Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.6801#0106
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
15 CENTIMES

LEjGRELOT

.La belle-mère. — Monsieur, le mrdecin est
un imbécile ; ma fille" peut'réêister à tout.

—o—

Sur le boulevard, passe une dame dans un
état de grossesse fort avancé.

Un affreux voyou s'arrête, la contemple, et
d'une voix discrète :

— Oh 1 les hommes 1

Idylle à Robinson.

Estelle et Némorin se promènent le long
d'une haie.

— Voyons, que je te dis, asseyons-nous un
brin.

— Nenni !

— T'es bête, il fait nuit noire et le gazon est
si épais.

— Que non ! Maman m'a défendu de m'as-
seoir avec les garçons.

— Bah I qu'est-ce qui le saura I

— Non, je ne Veux pas.

— ÂiOfS, si c'est comme ça, je te lâche et je
vas au cabaret.

— Ben sûr?

— Ben sûr.

Némorin s'éloigne. Estelle le rappelle.

— Hé ben, tu ne sais pas, pousse-moi, je
tomberai 1

UaD&uno séance d'acâdéwie :

— Messieurs, ce renseignement que j'em-
pfume à un ouvrage allemand...

Une voix : Oh ! vous ne leur emprunterez
jamais autant qu'il nous ont prist

—o—

'Us revenaient du bois, seuls à deux,comme
dit le poète, dans un modeste fiacre.

Lorsque la voiture arrive à la grille de la
Porte-Maillot, un employé de l'octroi s'adresse
au jeune homme :

— Vous n'avez pas de déclaration à faire?

— Merci, mon ami, répond l'amoureux ;
c'est déjà fait.

Tout le Monde .

LES CAQUETS DE PICHENETTE

Harpagon n'est pas mort

Pichenette en aurait un remords s'il n'en
administrait une bonne sur le nez de M.
Alexandre Dumas fils.

En voilà un qui — pour parler le langage
moderne — « la connaît dans les coins. »

Tout le monde se rappelle l'historiette que
je vais raconter; mais comme tout le monde
oublie vite, je crois utile de donner un regain
de publicité à une belle action.

Le peintre Chéret laisse, en mourant, sa
veuve dans l'infortune.

Un journal apprend cette tristesse; il en in-
forme le public.

Aussitôt, journalistes, acteurs, actrices, tout
ce qui touche au théâtre s'offre pour concourir
à une représentation que l'on veut faire mer-
veilleuse.

Sarah Bernhardt— qui estàdeux centlieues
de Paris — demande à jouer la Dame aux Ca-
mélias, avec son mari dans le rôle d'Armand
Duval.

Grande attraction. Tous les curieux veulent
voir la grande comédienne dans un rôle qu'elle
n'a jamais joué à Paris, — et surtout connaître
son conjoint.

Les avant-scènes se payent vingt-cinq louis,
les fauteuils d'orchestre cent francs, et ainsi
de suite.

Sarah — un cœur d'or — ne veut même pas
qu'on lui rembourse ses frais de voyage.

TuUs ceux qui participent à cette bonne ac-
tion y apportent le même désintéressement.

Jusqu'à l'Assistance publique, qui, ne pou-
vant faire un complet abandon de ses droits
— sè contente de cinq cents francs, au lieu
d'une dizaine de mille francs qui lui revenait.

LA représentation eut le succès attendu :
plus de soixante mille francs de recettes!....

On allait verser cette somme à la veuve,
quand Harpagon — je veux dire Alexandre
Dumas — arriva.

— ait mes droits d'auteur ?...

— Comment 1 vous n'abandonnez pas vos
droits d'auteur pour une œuvre à laquelle tous
ceux qui y ont participé se glorifient d'y avoir
concouru gratuitement?

— Non, non, certes.

— Mais, dans cette représentation, votre
pièce n'a été qu'un cadre dans lequel on avait
mis un magnifique tableau. Ce n'est pas pour
elle — tout le monde la conuait — que le pu-
blic est accouru : c'était pour Sarah, c'était
pour voir son mari, c'était pour toutes les cé-
lébrités qui y prenaient part, — et surtout
pour la bonne œuvre qui en était l'objet. Est-
ce que jamais vous avez touché, pour une seule
reprér-eutation d'une de vos pièces, 7,023 fr.
de droit d'auteur? Avcz-vous jamais touché la
moitié, même le quart de cette somme ?

