15 CENTIMES
LE GRELOT
15 CENTIMES
Il paraît que le couvent est en feu !
La tourière elle-même s'est fait enlever par
le gardien du sérail, un homme eunuque... en son
genre 1
Encore un comble!
— Le comble de l'effronterie?
— Parler du philloxera à huit-clos ! I !
montretout.
B@IS MOTS
Une cousine de Mme Cardinal marie sa
fille.
On est à la sacristie, et laieune mariée, très
émue, se met à fondre en larmes.
— Voyons ., voyons... ma petite, fait la
mère... il faudrait t'y habituer... avec le di-
vorce c'est une cérémonie qui peut se renou-
veler I
—o—
Un mari très myope et plus marri encore
raconte un de ses derniers malheurs conju-
gaux .
— J'étais averti, j'ouvre vivement la porte,
dans un geste rapide, je fais tomber mon lor-
gnon, je le ramasse et, lorsque je le place sur
mon nez, leur attitude était correcte.
— C'était ennuyeux.
—Ne m'en parle pas ; depuis lors, je porte
des lunettes pour qu'on ne me pince plus.
—o—
Une actrice cocotante, que nous ne nomme-
rons pas cette fois, rencontre un de nos con-
frères dont nous tairons également le aom
pour ne pas lui nuire auprès des autres prin-
cesses de la rampe.
— Ahl ça, dites donc, vous... fait-elle.
— Quoi donc?
— Il paraît que dans un dîner vous avez
prétendu que vous étiez mon amant?
— Mais... .
— Il n'y a pas de mais.,. Oui ou non 1 avez-
vous prétendu?
— Je vais vous expliquer, ma chère... On
était entre hommes. L'amphytrion, le premier
parla de vous et conta que vous aviez été bonne
pour lui. Son voisin après. Un troisième en-
suite. Ma foi, quand mon tour est arrivé, j'ai
dit comme les autres pour ne pas me faire re-
marquer.
—0—
Deux jeunes gens dînent dans une auberge
d'Argenteuil:
La servante a une jolie taille, de beaux yeux,
mais une bouche d'une largeur!...
L'un des dîneurs, s'apercevant de cette in-
firmité et d'un tou plein de sollicitude :
— Dites-moi, mon enfant, vos boucles d'o-
reilles ne sont pas en cuivre, n'est-ce pas ?
— Non, Monsieur, répond la servante
ébahie.
— Alors, il n'y a pas de danger.
—o—
X... est un c gaffeur » terrible.
L'autre jour, un de ses amis lui confie qu'il a
des appréhensions de congestion cérébrale.
Après avoir vaguement balbutié des paroles
rassurantes dans le genre de celles-ci : « On en
réchappe... ça s'est vu... » il prend avec effu-
sion les mains de son ami et s'écrie :
« Je suis do ceux dont l'amitié survit à tout,
même à la séparation dernière. — Laisses-tu
quelque part une maîtresse, des enfants? »
Son ami court encore.
—0—
Ignotusaperçoit plusieursnourric.es grimpées
sur les chevaux de bois et tournant aux sons
d'un orgue de Barbarie.
_Les imprudentes, fait-il, elles vont faire
tourner leur lait I
Un bon tour de policier :
Dernièrement, l'ambassadeur d'une grande
puissance est informé par son gouvernement
qu'une femme de son pays, résidant en ce mo-
ment à Londres, vient d'hériter d'un million.
L'ambassadeur publie annonces sur annon-
ces dans les journaux, et, l'intéressée ne se
présentant pas, il s'adresse à la police, en dé-
sespoir de cause.
Le chef des détectives donne mission, moyen-
nant récompense honnête, à un de ses plus
fins limiers de rechercher l'héritière.
L'agent se met en campagne. Au bout d'un
mois, il se présente à son chef :
_ Eh bien I et la femme ?
— Je l'ai trouvée.
— Très bien! où est-elle?
— Chez moi ; je l'ai épousée hier.
