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Przybyszewski, Bolesław: Początki starochrześcijańskiej sztuki obrazowej
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.20406#0032
Kościoła Euzebiusz cezarejski, który sympatyzo-
wał z arianami — ikonoklastami. Nawracający
się intelektualiści (jak np. Arnobiusz) mogli po-
zostawać pod wpływem pogańskiego sporu o po-
sągi. Niewykluczony jest osobisty rygoryzm któ-
regoś z Ojców Kościoła, jaki się później pojawił
u ikonoklastów w VIII w., u św. Bernarda z Clair-
vaux w XII w., czy u protestantów w XVI w.
i u późniejszych ich epigonów. Kościół był zaw-
sze przyjacielem sztuki. Ze względu na otoczenie
pogańskie nie przedstawiano do schyłku 1 poł. IV
w. Chrystusa jako przedmiotu adoracji, lecz zas-
tąpiono Go obrazem Dobrego Pasterza (lub Apol-
lina w podziemiach kościoła Św. Piotra) (ryc. 19).
Występuje On tylko w obrazach historycznych,
jak np. Wskrzeszenie Łazarza, lub jako Dziecię
na łonie Matki (Madonna z Izajaszem, Madonna
delia Velata w katakumbie Pryseylli lub Madon-
na z monogramami Chrystusa w Coemeterium
Maius).
c) Został przezwyciężony pogląd o pochodze-
niu sztuki starochrześcijańskiej od sztuki orien-
talnej czy żydowskiej. Najstarsze zabytki tej
sztuki znamy tylko w Rzymie i w Dura, a sztuka
ta jest rzymska75. W innych rejonach Cesar-
stwa znajdujemy zabytki późniejsze, oparte sty-
listycznie na tradycji miejscowej. Rzym jednak
zadecydował o powstaniu sztuki chrześcijańskiej
i o jej dalszym rozwoju.
75 Mole. Historia..., s. 63.
LORIGINE DE L ART FIGURATIF PALEOCHRETIEN
Le probleme de 1'origine de l'art figuratif paleochre-
tien est discute depuis ąuatre cents ans. Cet art s'est
bien developpe, malgre la tradition juive aniconiąue
qui semblait peser sur la chretiente. Les ecrivains eccle-
siastiąues. negativement disposes eiwers les representa-
tions figurees placees dans les lieux de culte, renouaient
parfois a cette tradition. Les premiers savants, qui s'in-
teressaient a 1'art paleochretien, l'ont pris pour le produit
de la culture greco-romaine. Ce n'est qu'a la fin du
XIXe siecle qu'Ernest Renan, se referant a Irenee de
Lugdunum d'apres lequel les Carpocratiens veneraient
1'image de Jesus, dit que les gnostiques avaient cree l'art
chretien. Selon deux savants Joseph Wilpert et Max
Dvofak 1'art chretien etait original, exempt de toute
influence exterieure. Strzygowski pensait que 1'Orient et
non pas Rome etait le point de depart de l'activite arti-
stique des premiers chretiens. Sous Tinfluence de Strzy-
gowski 1'attention des savants fut portee sur l'Orient,
ou ils cherchaient l'origine de 1'art chretien dans des
milieux juifs, et surtout ils ant pris les miniatures des
rouleaux de l'Ecriture Sainte pour la source de son
iconographie. Ils ont egalement cherche la raison de son
apparition tardive. Comme 1'art ne se developpa dans
les catacombes que dans la seconde moitie du IIIe siecle,
1'Americain Breckenridge a suggere 1'hypothese que ce
phenomene avait ete cause par la destruction de la
hierarchie et des intellectuels chretiens pendant les per-
secutions infligees par Decius et Valerien. Durant le
regne de Constantin le Grand une nouvelle attaque con-
trę le culte des images eut lieu. Ce n'est que les luttes
contrę rarianisme qui ont contribue a la reconciliation
de la theorie et de la pratique.
H. Brandenburg voit la genese de 1'art paleochre-
tien dans la predilection de la societe romaine de l'epo-
que hellenistique tardive a la decoration des apparte-
ments par des peintures aux sujets idylliques, marins,
bucoliques, exprimant la ,.pietas" et la ..securitas" de
Virgile. Des motifs bibliques apparurent dans cette de-
coration; d'abord ils avaient exprime 1'idee que Dieu
donnę la paix et le bonheur, et vers 1'an 20-0 ils prirent
un sens chretien. Cetait la naissance de 1'art paleochre-
tien. A cóte des motifs bibliques 1'art paleochretien re-
presente deux personnages empruntes a 1'art romain
paien: le Bon Pasteur et 1'Orant qui furent interpretes
d'apres les pirincipes de la religion. Les ecrivains de
1'Eglise ne condamnaient pas 1'art, mais ils s'opposaient
a faire les statues du Christ pour ne pas le mettre au
meme rang que les divinites paiennes. Finney suppose
que la condamnation des images par les ecrivains chre-
tiens etait un topos litterarius pris des auteurs paiens
luttant contrę le culte des idoles paiennes. Le curieux
probleme de ,,la limitation" des sujets dans 1'art d'avant
Constantin le Grand a ete explique par 1'analyse d'une
priere des agonisants ou des prieres juives et de la litur-
gie du bapteme. Recemment on admet en generał que
le choix des sujets etait inspire par "1'idee du salut".
Braindenburg y voit les tentatives a adapter la decora-
tion aux sujets paiens, buooliques et marins aux besoins
de 1'art chretien.
