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Geymüller, Heinrich von
Die ursprünglichen Entwürfe für Sanct Peter in Rom von Bramante, Rafael Santi ... nebst zahlreichen Ergänzungen und einem Texte (Text) — Wien, 1875

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https://doi.org/10.11588/diglit.22096#0375

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— 343 —

VERGLEICH ZWISCHEN S. PETER IN ROM
UND S. PAUL IN LONDON

Wir beendigen diese Arbeit mit einem Worte des
Vergleichs zwischen dem System des endgültigen
Entwurfs, d. h. der heutigen Peterskirche und dem
auf acht gleichen Bogen ruhenden Typus der Gruppe V,
oder der Paulskirche in London (i).

Inder Eintheilung der unteren Stützen undOeffnun-
gen im Kuppelraume von S. Peter geben die schmä-
leren vier Pfeilertravéen den breiteren Bögen etwas
Lebendigeres, Elastischeres, und mit dem Gebälk der
Pfeiler Contrastirendes (2). Auch auf diesem Punkte
macht sich ein rhythmischer Zug derTravéen geltend,
welcher mit der nach demselben Systeme gebildeten
Architektur der vier Kreuzarme im schönsten Ein-
klänge steht. Auch wird der Charakter der vier « Pi-
loni « als Stützpunkte deutlich gekennzeichnet.

Das zweite, in S. Paul zur Anwendung gekommene
System, ist ruhiger und entspricht mehr dem Prinzip
der einfachen Reihe, welches auch im Schiffe von
Nr. 23 (Bl. 6, Fig. 1) schärfer ausgeprägt ist. Dafür
sieht auch die auf acht gleichen Bogen und Stützen
ruhende Kuppel leichter aus; das ganze System ist
luftiger.

In den Seitenschiffen dringt der Blick ungehindert
durch die Kuppelpfeiler hindurch, von einem Ende
des Baues zum anderen, und wenn man seitwärts
durch das Mittelschiff in das gegenüber liegende Sei-
tenschiff hinüber schaut, so erblickt man noch einen
beträchtlichen Theil des letzteren. Mit einem Worte :
dieser Typus ist gothischer im Prinzipe.

Nichts kann die Gruppe V verständlicher machen,
als ein Gang nach S. Paul in London, obgleich nicht
alle Theile dieser schönen Kirche mit gleichem Ge-
schick durchgebildet sind.

Nicht minder lehrreich sind daselbst die später an
den beiden Enden des Kreuzschiffs innen angebrach-
ten vier Säulen von mässiger Höhe, zwischen wel-
chen man eintritt. Sie klären über die Wirkung
der 5 Palmen starken Säulen der Umgänge von
S. Peter auf; man begreift was Alles S. Peter durch
den Wegfall dieser Umgänge verloren hat. Die ihnen

(1) Folgende Bemerkungen schrieben wir während eines Besuches der
S. Paulskirche selbst am 19. März 1SS0 auf.

(2) Im Invalidendome zu Paris, wo die Breite der Pfeiler im Verhältniss zu den
Bogcnölfnuugcn grösser ist. rufen letztere viel weniger den Eindruck von span-
nender Elasticität hervor. Dieser Bau, mit den diagonalen Verbindungen
zwischen der Haupt- und den Nebcnkuppeln, erinnert an den Typus der
Nrn. 20 und 21.

PARALLÈLE ENTRE SAINT-PIERRE
DE ROME ET SAINT-PAUL DE LONDRES

Pour terminer ce volume, nous voulons présenter
quelques considérations résultant de la comparaison
du projet définitif de Bramante, d'où dérive la basi-
lique actuelle de Saint-Pierre, avec le type d'une cou-
pole reposant sur huit arcs égaux, type poursuivi dans
les études du groupe V et réalisé à Saint-Paul de
Londres (i).

Dans le dôme de Saint-Pierre, les travées plus
étroites des piliers donnent aux travées plus larges des
arcades quelque chose d'élastique et de vivant, et font
contraster les arcs avec l'entablement des piliers (2).
De cette façon, Bramante a introduit jusque dans les
travées de la coupole quelque chose de rhythmique qui
correspond aux travées des quatre bras construits d'a-
près le même principe. Enfin, dans les quatre piliers,
le caractère de points d'appui est fortement accusé.

Le second type, celui que présente Saint-Paul, est
plus calme et se rapproche davantage du principe de
la simple rangée continue, principe qui se trouve aussi
plus accentué dans la nef du n° 23 (Pl. 6, fig. 1). Par
contre, la coupole, reposant sur huit arcs et sur des
points d'appui égaux, paraît plus légère, et tout le
système est en quelque sorte plus aérien.

Dans les bas-côtés, le regard plonge sans obstacle,
au travers des passages pratiqués dans les piliers de
la coupole, d une extrémité du temple à l'autre; et,
d'autre part, si de l'un des bas-côtés on jette les yeux
au travers de la grande nef, la vue embrasse facilement
une partie notable du collatéral opposé. En un mot,
ce type rappelle davantage les principes de l'art go-
thique.

Rien ne peut mieux faire comprendre les projets du
groupe V qu'une visite à Saint-Paul de Londres, bien
que, dans ce beau monument, toutes les parties ne
soient pas traitées avec une même habileté.

L'effet produit dans ce temple par les deux por-
tiques de quatre colonnes, ajoutés plus tard intérieu-
rement aux extrémités du transept, n'est pas moins
instructif. C'est entre ces colonnes, de hauteur
moyenne, que l'on passe pour pénétrer dans l'édifice.
Ces deux portiques nous font comprendre l'effet qu'au-
raient produit dans les pourtours de Saint-Pierre les

(1) Nous avons écrit les lignes suivantes i Saint-Paul même, le 19 mars 18S0.

(2) Au dôme des Invalides, à Paris, où la largeur des piliers, par rapport à
l'ouverture des arcs, est plus grande, les arcs sont loin de présenter la même
apparence d'élasticité. Cet édifice, avec les communications diagonales entre
le grand dôme et les quatre coupoles secondaires, rappelle le type des
n°' 20 et 21.
 
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