—o—
Zoologie familière :
A l'aide de quoi pouvez-vous distinguer une
jeune poule d'une vieille ?
— Par les dents.
— Vous voulez rire ! tout le monde sait que
les poules n'ont pas de dents.
— Oui, mais moi j'en ai.
ZIG ~ Zîî.A.CjrS
Tout le Monde»
Cramponne-toi, Gugusse..'.'
Allons bon, voilà les bêtises qui recommen-
cent 1
Nos enragés de modérantisme n'ont pas en-
core voté l'envoi à la guillotine de tous les
adversaires de la peine de mort.
Ni la suppression de tous les journaux op-
posés à la liberté de la presse.
Mais ils continuent à persécuter les cléri-
caux, qui, supérieurs aux anguilles de Melun,
crient dès maintenant, avant même qu'on
n'ait commencé à les écorcher.
Si cette persécution était utile, nous passe-
rions sur sa bêtise. v
Mais elle est plus qu'inutile, elle est nui-
sible.
Et c'est pourquoi nous montons ici sur nos
ergots, pour jeter un cri d'alarme, qui, nous
en sommes persuadés, d'ailleurs, n'influera
en rien sur les idées et les résolutions des jars
qui siègent aux Capitoles modernes, situés au
bout du pont de la Concorde et rue de Vau-
girard.
*
* #
Tous Jacobins.
Que veulent faire, en effet, les opportunistes
comme Paul Bert, les partisans de Clémeneeau,
comme Jules Roche.
Enfermer les calotins, réguliers et irrégu-
liers, dans le Concordat, promu au grade de
prison.
Prison à laquelle ils ajouteront quelques ar-
ticles additionnels en guise de barreaux sup-
plémentaires.
Eh bien, mais, ç'est là une besogne absolu-
ment anti-libérale.
Pourquoi voulez-vous assommer ces gens
sous des règlements policiers vexatoires?
Pourquoi leur flanquer ainsi, en veux-tu en
voilà, n'en veux-tu pas, en voilà tout de même,
des coups de trique sur la tête, —triques pour
rire, triques en caoutchouc, empruntées aux
accessoires des pantomines des Folies-Bergère?
Ne sont-ils pas des commerçants ordinaires ?
N'ont-ils pas le droit de débiter librement
du Bon Dieu et du Doux Jésus comme les
charcutiers vendent du cervelas à l'ail et du
petit salé ?
Supprimez-leur la subvention que vous leur
accordez ;
Ayez l'œil à ce qu'ils n'enfreignent jamais
les règlements de police.
Soit.
Mais, sacrebleu de sacrebleu, laissez-les
libres de se réunir, s'associer et pialler à leur
aise, tant que les voisins ne déposeront pas de
plainte pour tapage nocturne 1
Us ne pourraient plus crier à la persécution,
Larmoyer à l'instar de crocodiles en dispo-
nibilité. Pisser de l'œil comme des Wallaces
en vacances,
Gela les embêtera plus que tous vos décrets
draconiens à l'eau de rose, je vous jure,
Et, se voyant enfin libres,
Vraiment libres,
Mais rien que libres,
Ils sont parfaitement capables d'en pleurer
de rage et de chagrin.
Ce serait, du reste, la première fois, depuis
18 siècles, plus quelques mois de nourrice,
que l'on verrait verser, à des représentants de
cette clique, peu ou prou de larmes sincèresl
*
* *
proprietaire inamovible
La ville de Marseille vient d'être déboutée
de sa demande de recouvrement des terrains
sur lesquels est bâti le palais impérial du
Pharo.
Ainsi la veuve Badinguet,
Nini l'Andalouse,
Madame ma guerre,
Reste propriétaire en France!
Elle nous coûte des torrents de sang, deux
provinces et des milliards,
Et nous lui laissons les millions que nous
fûmes assez godiches pour lui octroyer jadis.
0 misère 1
Pour qui donc est fait l'article du Code inter-
disant aux meurtriers d'hériter de leurs
victimes ?
Vive la France
Mais pas l'Italia !
