recruter son armée en majorité parmi les
siens, mais, on avait compté sans les «Trades Unions » et
sans l'amour immodéré des jeunes Anglais, individualistes,
pour la liberté. De deux maux, ceux-ci ont choisi le moin-
dre : entre le front et le mariage, ils n'ont pas hésité et ils
ont bravement choisi celui-ci. Le seul résultat de lu loi sera
<Io faire bénir le Parlement par les vierges anglaises, suffra-
gettes ou non. Un mari, ce poisson sî difficile à pécher
dans la libre Angleterre, mais il y en a aujourd'hui pour
toutes I. ...

a Tous les jeunes Anglais, dans un élan de sincérité
patriotique, se ruent vers le mariage, afin de permettre a

d^autres d'aller se faire casser la......Genre à leur plocc.

L'égoisme sacré et l'atavisme anglais éclatent ici au grand
jour, aujourd'hui triomphe Cupidon. Les jeunes Anglais
épousent, tout ce qu'ils peuvent trouver, jeunes ou vieilles,
belles ou laides, toute celte course à l'hyrnénée prouve su-
rabondamment que le peuple anglais n'est, en aucune façon,
partisan de la guerre, lorsqu'il doit payer enfin, de 10 per-
sonne.

« De tout ce bluff, que résultera-t-il, rien ou presque,
un ou deux corps d'armée et encore, quand seront-ils prêts ?
et que vaudront ces conscrits forcés P....

« Aujourd'hui, la France, que ses politiciens ont menée
à la boucherie, doit combattre pour défendre son territoire
envahi, tandis que l'Angleterre, elle, se bat (ou du moins,
envoie les autres se battre) pour conserver, pour elle seule,
l'empire des mers. Jalouse jusqu'à la folie d'une marine
'concurrente de la sienne, elle prétend l'écraser comme elle
a ruiné les marines espagnole, française, hollandaise et
portugaise, pour cela, iV lui faut des soldats. Les bureaux
de recrutement travaillent ferme aux accents du « God save
the King », mais ils' font un four noir et cette musique n'en-
traîne les jeunes Anglais que vers un rapide mariage. Lord
Derby en sèche de dépit.

a Peut-être que tout ces mariages natifs donneront dans
l'avenir quantité do petits Anglais, qui, eux, comprendront
sans doute mieux le service personnel et obligatoire. Mais I
oi les nôtres doivent attendre après ces rejetons d'utili-
taires, ils ont le temps de pourrir dans la tranchée I.... »

LA CATASTROPHE DU a TUBANTIA »

Berlin, 18 mara (Officiel),
Le département de la marine hollandaise ayant
déclaré officiellement, à props de la perte du Tapeur
« Tabantia », qu'il ressortirait de déclaration* faites,
sous serment par le premier officier, le quatrième offi-
cier et la vigie du vapeur, que le sillon d'une torpille
aurait été nettement visible, nous établissons qu'aucun
sous-mariu allemand ue peut être mis en cause.

L'endroit, où la catastrophe du « Tabantia » a eu
lieu, étant situé à moins de 3o milles de la cote hollan-
daise et se trouvant donc compris dans la zona déclarée
non dangereuse pour la navigation (voir la déclaration

allemande du và février io,i5), nous pouvons ajouter
qu'aucune mine allemande n'a été posée a cet endroit.
Le chef d'Elat-major de la marine.

Il report de cette déclaration officielle que. toute tenta-
tive de la part de la presse anglaise et alliée,» de- faire du
K Tnbantia n une victime d'un sous-marin allemand serait
une simple calomnie. Tous les passager» du n Tubantia »,
qui ont été sauvés, sont d'avis que la catastrophe a été
causée par une explosion à l'intérieur du fiovire. D'autre
part, on sait quel rôle joue- l'imagination surexcitée dans
toutes les observations du genre de celles que veulent avoir
faites les officiers du « Tnbantia », dont nous ne suspectons
pas la bonne foi. Il est évident que l'Angleterre a tout intérêt
k rendre l'Allemagne responsable de tout accident pouvant
arriver à un navire neutre.

Détail curieux : Peu après la catastrophe un sous-marin
anglais apparut, Elant donnée la perfidie bien connue des
mélbodr* anglaises, il n'et nullement impossible que les
sous-marins anglais torpillent des bateaux neutres, pour
dire ensuite que c'étaient tes Allemands.

En ce qui concerne les mines flottantes, il est à noter que
ce sont surtout des mines an niaise* qui ce rencontrent à la
côte hollandaise.

Ip el SGs'sle en France

LE SUCCESSEUR DU GENERAL GALLIENI.