Les plus anciens mojiuments de 1'art paleochretien
se trouvent uniquement a Rome (et a Dura). Cest donc
Rome qui decida du developpement de cet art.
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wał z arianami — ikonoklastami. Nawracający
się intelektualiści (jak np. Arnobiusz) mogli po-
zostawać pod wpływem pogańskiego sporu o po-
sągi. Niewykluczony jest osobisty rygoryzm któ-
regoś z Ojców Kościoła, jaki się później pojawił
u ikonoklastów w VIII w., u św. Bernarda z Clair-
vaux w XII w., czy u protestantów w XVI w.
i u późniejszych ich epigonów. Kościół był zaw-
sze przyjacielem sztuki. Ze względu na otoczenie
pogańskie nie przedstawiano do schyłku 1 poł. IV
w. Chrystusa jako przedmiotu adoracji, lecz zas-
tąpiono Go obrazem Dobrego Pasterza (lub Apol-
lina w podziemiach kościoła Św. Piotra) (ryc. 19).
Występuje On tylko w obrazach historycznych,
jak np. Wskrzeszenie Łazarza, lub jako Dziecię
na łonie Matki (Madonna z Izajaszem, Madonna
delia Velata w katakumbie Pryseylli lub Madon-
na z monogramami Chrystusa w Coemeterium
Maius).
c) Został przezwyciężony pogląd o pochodze-
niu sztuki starochrześcijańskiej od sztuki orien-
talnej czy żydowskiej. Najstarsze zabytki tej
sztuki znamy tylko w Rzymie i w Dura, a sztuka
ta jest rzymska75. W innych rejonach Cesar-
stwa znajdujemy zabytki późniejsze, oparte sty-
listycznie na tradycji miejscowej. Rzym jednak
zadecydował o powstaniu sztuki chrześcijańskiej
i o jej dalszym rozwoju.
75 Mole. Historia..., s. 63.
LORIGINE DE L ART FIGURATIF PALEOCHRETIEN
Le probleme de 1'origine de l'art figuratif paleochre-
tien est discute depuis ąuatre cents ans. Cet art s'est
bien developpe, malgre la tradition juive aniconiąue
qui semblait peser sur la chretiente. Les ecrivains eccle-
siastiąues. negativement disposes eiwers les representa-
tions figurees placees dans les lieux de culte, renouaient
parfois a cette tradition. Les premiers savants, qui s'in-
teressaient a 1'art paleochretien, l'ont pris pour le produit
de la culture greco-romaine. Ce n'est qu'a la fin du
XIXe siecle qu'Ernest Renan, se referant a Irenee de
Lugdunum d'apres lequel les Carpocratiens veneraient
1'image de Jesus, dit que les gnostiques avaient cree l'art
chretien. Selon deux savants Joseph Wilpert et Max
Dvofak 1'art chretien etait original, exempt de toute
influence exterieure. Strzygowski pensait que 1'Orient et
non pas Rome etait le point de depart de l'activite arti-
stique des premiers chretiens. Sous Tinfluence de Strzy-
gowski 1'attention des savants fut portee sur l'Orient,
ou ils cherchaient l'origine de 1'art chretien dans des
milieux juifs, et surtout ils ant pris les miniatures des
rouleaux de l'Ecriture Sainte pour la source de son
iconographie. Ils ont egalement cherche la raison de son
apparition tardive. Comme 1'art ne se developpa dans
les catacombes que dans la seconde moitie du IIIe siecle,
1'Americain Breckenridge a suggere 1'hypothese que ce
phenomene avait ete cause par la destruction de la
hierarchie et des intellectuels chretiens pendant les per-
secutions infligees par Decius et Valerien. Durant le
regne de Constantin le Grand une nouvelle attaque con-
trę le culte des images eut lieu. Ce n'est que les luttes
contrę rarianisme qui ont contribue a la reconciliation
de la theorie et de la pratique.
H. Brandenburg voit la genese de 1'art paleochre-
tien dans la predilection de la societe romaine de l'epo-
que hellenistique tardive a la decoration des apparte-
ments par des peintures aux sujets idylliques, marins,
bucoliques, exprimant la ,.pietas" et la ..securitas" de
Virgile. Des motifs bibliques apparurent dans cette de-
coration; d'abord ils avaient exprime 1'idee que Dieu
donnę la paix et le bonheur, et vers 1'an 20-0 ils prirent
un sens chretien. Cetait la naissance de 1'art paleochre-
tien. A cóte des motifs bibliques 1'art paleochretien re-
presente deux personnages empruntes a 1'art romain
paien: le Bon Pasteur et 1'Orant qui furent interpretes
d'apres les pirincipes de la religion. Les ecrivains de
1'Eglise ne condamnaient pas 1'art, mais ils s'opposaient
a faire les statues du Christ pour ne pas le mettre au
meme rang que les divinites paiennes. Finney suppose
que la condamnation des images par les ecrivains chre-
tiens etait un topos litterarius pris des auteurs paiens
luttant contrę le culte des idoles paiennes. Le curieux
probleme de ,,la limitation" des sujets dans 1'art d'avant
Constantin le Grand a ete explique par 1'analyse d'une
priere des agonisants ou des prieres juives et de la litur-
gie du bapteme. Recemment on admet en generał que
le choix des sujets etait inspire par "1'idee du salut".
Braindenburg y voit les tentatives a adapter la decora-
tion aux sujets paiens, buooliques et marins aux besoins
de 1'art chretien.
Les plus anciens mojiuments de 1'art paleochretien
se trouvent uniquement a Rome (et a Dura). Cest donc
Rome qui decida du developpement de cet art.
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