Ces bons Italiens viennent encore de faire
des leurs.
Ils ont procédé à une nouvelle édition, revue
et considérablement diminuée des Vêpres Sici-
lisnnes.
Cette fois, ce n'est pas en Sicile, mais en
plein département de la Seine, à Charenton,
que s'est passé le drame dans lequel les com-
patriotes de Garibaldi, ont joué le principal
rôle.... et du couteau à virole.
Ils se sont rués, au nombre d'une quinzaine,
sur quatre ou cinq ouvriers Français, qu'on a
dû, après la collision, ramasser avec des cuil-
lières.
Un des français a été frappé d'un coup de
couteau au bas-ventre.
Ce doit être après sa mort, ou du moins,
lorsqu'il était déjà grièvement blessé.
Jamais, en effet, un Italien n'a frappé un
homme debout, si ce n'est dans le dos.
Et dire que c'est pour ces salopiots-là que
nous avons été nous faire casser la margou-.
lette à Solférino.
Ah! si le remords n'exisiait pas, rien que
pour cela, nous serions capables de l'inven-
ter 1
serment de main, serment de cœur.
La question du serment est plus que jamais
à l'ordre du jour.
Les jurés libres-penseurs ne voulant pas
jurer par Dieu, les jurés bondieusards, par re-
présailles, se refusent, avec une énergie féroce,
à prêter serment sur leur conscience.
U y aurait peut-être un moyen de s'en-
tendre.
Ce serait de ne pas faire prêter serment du
tout ou de le faire prêter après le verdict.
Alors, par exemple, le président demande-
rait à chaque juré:
Vous avez jugé suivant votre conscience ?
Et l'autre, furieux, répondrait :
— Nom de D... ! si vous vous permettez d'en
douter plus longtemps, je vous flanque ma
main sur la figure 1...
Henry Vaudémont.
COUPS DE BEC
Il était une fois un gredin nommé Louis
XVI, qui fût guillotiné pour l'avoir furieuse-
ment mérité, de l'aveu même de parents qui
votèrent sa mort.
N'osant lui élever une statue, — c'est dom-
mage — on lui éleva une chapelle qu'on eût
le toupet de qualifier d'expiatoire. Ce monu-
ment est, comme l'a fort bien dit M. Jules
Roche, un outrage public et permanent à la
nation, qui n'a jamais mieux t'ait qu' en sup-
primant ce misérable.
En conséquence M. Jules Roche demande la
démolition de cette chose aussi laide que stu-
pide et antipatriotique.
J'aime à croire que l'affaire ne fera pas un
pli, comme on dit, dans le monde, mais dans
le cas où elle serait repoussée — car il faut
tout prévoir dans un siècle où on ne peut con-
trôler les dépenses de l'Etat — si j'étais à la
place de M. Roche, jo prendrais gaîment l'a-
venture.
Comme dans les ménages où la femme finit
par dire en voyant rentrer son mari pochard
tous les soirs : Ernmène-moi avec toi au moins!
je dirais à l'assemblée :
Vous voulez conserver votre chapelle ? Eh !
bien conservons là, seulement soyons logiques :
Comme il est bien avéré que S. M. Louis XVI
était une crapule, qu'il nous a jeté a un mo-
ment toute l'Europe sur les bras, il faut ren-
verser les statues des généraux qui ont repoussé
l'étranger.
Nous* allons donc démolir les statues de
Marceau, de Kléber, etc.
D'un autre côté, comme vous trouvez que
Louis XVI mérite une chapelle pour avoir fait
mourir une quantité considérable de patriotes
défendant le sol français, je crois qu'il y au-
rait urgence à élever'au moins une cathédrale
sous l'invocation de Monsieur Dumollard qui,
* lui, n'a fait qu'assasiner un nombre très-res-
treint de bonnes d'enfants.
A la vérité, je crois que cette dernière pro-
position rencontrerait peu d'adhérents, mais
au moins cela me procurerait la douce satis-
faction de voir au pointage des voix, ceux des
membres de l'assemblée qui auraient «i illo-
giquement voté la conservation de la chapelle
du nommé Louis XVI, et contre l'élévation
d'une église à Dumollard.