Le quatrième ministre français de la guerre depuis le
début de la campagne est trouvé : c'est lie général Roques,
commandant d'armée,-qui opérait en Woévre.

La crise latente qui durait depuis une semaine, bien que
la censure s'appliquât à la dissimuler au public français, a
passé par des phases successives.

Il a été question du général Lyauley, puis de deux parle-
mentaires, MM. Barlhou et Nouions, pour remplacer le
général Galliéni.

Le général Roques est né le a8 décembre 1856, à
Marseillan (Hérault). Il est ancien étire de l'Ecole poly-
technique. Il a Été nommé sous-lien tenant du génie en
1878 ; il fit, comme chef de bataillon-, 1 expédition du
Dahomey ; il fut nommé colonel et ingénieur des travaux
publics de Madagascar en 1901 ; général de brigade et
directeur du génie au ministère en 1906 ; général de division
en 1909 ; inspecteur permanent de l'aéronautique en 1910 ;
commandant de la 7* division d'infanterie "en inra, corn-
.mandant du iV corps le 18 août iniS ; commandant de la
1" armée le 6 janvier ip/i5.

Le général Roques n'a pas de passé politique.

INCIDENT A LA CHAMBRE.

Un vif incident a marqué la dernière séance de la
Chambre- M. Accambray, ancien capitaine de cavalerie,
élu, comme radical unifié, député de Laon (Aisne) au
renouvellement de 1914, a fait une véhémente sortie eontre
le commandant en chef.

Nous reviendrons sur cette séance.

DÉPUTÉ MORT AU CHAMP D'HONNEUR.

M. Thome, député de Rambouillet, vient de tomber au
champ d'honneur.

M. Thome était âgé de trente-six ans ; il était mobilisé'
comme sous-lieutenant d'infanterie aux armées, dés les
premiers jours de la mobilisation. Il "était en dernier lieu
attaché à l'état-major d'une brigade d'infanterie. C'est dani
l'exercice de ces fonctions qu'il fut tué, le 10 mars, devant
Verdun.

II représentait, l'arrondissement de Rambouillet depuis
1914 ; il était inscrit au groupe de la-gauche démocratique,

l le titra : < Un efn//ri

22 Mare 1916

M. Poul Deschanel a annoncé, mardi, au début de I»
séance,, le nouveau deuil qui frappe la Chambre.

M. Thome est le sixième dfputc français mort au champ

d'honneur.

LA DÉPOPULATION.

Le ■ Figaro • écrivait dernièrement t
effarant » :

« Ce n'est pas seulement au point de vue de la morale
que M. Paal Leroy-Beoulieu, dans sa protestation indignée
devant ses confrères de l'Institut, réclamait au cours de la

dernière séance de l'Académie des sciences morales et poli-
tiques plus d'énergie des pouvoirs publics dans la répression
de la monstrueuse propagande néo-malthusienne, qui s'étale
en brochures chez certain» libraires el pénètre même sous
forme de circulaires dans no» maison». t

<i C'est aussi et c'est surtout au point de vue de notre avo-
nir national.

« L'éminent économiste a longuement étudié sou» toute»
ses faces la question de la dépopulation, et de cette étude le»
conclusions malhématiqucs sont que ii la natalité continue
son mouvement décroissant, dans vingt an*, nos armées )(.

ront infailliblement réduites de 800,000 hommei.

u Ne point aviser serait une trahison pure et simple, n
LA CENSURE PUÉRILE.

De 1' « Homme Enehatné'-» :

On n'ose presque plus maudire la censure parisienne
quand on voit comment fonctionnent set succursales dè

province.

A Lpinal, non seulement elle blanchit, mai» elle dicte lea
mots ou tes phrases destinés a remplacer ceux'qu'elte sup-
prime

Nous avorta, par exemple, sous les yeux le récit de»
obsèques solennelles faites aux victimes de l'aviatilr. qui t
exercé sa piraterie (I) sur ta cité vosgienne. La, a Dépêche n
s'est vu intecdïre de publier le nombre des prolonges d'or-
tillenc et des cercueils qui ont quitté l'hôpital Aux chiffre!
a été, d'autorité, substitué, chaque foie le vague met des,

Pts encore. Notre confrère écrivait ; ira* Imme^st fossa
a creusée. Le mot u immense » a choqué la censure
qui l'a fait remplacer par le mot longue. Diverses correc-
tions du même ordre ont été Imposées.

On croit rêver I

TJnc violation <>u droit (tes (jens

Depui» quelque tempe déjà, dee journaux français
conseillent l'emploi du fusil de chasse a gru» plomb e; à
chevrotines don» la guerre de» tranchée». Certaines feuilles
ne manquèrent pas d'accompagner cette proposition de leur»
allusions haineuses, réclamant l'ouverture de n la chasse
aux Boches 11 etc.

