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Geymüller, Heinrich von
Die ursprünglichen Entwürfe für Sanct Peter in Rom von Bramante, Rafael Santi ... nebst zahlreichen Ergänzungen und einem Texte (Text) — Wien, 1875

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https://doi.org/10.11588/diglit.22096#0377

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GESAMMTÜBERBLICK UND SCHLUSS

RÉSUMÉ DE CE VOLUME

Am Ziele dieses Theiles angelangt, mögen wir nun
einen Blick auf den durchlaufenen Weg zurückwerfen.

Zum Verstandniss unseres Unternehmens war es
nöthig, zuerst ein Wort von den missglückten An-
fängen zum Neubau der Peterskirche unter Nico-
laus V. zu sagen. Schon in unserer ersten Arbeit, in
den « Notitzen », hatten wir gezeigt, dass der Gedanke,
die damals erbaute Tribuna des Rossellino zu be-
nutzen, in vielen Projekten hervortritt; und in der
kurz darauf erschienenen italienischen Uebersetzung
unserer Studie waren wir sogar im Stande nachzuwei-
sen, dass auf der Grundlage dieser Anfänge ein pro-
visorischer Chor hergestellt worden war. Dank den
Forschungen des H. Müntz vermochten wir, hier
einen Schritt weiter zu gehen, und nachzuweisen,
dass die Fragmente aus der Zeit Nicolaus V. und
Paul II. beträchtlicher gewesen sein müssen als bis-
her angenommen wurde, da sie sogar die Lage der
hinteren Querschifimauer des jetzigen Monuments
bestimmt hatten.

Zur glorreichsten Epoche der modernen Kunst,
zur Regierung Julius II. übergehend, haben wir ge-
sehen, dass die auf ungenannten Dokumenten be-
ruhende Aussage Mignanti's, es habe Julius II. sofort
bei seiner Thronbesteigung, gleichzeitig mit dem
unternommenen Neubau des Vaticans, auch den der
Peterskirche beschlossen, allem Anscheine nach durch
eine unserer Zeichnungen (Nr. i) Bestätigung erhält.

In den Gruppen II bis IV haben wir dann eine An-
zahl Studien besprochen, welche mit den verschiede-
nen Stadien, die Condivi und Vasari^bei der endlich
wirklichen Inangriffnahme der Arbeit schildern, ge-
nügend übereinstimmen, um, wenn auch nicht als
mathematischer Beweis, so doch als Bekräftigung der
Erzählung dieser Autoren angesehen werden zu müs-
sen.

Es ist uns gelungen, das Datum dieser verschiede-
nen Phasen genauer als bis jetzt geschehen zu bestim-
men, und nachzuweisen, dass die Flucht Michel An-
gelo's mit dem Tag der Grundsteinlegung des
Neubaues, dem 18. April i5o6, zusammenfällt.

Die Entwürfe der Gruppe V, mit ihrer Riesenkup-
pel, bezeichnen die Höhe, zu welcher die Begeisterung
Bramante's und seiner Umgebung beim Entwerfen
der Peterskirche gestiegen war.

Arrivé au terme de ce travail, jetons maintenant un
coup d'oeil rapide sur le chemin parcouru.

Pour faire comprendre notre but, il fallait d'abord
dire un mot de la vaste entreprise abordée, puis bien-
tôt abandonnée, sous Nicolas V. Déjà dans notre pre-
mier travail, dans nos Notizen, nous avions constaté
que Ton avait eu l'intention, comme l'attestent de nom-
breux projets, d'utiliser la tribune de Rossellino com-
mencée à cette époque; et, dans la traduction italienne
de notre étude, traduction qui parut bientôt après,
nous avons pu montrer que cette intention fut réalisée
et que, sur ces fondations, on éleva un chœur provi-
soire. Grâce aux belles recherches de M. Müntz, il
nous a été possible de faire un pas de plus, et de prou-
ver que les fragments, datant de Nicolas V et de
Paul II, avaient dû être plus importants qu'on ne l'a-
vait admis jusqu'ici, et que même l'emplacement du
mur postérieur du transept dans l'édifice actuel avait
été déterminé par ces fragments.

Passant ensuite à l'âge d'or de l'art moderne, au
règne de Jules II, nous avons vu que l'opinion de
Mignanti, fondée sur des documents qu'il ne cite pas,
et d'après laquelle Jules II, immédiatement après être
monté sur le trône, et en même temps qu'il mettait la
main à la reconstruction du Vatican, aurait résolu de
reconstruire l'église de Saint-Pierre, était selon toute
apparence confirmée par une de nos études (n° 1).

Dans les groupes II, III et IV, nous avons examiné
un certain nombre d'études qui correspondent assez
aux phases diverses que traversa, selon Condivi et
Vasari, l'entreprise définitive des travaux, pour qu'il
soit permis d'y voir une confirmation , sinon une
preuve absolue, de la vérité du récit de ces deux au-
teurs.

Il nous a été possible de fixer d'une manière plus
précise qu'on ne l'avait fait jusqu'à présent la date de
ces phases, et nous avons montré que la fuite de Mi-
chel-Ange avait eu lieu le jour même de la pose de la
première pierre du nouveau temple, le 18 avril i5o6.

Les projets du groupe V, avec un dôme gigan-
tesque, indiquent le degré d'enthousiasme qui s'était
emparé de Bramante et de son entourage pendant l'é-
tude des projets pour la réédification d'une basilique
considérée comme vénérable entre toutes.

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