Cela me servirait à faire une troisième pro-
position, demandant, soit la création de Tor-
dre de Vimbéeilité, dont on reconnaîtrait offi-
ciers de droit, les membres qui se seraient pro-
noncés différemment dans les deux cas, soit
la remise à leurs familles, de ces mêmes gens,
pour qu'on les fasse soigner dans des maisons
de santé.
René Lebrun.
CHRONIQUE THEATRALE
Comédie-Française.
M. Perrin n'est pas seulement un père pour
ses administrés, sa sollicitude s'étend encore
à ses abonnés, à ses fidèles Mardistes qui, sui-
vant l'expression admise, ont fait de la Comé-
die-Française le rendez-vous du Tout-Paris
mondain et élégant.
C'est ainsi qu'il vient de représenter —
l'histoire ne dira vraisemblablement jamais
pourquoi — une petite bluette en un acte et
en vers, Service en campagne qui n'aurait très
certainement jamais dépassé les paravents du
Cercle des Mirlitons entre lesquels elle à vu
le jour si son auteur, M. le Marquis de Massa,
n'était précisément l'un des représentants les
plus titrés et attitrés des Mardistes du Théâ-
tre-Français.
Est-il nécessaire d'ajouter que cette reprise,
fort bien interprétée du reste par les créatri-
ces des principaux rôles, M,nes Reichembert,
Broisat et Kalb et par MM. Worms et Laroche
a été applaudie ?
Non, n'est-ce pas. Nous ne nous pardonne-
rions pas de troubler par le moindre cri dis-
cordant les échos de bravos qui ont si peu de
temps à se répercuter.
Palais-Royal.
Le Palais-Royal, apiès avoir repris pendant
presque tout un mois, une foule de pièces de
son répertoire vient de représenter cette se-
maine la Brebis égarée, une comédie nouvelle
en cinq actes de MM. Grangé et Victor Ber-
nard.
U s'agit d'une jeune fille et d'un jeune hom-
me que leurs parents veulent unir. Comme ils
ne se sont jamais vus, ilsse sont pris mutuelle-
ment en horreur. Us se rencontrent par hasard,
s'éprennent d'amour l'un pour l'autre et s'em-
pressent de solliciter de leur famille la célé-
bration d'une union qu'ils repoussaient aupara-
vant avec horreur et désespoir»
Ce sujet qui n'est pas neuf a été rajeuni de
la façon la plus charmante par les auteurs. La
brebis égarée fourmille de quiproquos et de
situations fort drôles ; les mots les plus comi-
ques y abondent, et l'on s'y amuse franche-
ment, ce qui est le but à atteindre.
La pièce est lestement enlevée par MM. Dau-
bray, Pellerin, Luguet, Plet, MM1103 Lavigne et
Jane May.
n
Porte St-Martin.
Le théâtre de la Porte-St-Martin vient de
reprendre le Bossu.
Tout a été dit sur ce drame qui est resté l'un
des plus attrayants et des plus empoignants
du genre. C'est une de ces vieilles connaissan -
ce# que l'on revoit toujours avec plaisir ■ •
nous ne doutons pas que la reprise qui vieiit
d'en être faite n'attire de nouveau à la Torte-
St-Martin bon nombre de spectateurs.
Le Bossu est admirablement rendu par l'ex-
cellente troupe de la Porte-St-Martin, et M.
Paul Clèves, suivant son habitude, n'a rien
négligé pour rendre la mise en scène irrépro-
chable.
Peu de choses à signaler sur les autres
scènes.
Les Folies-Dramatiques encaissent chaque
soir le maximum avec Boccace.
La Gaité vient de reprendre Quatre-Vingt-
Treize dont les représentations avaient été
interrompues pendant quelques jours.
Le théâtreClunycontinuearefuserdu monde
avec le Ho de la rue Pigalle, de M. Bisson.