Mais il e»t vraiment déplorable de devoir constater que
mime des chefs on fait leur cet ignoble projet. Le -général
Galliéni, ministre de la guerre, n'a pa» eu honte de le
ratifier. Finalement, apré» avoir cyniquement discuté I»
mise en pratique de cette flagrante violation du droit de»
gens, on déride de confier a de» hommes «ehoiii»,., et
particulièrement aux officiera et sous-ofSeiefa, dee fnsHe de
chasse, calibre .Sa, avec cartouches à chevrotines.

Il est intéressant de noter les raisons qu'on donne pour
justifier l'emploi de pareilles arme», qui ahnwse *e guerre
au niveau d'une « chasse à l'homme ».

Une « autorité » militaire française, a déchiré qu'en ts
servant du fusil de chaste en patrouille, on manque moins
souvent l'adversaire qu'avec le fusil de guerre, et qu'on est
ainsi en état de la ramener, blessé, dune le» lignes fran-
çaise», où il sera fouillé et questionné. Les partisan» du
fusil de, chasse affirment qu'on ne meurt que rarement des
breaaure» de chevrotines. Mais ce qu'il» ne disent pas, c'est
que, si la mort n'est pas immédiate, les hlcssurea osu^ées

LES MORTS DE G AL LIFO L S

La « Gazette des Ardennes » continue ci-dessous la publication des soldats français, victimes de l'aventure des Dardanelles, dont les noms se trouvent inscrits sur les nombreuses
tombée qu'on a trouvées 3ur lee champs de mort de la presqu'île de Gallipoli, après son évacuation par les troupes alliées. Notre liste ne saurait évidemment Stre complète. Nous ignorons
la proportion des morts enterrés sur place, et dont les noms ont été inscrits sur les tombes. Et même ces noms inscrits n'ont pu-fitre tous déchiffrés.

Ctlvier, infanterie coloniale 7.
ColomW,

Burgcs, régiment de marche d'Afrique 1.

Joulier, infanterie coloniale 54.

Gugalûj-, régiment de marche d'Afrique 1

Bncon, nlgirncnt de maiche d'Afrique 1.

Gary, rcymuint de marche d'Afrique 1.

BeiiaKi.i. infanterie 17O.

Rigal, infanterie 176. -

Jaillort, infanterie 176.

Rictud, infanterie rjd.

Cbarnbrri, infanterie 176.

D»-Ridoi, infanterie coloniale 7.

Doris, n glmeM de marche d'Afruj

Jervnl, intunterie colonude 7.

Derrière, infanterie coloniale 7.

Belmoiil, (rain dec équipagee,

Bordei zouaves 3^

Jouîx, Infanterie colouiule 7.

Souado/

Dalvci'ii;., escadron du train des éij

Lebivic, infanterie coloniale 6.
Philibert, artirterre tj.
Bj&yel, .uiket'ie £7.
Cousnu l, infanterie 175.
Catovs, infanterie 176.
Racceur, ugianent de marche d
Cois-(i,n-, infanterie coloniale
, infanterie 17(1.
iif.interie 175

il railleur.

ït-'igent, génie 1.
guut, infanWiu coloniale
'literie coloniale 7. ,

Dodillo
Dubo.,
Dudyei
GmIk'.

Tcyiou-
Uevrc,
Bodo, 1
Degeef,

Jeise, nviimcnt 7.
Allô, infiiitciic 17G.
Robin, infanterie coloniale
MunOjdi, infanterie colonia

Cudca
Fericr,
Perouciî
Mangm.

Simon
Bautici.

Rogo, K6uaW%.

Gauthier, fnGnnier, infanterie 1

Colnat, iutifUerie coloniale 53T

lotiatofci

iifaiileiie 17C.
iuEanteiie 17

'ipour, génie

regnni"

Brachet infanterie 176.

Michclard, infanterie coloniale f.

Zavacosa, infanferie coloniale ■

Charci^infantcrie 176.

Chappclli, icrgent, génie 1.

Ovigny, infanterie 176.

Canal, infanterie 17*8.

Faby.'

Michel.

Sudme^.

Caillard.

Roman, infanlei ic culon. .' "

Margadal, BOUavcJ 1.

Hoaeo.

Ararcon.

Richcr.

Boifrgeon.

Picavcnt, infanterie colouu1

Amelin, infanterie coloniale 6.

Roli, caporal, infanterie colonial

Berlin.

Nicolet.

Vient, caporal.

Toinpé, sergent, infanterie 176.
Cornus.