Toutes lt s raisons lurent vaines.
Harpagon-Dumas a palpé ses 7,023 francs.
Et, eu rentrant chez lui, il a pu dire, comme
l'empereur romain :

— Je n'ai pas perdu ma journée l

Et savez-vous pourquoi M. Dumas flîs a tenu
à s'approprier cette somme, qui, placée en via-
ger, eût pu ajouter un millier de francs au re-
venu de la veuve?

Je vais vous le dire; il en a fait la confidence
à un rédacteur du Clairon, :

C'est.parce qu'on ne l'avait pas invité aux
répétitions 111

Un confrère de M. Alexandre Dumas, qui
avait bien autant de génie que lui —quoiqu'il
n'ait pas été de l'Académie, — Molière l'a
peint il y a deux siècles; oyez :

« C'est, de tous les humains, l'humain le
moins humain ; le mortel de tous les mortels
le plus dur et le plus serré. Il n'est pa-; de
service qui pousse sa reconnaissance jusqu'à
lui faire ouvrir les mains. Do la louange, de
l'estime, de la bienveillance en paroles, et de
l'amitié tant qu'il vous plaira ; mais sans ar-
gent, point d'affaires.....»

Ce n'est pas sans regret que je me montre
si acerbe pour url homme d'une si grande va-
leur ; mais cette vilenie avait été précédée de
deux autres : l'affaire Durantin et l'affaire Jac-
quet.

Ah 1 Dumas père, toi qui fus si grand, si gé-
néreux, — d'aucuns disent si prodigue, — si
tu vivais, que dirais tu?

Quelques jours avant le siège de Paris, on le
transporta, mourant, en Normandie, près de
son fils.

Eq se déshabillant, il trouva un louis dans
son gousset.

— Qu'on essaye de prétendre que je suis un
prodigue, dit-il en souriant, j'avais un louis
en arrivant à Paris... je l'ai toujours.

Pichenette.

Quand ils sont fatigués de taper sur les
gens, les préfets de police s'en prènnent
aux bêtes et finalement à eux-mêmes, en don-
nant leur démission, finissant ainsi par où ils
auraient dû commencer.

M. Andrieux a suivi cette marche. On n'a
pas oublié sa fameuse proclamation contre les
poules et les lapins. M. Camescasse, lui, s'en
prend aux chevaux. Un de ces quadrupèdes
s'emballe-t-il ? Immédiatement il est expulsé
de Paris. On envoie son signalement à tous les
gabelous, qui l'arrêtent à l'octroi et le contrai-
gnent à se contenter d'écraser et contusionner
de vils ruraux.

Comme gâtisme, on le voit, c'est parfait de
tous points.

X

Seul en France le gouvernement me parait
capable de soutenir sans trop de désavantage
la comparaison avec son préfet de police.

L'annulation de l'ordre du jour de défiance
voté par le Conseil municipal est un de ces
actes qui dénotent un état mental suffisam-
ment troublé pour faire administrer une dou-
zaines de douches à ces particuliers.

Quoi 1 le Conseil municipal vient nous dire :

— Je n'ai pas confiance dans M. Cames-
casse. Il me déplaît, cet homme.

Et vous lui répondez :

— Pardon, vous vous méprenez étrangement
sur les sentiments que vous éprouvez. M. Ca-
mescasse vous rassure d'une façon complète
et sa figure vous est on ne peut plus sympa-
thique.

— Cependant je vous assure...

— Erreur. Je le sais mieux que vous, moi.
Et la preuve, c'est que je vais copier sur le
texte de l'arrêt burlesque, de Boileau, par le-
quel le Parlement défendait au sang de cou-
ler, un décret en vertu duquel vous serez les
amis intimes de ce bon, de ce cher, de ce dé-
voué Camescasse. A.hl vous n'étiez ni confiants
ni sympathiques. Eh bien, ce n'est pas plus
malin que ça. Pafl vous l'êtes!