J. de la verdrie.
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LE GRELOT
15 CENTIMES
Il paraît que le couvent est en feu !
La tourière elle-même s'est fait enlever par
le gardien du sérail, un homme eunuque... en son
genre 1
Encore un comble!
— Le comble de l'effronterie?
— Parler du philloxera à huit-clos ! I !
montretout.
B@IS MOTS
Une cousine de Mme Cardinal marie sa
fille.
On est à la sacristie, et laieune mariée, très
émue, se met à fondre en larmes.
— Voyons ., voyons... ma petite, fait la
mère... il faudrait t'y habituer... avec le di-
vorce c'est une cérémonie qui peut se renou-
veler I
—o—
Un mari très myope et plus marri encore
raconte un de ses derniers malheurs conju-
gaux .
— J'étais averti, j'ouvre vivement la porte,
dans un geste rapide, je fais tomber mon lor-
gnon, je le ramasse et, lorsque je le place sur
mon nez, leur attitude était correcte.
— C'était ennuyeux.
—Ne m'en parle pas ; depuis lors, je porte
des lunettes pour qu'on ne me pince plus.
—o—
Une actrice cocotante, que nous ne nomme-
rons pas cette fois, rencontre un de nos con-
frères dont nous tairons également le aom
pour ne pas lui nuire auprès des autres prin-
cesses de la rampe.
— Ahl ça, dites donc, vous... fait-elle.
— Quoi donc?
— Il paraît que dans un dîner vous avez
prétendu que vous étiez mon amant?
— Mais... .
— Il n'y a pas de mais.,. Oui ou non 1 avez-
vous prétendu?
— Je vais vous expliquer, ma chère... On
était entre hommes. L'amphytrion, le premier
parla de vous et conta que vous aviez été bonne
pour lui. Son voisin après. Un troisième en-
suite. Ma foi, quand mon tour est arrivé, j'ai
dit comme les autres pour ne pas me faire re-
marquer.
—0—
Deux jeunes gens dînent dans une auberge
d'Argenteuil:
La servante a une jolie taille, de beaux yeux,
mais une bouche d'une largeur!...
L'un des dîneurs, s'apercevant de cette in-
firmité et d'un tou plein de sollicitude :
— Dites-moi, mon enfant, vos boucles d'o-
reilles ne sont pas en cuivre, n'est-ce pas ?
— Non, Monsieur, répond la servante
ébahie.
— Alors, il n'y a pas de danger.
—o—
X... est un c gaffeur » terrible.
L'autre jour, un de ses amis lui confie qu'il a
des appréhensions de congestion cérébrale.
Après avoir vaguement balbutié des paroles
rassurantes dans le genre de celles-ci : « On en
réchappe... ça s'est vu... » il prend avec effu-
sion les mains de son ami et s'écrie :
« Je suis do ceux dont l'amitié survit à tout,
même à la séparation dernière. — Laisses-tu
quelque part une maîtresse, des enfants? »
Son ami court encore.
—0—
Ignotusaperçoit plusieursnourric.es grimpées
sur les chevaux de bois et tournant aux sons
d'un orgue de Barbarie.
_Les imprudentes, fait-il, elles vont faire
tourner leur lait I
Un bon tour de policier :
Dernièrement, l'ambassadeur d'une grande
puissance est informé par son gouvernement
qu'une femme de son pays, résidant en ce mo-
ment à Londres, vient d'hériter d'un million.
L'ambassadeur publie annonces sur annon-
ces dans les journaux, et, l'intéressée ne se
présentant pas, il s'adresse à la police, en dé-
sespoir de cause.
Le chef des détectives donne mission, moyen-
nant récompense honnête, à un de ses plus
fins limiers de rechercher l'héritière.
L'agent se met en campagne. Au bout d'un
mois, il se présente à son chef :
_ Eh bien I et la femme ?
— Je l'ai trouvée.
— Très bien! où est-elle?
— Chez moi ; je l'ai épousée hier.