Biron, caporal, infanterie coloniale
Texicr, infanferie coloniale 5-j, ~
Sala.
Eslivac.

François, infanterie coloniale 5S.

Boisserin, artillerie r.

Fodé, infanterie coloniale 58.

Urbain, infanterie coloniale 58.

Bcra, infanferie coloniale 8.

Falba.

Dumont, sergent, infanterie colonii.
Mabiat, infanterie coloniale 57.
Peyvod, serpent, infanterie 17G.
Masglc,

^ouslcymann, infanterie coloniale .r
Dtava, infanterie coloniale 07.
Biultité, infanterie coloniale 67.
Moufoi-, sergent, infanterie coloni.
Maniady, infanterie coloniale 58.
Bejnaitd, infanterie coloniale 58.
afarchetU, infanterie coloniale 58.
Souche t, aspirant, artillerie 1.
Pierre, mniéchal-desdogia, artillcm
1 infanlcric coloniale 58,

Richefom, infanterie coloniale B7.
îfegre, infanterie coloniale f>;.
De Groot, sergent, infanterie coloniale
Brag, infanterie coloniale 57.
Aboudro, infanterie coloniale 57.
Baterd, infanterie coloniale 67.
Botard, infanterie coloniale 67,
Dubois, sergent, infanterie coloniale 9
Bernard, infanterie coloniale 98.
Btin, infanterie 174.
Lasteigne, sergent génie 1.
Dutora, sapeur, génie.i,
Vedeche.

j Sappey, caporal, génie 1.
Bourrassier, infanterie 175.
Maureau, génie 1. v
Jambon, infanterie 176.
Chaigneau, infanterie 178.
Debrue, artillerie 4a.
Larigne.

Ducarouge, caporal, infanterie 17.'!

Mamiral, génie 1.
1 Lamauveux, zouaves 2,

Perdreau, artillerie a5.
1 Pilliond, artillerie a5.

Origny, infanterie 176.

Suédois, zouaves a.

Joly, infanterie coloniale t.

Lcssalte, zouaves a.

Roux, infanterie coloniales).

Olivier, artillerie 47.

Bidard, infanterie 170,

Dosmardins, infanterie 175

Scltrouehe, zouave» a.

Laik, zouave» a,

Meski I, zouaves a.

Drai, zouves 1.

Saimann, zouaves 1.

Hadjoy, zouaves a.

Levy, infanterie 170.

Olaiiola, zouavci a.

Uaufaste, génie 1. „

Ilichaut, infanterie coloniale 57.

Saymé, zouaves 1.

Percz.

Mayen, sapeur, génie î,
Toutron, infanterie coloniale M.
Garron, infanterie coloniale 60.
Capieu, infanterie coloniale 58.

Rechal, infanterie coloniale 54. 1
Laraigne, infanterie coloniale 60. 1
Barovur, infanterie coloniale 56,
Carrière, infanterie coloniale 66.
Beaumont, infanterie coloniale 68.
Seron, infanterie 176.
Perfelti, maître de quartier,
Gilbert.

Barlholomai, matelot.

Rsfbucilïet, régiment de marche tt'Affiq

Btiud, infanterie coloniale 7.

Picard, infanterie coloniale 4.

Breslout, zouaves a.

Baron, infanterie coloniale 6,

Baron-Ange, infanterie colonhth 86.

Ney, escadron du train des équipage

Bêche,

Meliea, section d'infirmiers.

Greux, artillerie 8 .

Bbvet, infanterie coloniale i.

Mcmsier, artillerie a5.

Ilartoird, zouaves 1.

Laurcnd, infanterie coloniale 6

AmauU, infanterie coloniale 7.

Gtanlxmann, artillerie 47.

Gallaa, artillerie 17.

Prodbomme, artillerie 17.

Filhol, artillerie T7.

Gîavcrolly, artillerie 17.

Yaroquicr, artillerie a5.

Jouunnet, artillerie a6.

Sartore, escadron du train des équipag. ;

Auzet, artillerie 10.

Fuentci, régiment de marche d'Afrique 1.
Delpoch, infanterie 176.
Cosson, régiment de marche d'Afrique
Artenga, régiment do marche d'Afrîrpir
Bcsson, infanterie 176.
Hotterart, infanterie 176.
Carrière, infanterie coloniale *j,
Scassau, infanterie coloniale 4-
Paillard, génie 1.

Ferrer, régiment de marche d'Afrique r
Derrcc, régiment de marche d'Affiqii' 1
Cousinct, infanterie 176.
Dcchemps, artillerie 17".
Bouvier,

Rochelle, infanferie coloniale 8.

(A strrre.)
 
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