X

Je lis dans le Gaulois de dimanche :

M. le capitaine Victor Didier, ex-ofticier de
zouaves, ayant obtenu, ces temps derniers, un
congé pour faira un voyage en Italie, en pro-
fita pour aller étudier un terrain classique :
celui de la campagne de Masséna en 1794. Les
autorités italiennes le firent arrêter dans les
montagnes de Tiiora, tandis qu'il dessinait.
Fouillé et reconnu porteur d'un revolver, M.
le capitaine Victor Didier fut déféré au tribu-
nal de San Remo, en vertu de la loi prohibant
le port d'armes. Le tribunal l'a condamné à
trois mois de prison.

Y a-t-il des lois qui protègent les magis-
trats étrangers comme il en existe pour punir
l'outrage aux souverains étrangers?

Sinon, il faut s'empresser de combler cette
lacune, car d'aucuns pourraient traiter d'é-
trange sorte les juges italiens qui viennent
d'accoucher de la condamnation ci-dessus.

X

Nous ne sommes pas de ceux qui disent
« Il n'y a pas de question sociale »,

Mais nous sommes tout aussi éloignés de
partager, en matière de socialisme, les idées
.jacobines des collectivistes et des anarchistes.

Et, lorsque nous voyons un groupe, immo-
destement intitulé Fédération ouvrière du
■centre, constater solennellement que :

« La hausse des loyers vient des boulevards,
marchés, lignes d'omnibus de tramways,
gares et autres progrès de la vie publique ».

Et partir de là pour demander, par voie de
pétition, à la Chambre :

« De réduire les loyers dans les proportions
suivantes cinquante pour cent pour les loge-
ments au-dessous de iOO francs, quarante
pour cent pour les logements de 100 à 1000
francs ; vingt-cinq pour cent pour les bouti-
ques et magasins jusqu'à concurrence de
4000 francs. »

Nous ne pouvons nous empêcher de hausser
les épaules et de trouver ces pauvres gens
aussi bêtes que le furent jadis les belges,
lorsqu'ils firent une émeute, sous le spécieux
prétexte que le gouvernement n'empêchait
pas les patrons des « staminets » de réduire
les dimensions du verre de taro d'une chopine
à un tiers de litre !

IItcxry Vaudemont.

LE PALAIS DE CRISTAL FRANÇAIS

A la suite de la dernièro «îonférerce de M.
Nicole au cirque d'Hiver, concernant le Palais
de Cristal Français, cette œuvre éminemment
patriotique, pour la réalisation de laquelle il
travaille depuis plusieurs années, non* avons
constaté l'éclatant succès qu'il a obtenu auprès
de sod auditoire.

Uu journal italien, qui ne peut se rendre
compte peut-être de la grandeur du projet, le
critique à sa manière, ceci est de peu d'impor-
tance, mais un journal français — un sur des
milliers existants — trouve, également à criti-
quer, mais malheureusement ses critiques
sont d'une nullité parfaite, et ne parviennent
pas à détruire la vérité qui est celle-ci.

L'amas de rùiuesdu château de Saint-Cloud
désole la vue par son lugubre aspect, l'Etat ne
relire pas un sou de cette masure, forcément
abandonnée, et à la place de cette non valeur,
l'Etat, après l'examen le plus miDUtieux,a im-
posé â M. Nicole des charges extrêmement
lourdes.

L'organisateur habile que nous connaissons
tous, les a acceptées, et il n'attend plus que
la ratification de la signature de l'Etat par la
Chambre des députés, pour payer des rede-
vances énormes.

Depuis onze ans l'Etat se tourne et se
retourne sans arriver à uno solution quelcon-
que, un homme se présente pour le tirer d'em-
barras tout en lui laissant de gros profits; il
propose de restaurer gratuitement le palais,
de réparer le parc et de concourir à rétablir la
prospérité des communes environnantes et
l'Etat hésiterait 1

Les gens sérieux, les personnages les plus
autor^és ont déclaré ce traité lavorable au
trésor public, les conseillers municipaux offi-
ciellement consultés ont été unanimes à
approuver le traité signé par les ministres
compélants, et on s'arrêterait à la mauvaise foi
d'une feuille qui prétend qu'on, va détruire la
promenade favorite du public I ce serait pure
folie assurément, surtout devant les lettres de
l'étranger qui s'enthousiasme a l'idée de celte
création grandiose.