—o—
Zoologie familière :
A l'aide de quoi pouvez-vous distinguer une
jeune poule d'une vieille ?
— Par les dents.
— Vous voulez rire ! tout le monde sait que
les poules n'ont pas de dents.
— Oui, mais moi j'en ai.
ZIG ~ Zîî.A.CjrS
Tout le Monde»
Cramponne-toi, Gugusse..'.'
Allons bon, voilà les bêtises qui recommen-
cent 1
Nos enragés de modérantisme n'ont pas en-
core voté l'envoi à la guillotine de tous les
adversaires de la peine de mort.
Ni la suppression de tous les journaux op-
posés à la liberté de la presse.
Mais ils continuent à persécuter les cléri-
caux, qui, supérieurs aux anguilles de Melun,
crient dès maintenant, avant même qu'on
n'ait commencé à les écorcher.
Si cette persécution était utile, nous passe-
rions sur sa bêtise. v
Mais elle est plus qu'inutile, elle est nui-
sible.
Et c'est pourquoi nous montons ici sur nos
ergots, pour jeter un cri d'alarme, qui, nous
en sommes persuadés, d'ailleurs, n'influera
en rien sur les idées et les résolutions des jars
qui siègent aux Capitoles modernes, situés au
bout du pont de la Concorde et rue de Vau-
girard.
*
* #
Tous Jacobins.
Que veulent faire, en effet, les opportunistes
comme Paul Bert, les partisans de Clémeneeau,
comme Jules Roche.
Enfermer les calotins, réguliers et irrégu-
liers, dans le Concordat, promu au grade de
prison.
Prison à laquelle ils ajouteront quelques ar-
ticles additionnels en guise de barreaux sup-
plémentaires.
Eh bien, mais, ç'est là une besogne absolu-
ment anti-libérale.
Pourquoi voulez-vous assommer ces gens
sous des règlements policiers vexatoires?
Pourquoi leur flanquer ainsi, en veux-tu en
voilà, n'en veux-tu pas, en voilà tout de même,
des coups de trique sur la tête, —triques pour
rire, triques en caoutchouc, empruntées aux
accessoires des pantomines des Folies-Bergère?
Ne sont-ils pas des commerçants ordinaires ?
N'ont-ils pas le droit de débiter librement
du Bon Dieu et du Doux Jésus comme les
charcutiers vendent du cervelas à l'ail et du
petit salé ?
Supprimez-leur la subvention que vous leur
accordez ;
Ayez l'œil à ce qu'ils n'enfreignent jamais
les règlements de police.
Soit.
Mais, sacrebleu de sacrebleu, laissez-les
libres de se réunir, s'associer et pialler à leur
aise, tant que les voisins ne déposeront pas de
plainte pour tapage nocturne 1
Us ne pourraient plus crier à la persécution,
Larmoyer à l'instar de crocodiles en dispo-
nibilité. Pisser de l'œil comme des Wallaces
en vacances,
Gela les embêtera plus que tous vos décrets
draconiens à l'eau de rose, je vous jure,
Et, se voyant enfin libres,
Vraiment libres,
Mais rien que libres,
Ils sont parfaitement capables d'en pleurer
de rage et de chagrin.
Ce serait, du reste, la première fois, depuis
18 siècles, plus quelques mois de nourrice,
que l'on verrait verser, à des représentants de
cette clique, peu ou prou de larmes sincèresl
*
* *
proprietaire inamovible
La ville de Marseille vient d'être déboutée
de sa demande de recouvrement des terrains
sur lesquels est bâti le palais impérial du
Pharo.
Ainsi la veuve Badinguet,
Nini l'Andalouse,
Madame ma guerre,
Reste propriétaire en France!
Elle nous coûte des torrents de sang, deux
provinces et des milliards,
Et nous lui laissons les millions que nous
fûmes assez godiches pour lui octroyer jadis.
0 misère 1
Pour qui donc est fait l'article du Code inter-
disant aux meurtriers d'hériter de leurs
victimes ?
Vive la France
Mais pas l'Italia !
Ces bons Italiens viennent encore de faire
des leurs.
Ils ont procédé à une nouvelle édition, revue
et considérablement diminuée des Vêpres Sici-
lisnnes.
Cette fois, ce n'est pas en Sicile, mais en
plein département de la Seine, à Charenton,
que s'est passé le drame dans lequel les com-
patriotes de Garibaldi, ont joué le principal
rôle.... et du couteau à virole.
Ils se sont rués, au nombre d'une quinzaine,
sur quatre ou cinq ouvriers Français, qu'on a
dû, après la collision, ramasser avec des cuil-
lières.
Un des français a été frappé d'un coup de
couteau au bas-ventre.
Ce doit être après sa mort, ou du moins,
lorsqu'il était déjà grièvement blessé.
Jamais, en effet, un Italien n'a frappé un
homme debout, si ce n'est dans le dos.
Et dire que c'est pour ces salopiots-là que
nous avons été nous faire casser la margou-.
lette à Solférino.
Ah! si le remords n'exisiait pas, rien que
pour cela, nous serions capables de l'inven-
ter 1
serment de main, serment de cœur.
La question du serment est plus que jamais
à l'ordre du jour.
Les jurés libres-penseurs ne voulant pas
jurer par Dieu, les jurés bondieusards, par re-
présailles, se refusent, avec une énergie féroce,
à prêter serment sur leur conscience.
U y aurait peut-être un moyen de s'en-
tendre.
Ce serait de ne pas faire prêter serment du
tout ou de le faire prêter après le verdict.
Alors, par exemple, le président demande-
rait à chaque juré:
Vous avez jugé suivant votre conscience ?
Et l'autre, furieux, répondrait :
— Nom de D... ! si vous vous permettez d'en
douter plus longtemps, je vous flanque ma
main sur la figure 1...
Henry Vaudémont.
COUPS DE BEC
Il était une fois un gredin nommé Louis
XVI, qui fût guillotiné pour l'avoir furieuse-
ment mérité, de l'aveu même de parents qui
votèrent sa mort.
N'osant lui élever une statue, — c'est dom-
mage — on lui éleva une chapelle qu'on eût
le toupet de qualifier d'expiatoire. Ce monu-
ment est, comme l'a fort bien dit M. Jules
Roche, un outrage public et permanent à la
nation, qui n'a jamais mieux t'ait qu' en sup-
primant ce misérable.
En conséquence M. Jules Roche demande la
démolition de cette chose aussi laide que stu-
pide et antipatriotique.
J'aime à croire que l'affaire ne fera pas un
pli, comme on dit, dans le monde, mais dans
le cas où elle serait repoussée — car il faut
tout prévoir dans un siècle où on ne peut con-
trôler les dépenses de l'Etat — si j'étais à la
place de M. Roche, jo prendrais gaîment l'a-
venture.
Comme dans les ménages où la femme finit
par dire en voyant rentrer son mari pochard
tous les soirs : Ernmène-moi avec toi au moins!
je dirais à l'assemblée :
Vous voulez conserver votre chapelle ? Eh !
bien conservons là, seulement soyons logiques :
Comme il est bien avéré que S. M. Louis XVI
était une crapule, qu'il nous a jeté a un mo-
ment toute l'Europe sur les bras, il faut ren-
verser les statues des généraux qui ont repoussé
l'étranger.
Nous* allons donc démolir les statues de
Marceau, de Kléber, etc.
D'un autre côté, comme vous trouvez que
Louis XVI mérite une chapelle pour avoir fait
mourir une quantité considérable de patriotes
défendant le sol français, je crois qu'il y au-
rait urgence à élever'au moins une cathédrale
sous l'invocation de Monsieur Dumollard qui,
* lui, n'a fait qu'assasiner un nombre très-res-
treint de bonnes d'enfants.
A la vérité, je crois que cette dernière pro-
position rencontrerait peu d'adhérents, mais
au moins cela me procurerait la douce satis-
faction de voir au pointage des voix, ceux des
membres de l'assemblée qui auraient «i illo-
giquement voté la conservation de la chapelle
du nommé Louis XVI, et contre l'élévation
d'une église à Dumollard.
Cela me servirait à faire une troisième pro-
position, demandant, soit la création de Tor-
dre de Vimbéeilité, dont on reconnaîtrait offi-
ciers de droit, les membres qui se seraient pro-
noncés différemment dans les deux cas, soit
la remise à leurs familles, de ces mêmes gens,
pour qu'on les fasse soigner dans des maisons
de santé.
René Lebrun.
CHRONIQUE THEATRALE
Comédie-Française.
M. Perrin n'est pas seulement un père pour
ses administrés, sa sollicitude s'étend encore
à ses abonnés, à ses fidèles Mardistes qui, sui-
vant l'expression admise, ont fait de la Comé-
die-Française le rendez-vous du Tout-Paris
mondain et élégant.
C'est ainsi qu'il vient de représenter —
l'histoire ne dira vraisemblablement jamais
pourquoi — une petite bluette en un acte et
en vers, Service en campagne qui n'aurait très
certainement jamais dépassé les paravents du
Cercle des Mirlitons entre lesquels elle à vu
le jour si son auteur, M. le Marquis de Massa,
n'était précisément l'un des représentants les
plus titrés et attitrés des Mardistes du Théâ-
tre-Français.
Est-il nécessaire d'ajouter que cette reprise,
fort bien interprétée du reste par les créatri-
ces des principaux rôles, M,nes Reichembert,
Broisat et Kalb et par MM. Worms et Laroche
a été applaudie ?
Non, n'est-ce pas. Nous ne nous pardonne-
rions pas de troubler par le moindre cri dis-
cordant les échos de bravos qui ont si peu de
temps à se répercuter.
Palais-Royal.
Le Palais-Royal, apiès avoir repris pendant
presque tout un mois, une foule de pièces de
son répertoire vient de représenter cette se-
maine la Brebis égarée, une comédie nouvelle
en cinq actes de MM. Grangé et Victor Ber-
nard.
U s'agit d'une jeune fille et d'un jeune hom-
me que leurs parents veulent unir. Comme ils
ne se sont jamais vus, ilsse sont pris mutuelle-
ment en horreur. Us se rencontrent par hasard,
s'éprennent d'amour l'un pour l'autre et s'em-
pressent de solliciter de leur famille la célé-
bration d'une union qu'ils repoussaient aupara-
vant avec horreur et désespoir»
Ce sujet qui n'est pas neuf a été rajeuni de
la façon la plus charmante par les auteurs. La
brebis égarée fourmille de quiproquos et de
situations fort drôles ; les mots les plus comi-
ques y abondent, et l'on s'y amuse franche-
ment, ce qui est le but à atteindre.
La pièce est lestement enlevée par MM. Dau-
bray, Pellerin, Luguet, Plet, MM1103 Lavigne et
Jane May.
n
Porte St-Martin.
Le théâtre de la Porte-St-Martin vient de
reprendre le Bossu.
Tout a été dit sur ce drame qui est resté l'un
des plus attrayants et des plus empoignants
du genre. C'est une de ces vieilles connaissan -
ce# que l'on revoit toujours avec plaisir ■ •
nous ne doutons pas que la reprise qui vieiit
d'en être faite n'attire de nouveau à la Torte-
St-Martin bon nombre de spectateurs.
Le Bossu est admirablement rendu par l'ex-
cellente troupe de la Porte-St-Martin, et M.
Paul Clèves, suivant son habitude, n'a rien
négligé pour rendre la mise en scène irrépro-
chable.
Peu de choses à signaler sur les autres
scènes.
Les Folies-Dramatiques encaissent chaque
soir le maximum avec Boccace.
La Gaité vient de reprendre Quatre-Vingt-
Treize dont les représentations avaient été
interrompues pendant quelques jours.
Le théâtreClunycontinuearefuserdu monde
avec le Ho de la rue Pigalle, de M. Bisson.
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