Comme exemple, je citerai ce qu'on écrit de
Bula-Pest :

« Vous ne sauriez croire, à Paris, avec quel
enthousiasme le projet de Palais de Cristal
français a été accueilli en Hongrie. On y voit,
en eflVt, l'occasion de relations permanentes
sur un terrain d'étude et d'échange, avec un
peuple trè3 sympathique. Les plus grands
1 ersonnages ont accepté de faire partie de la
commission supérieure de patronage de l'œu-
vre française. Lorsque le moment sera venu,
vous recevrez d'ici une exposition splendide
et d'une extraordinaire variété :

Colleclions anthropologiques, spécimens du
vieil art hongrois, matières premières pour
vos manufactures, curiosités de toute sorte.
Fiez-vous à l'amour-propre des Hongrois et
aussi à leurs vives sympathies. L'exposition
permanente hongroise au Palais de Cristal
français sera une très grande attraction. »

La création du Palais de Cristal Français
s'impose d'elle-même et malgré les critiques
toujours faciles, et pourtant bien îares, en ce
qui concerne cette grande œuvre, la Chambre
n'a plus seulement le droit, mais le devoir de
ratiitr la seule bonne cho?e peut-être à
laquelle le ministère aeluel aura attaché son
nom.

C. L.

Voyage cJrcatlaire en Suisse

(Jura. Bernois et Oberland-Bf.rnois.)

Les compagnies des chemins de fer de l'Est
et de Pans-Lyon-Médittrranée ont organisé,
comme l'année dernière, un voyage cirulaire
qui permet aux touristes de visiter l'Est de la
France et la Suisse (Obeiland-Bernois1, ainsi
que les sitps si pittoresques du Jura Bernois:
elles délivrent pour celte excursion des billets
à pris réduits valables pendant uû mois, avec
arrêt lacultatif: sur les ligues de l'Est et de
Lyon à toutes les stations du parcours, et dans
les villes suivantes: Mulhouse, Baie, Olten,
Luceïne, Alpuach, Brienz (tiies^lach), Inter-
lakcti, Thoune, Berne, Neufchàlel.

Celte attrayante excursion peut s'effectuer
indifféremment en partant par la ligne de l'Est
et en revenant à Paris par celle de Lyon, ou
bien dans le sens inverse.

Ou délivre des billets à Paris (jusqu'au 30
Septembre inclus) aux gares des Chemins de
1er de l'Est et de Lyon ; aux bureaux succur-
sales des Chemins de fer de l'Est, u2, rue
Basse-du-Rempart ; 4-10, rue Ste-Anne, et 7,
rue Molière ; — aux Bureaux de la Compagnie
de Lyou : 88, rue St-Lazare ; 11, rue des Petit s-
Ecuriea ; 6, rue Coq-Héron, G, rue de Rambu-

téau; 4, rue du Bouloi ; 4)'., rue de Rennes :
252, rue Sl-Marlin ; 8, place de la Répu-
blique; — àl'Agence des Chemins de fer Anglais,
4, boulevard des Italiens;—à l'Agence Lubin,
36, boulevard Haussmann.

Les prix des billets sont les suivants ; viâ
Belfort, Dellé-Délémont, Bienne: 1" classe
138.38 j 2° classe 108.23 : — Viâ Belfort, Mal-
bouse, Bâle,. Délémont, Bienné : 1'= classe
Mi.65 ; 2° classe 112.93.

Grand Dictionnaire d'Histoire naturelle, par
Ch. d'Orbipny, avec la collaboration de membres
de l'Académie des Sciences. Nouvelle édition,
comprenant 28 volumes de texte et 3 volumes
Atlas, contenant 340 planches, soit environ t.000
sujets coloriés. Prix, broché: 480 fr. payables 50
fr. par trimestre. — Librairie Abel Pilon, rue de
Fleurus, 33, a Paris.

M1CHELET. -- Histoire do Frime© pt do la

Itévoluiion Française. 28 volumes in-8", accom-
pagnés de 200 gravures hors texte. Prix : IOO fr.,
payables lO fr. par mois. — Librairie A. Pilon.
A. Le Vasseur, successeur, 33, rue de Fleurus,
Paris.

AUX PHARES

DE LA

BASTILLE

CHOIX IMMENSEDE VÊTEMENTS

Etablis dans (les Conditions loat-à-Iait

exceptionnelles de BON MARCHÉ

j^MlUIIIESIIISTI)}|\«Sls

sont traitées avec un succès certain en prenant
| après chaque repas un petit verre à liqueur
| d'Elixir de Papaïne Trouette-Perrcl. (Exiger
le timbre de l'Etat français). — Dépôt dans
toutes les pharm. — Gros'a Paris, 68, r. Rivoli

PIPES D'ÉCUME

GARANTIES

à5,7,IO'etc.

FttAXCOCt'o MANDAT OU TIAtil.-fuKTH &

Fume-Cig. et Ci&"", Lia s miirorç., écaille.Blagues
s-i», nickel, celluloïd. — Narghilés. — Moules i
Cit:"", Etouffe-Cigares, Porte-Cig, â musique,
Tabatières,Briquets,'H—Eiuoi franco et gratis

^ïï!Pinlippart-MCULIN5^;!:;30

dans là cour, an I"£ta;rê,PARIS.—Prière d'indiquer
dans que! Journal on a lu cette annonce, ;

^GOUDRON e nom

JOSEPH BARDOU & Fils
itu)i invenîeurs-prAparateurs et

le CACHET DE GARANTIE.

UHlfllEUBS

EVITEZ

les foatreiaçoM

Cie d3S CAVES GENERALES — BERCY

VINS f iMdtàUNVM i i*c« jt «ri boutaillai. Envoi franco tari

EVITER LES CONTREFAÇONS

ÏÏMM PLUMES

33

de J. ALEXANDRE

Les meilleures
plumes' métalliques
HUMBOLDT.1
PHŒNIX . . . ( 9 tr KA
ROSSINI.. . . \ *

KALAM
N°« 4, 5 et 6

3

Chez tous les papetiers et libraires.

YRAITEMENT»/>««'aZdes;nAI,%l,»IES SECRETE»

par le docteur Emaaaud, licencie ès-sciences
Canine» médical et pharmacie, 142, rue de Riiuli
Consultations à l'entresol, de 9 heures du matin à 10 heure
du soir, dimanches et fêtes de 9 heures à 6 heures

17e.1ij P.MISnLWE bitc11e:.\iqite pré-
vienl, dissipe ton les les affections de I i peau, en é\ite les tra-
ces et embellit. Flac. d'essai f° coul. 2 I. tiuib.-p. llo<|uc-
blav<\ rue Bergère 24, Paris.

k MARIER

68. rue Sl-Antoine rlr<> Maison).

Orph. jolie. 21 a. 1.500.000 fr.
ép M' noble. Dllcs 19 et 22 a.
200.000 et 400.000 fr.Hamas,

PRETS AVEC HYPOTHEQUES

à 4 • - 4.25 - 4.60 — 4 75 A 5 O/l

Sur tous Immeubles lltués en FRANCS

(Malsons, terres, pris lignes, bols, sro.] PROMPTE SOLUTION
S'adresser s m.PII.lard, successeur de M. os Vitsnct, boa-
lee-anl Notast-Ooni*. 15 his Paris fSliison <nnd. an iKSO,,

D'TI Pî ifHHK iIé i- G,lèr'sonfl,'s Maladies
U, bhMXitaù contagieuses, 9,rue Rodier,Pari«

Hémorriioïflesl

.TISSURES A F..1 A UU»
Soviaf* imm* A Àw**f t.ion

P0MMAOE roy crit»

P»". HS.r3l-ts.rtl» »aril.

néritab/eCANET-GlRAROguérison
l UiiuLIEiil 1 prompte des plaies, panaris. Blessures
I éfetoiitessortes.P..-2t. lerouleau.(Env. p. p.aff. 20c
1 Dépôt: 4,fue dos Orièvres, pharmacie VERITE)
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen