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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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15 CENTIMES

LE GRELOT

— Ma pauvre amie, s'écrie-t-il en sanglot-
tant, il n'y avait quelle pour savoir mettre la
sciure de bois dans le poivre et mélanger de
la craie dans le sucre en poudre !

Ah ! je sens bien que je ne pourrai jamais la
remplacer ! ! I

Dans la rue, neuf heures du soir :

— Je vous en prie, monsieur, ne me suivez
pas ainsi: je suis dans mon quartier, vous me
compromettrez.

— Alors, madame... un rendez-vous... et je
vous laisse.

— Jamais, monsieur, je suis uno honnête
femme... j'aimo mon mari ?

— Raison de plus! nous serons deux pour
l'aimer!

Et qu'est-ce qu'il est votre mari 1

— Il est pharmacien !

— Bonsoir, madame 1
Course folle.

Un chirurgien s'est marié dernièrement avec
une jeune et jolie femme, qui n'a que le tort
d'être fort coquette et dépensière.

— Dans ce ménage-là, a dit quelqu'un,
l'homme panse et la femme dépense I

Un voyageur, descendu dans une maison
meublée, encombrée de voyageurs, demande
une chambre. La maîtresse du logis lui ré-
pond, avec un aimable sourire, qu'il ne reste
plus pour le moment qu'une toute petite
chambre au rez-de-chaussée.

Dans l'espoir d'avoir mieux le lendemain, le
voyageur, d'ailleurs très fatigué, s'en acco-
mode. Il se couche et s'endort.

Il ronflait depuis cinq minutes, lorsqu'il est
réveillé par un violent coup de sonnette.

11 lâche un juron, se retourne de l'autre côté
et essaye de se rendormir.

Nouveau coup de sonnette.

Furieux, le voyageur veut appeler quel-
qu'un pour se plaindre, il saisit le cordon qui
pend auprès de son lit et le tiro vigoureuse-
ment.

Personne ne vient, mais on ne sonne plus à
la porte, c'est autant de gagné.

Il se rendort, mais un nouveau coup de son-
nette retentit.

— C'est trop fort! hurle le dormeur réveillé
en sursaut.., Ilolàl quelqu'un !...

Et il tire encore le cordon qui est à portée
de sa main.

Nouveau calme.

Mais cela ne dure pas longtemps ; et la
même scène se renouvelle une dizaine de
fois.

Le lendemain, l'infortuné voyageur a l'ex-
plication de ses mésaventures nocturnes.

Comme il n'y avait aucune chambre vacante,
la maîtresse do la maison l'avait casé dans la
logo du concierge,et, sans s'en douter, il avait
tiré toute la nuit le cordon aux locataires I

A la mairie :

La fille d'un perruquier épouse un menui-
sier.

M. le Maire, au mane :

— Prenez-vous pour épouse ?.... etc.

Le marié. — Oui, m'sieu l'Maire, mais faut
pas qu'elle me rase !
M. le Maire, à la mariée :

— Prenez-vous pour époux

La mariée.— Oui, m'sieu le Maire, mais faut
pas qu'il me scie !

—o—

Depuis quelques jours, la dormeuse de l'hos-
pice Beaujon donnait, dans son sommeil quel-
ques légers signes d'agitation.

Enfin, lundi soir,el!e a dit d'une voix faible,
mais où se peignait comme un soulagement.

— Enfin, M. Cochery reste ministre des
postes et télégraphes !

Et elle s'est rer.dormie.

Tout le Monde.

GAZETTE DE MONTRETOUT

Ministère de vacance

La crise ministérielle est terminée et M.
Grévy va pouvoir aller taquiner le goujon.

Et d'un plomb qui fuit l'œil et part comme l'éclair
Aller faire la guerre aux. habitants de l'air.

Franchement au point de vue humanitaire,
cela vaut mieux que de gaspiller l'argent de
la France en expéditions plus ou moins expé-
ditives... Reste à savoir si notre abstention ne
nous jouera pas un vilain tour et si, au point
de vue de la politique étrangère... à l'huma-
nité, nos députés qui ont voulu économiser
quelques millions ne seront pas forcés, à la
rentrée, d'annuler leur premier vote et de lan-
cer le pays dans une série d'aventures invrai-
semblables.

En politique j'ai toujours préféré le connu
quelqu'il soit à l'inconnu quelqu'il puisse
être:

Cela ressemble fort à une calinoterie mais
entre nous Calino rendrait des points à tous
nos gouvernants. Et si j'eusse été le locataire
actuel de l'Elysée j'aurais constitué un minis-
tère-Calino.

Le brave papa Duclerc, un revenantde 1818,
sera certainement à la hauteur de la situation
tant que durerons les vacances parlementai-
res — car, et j'invoque une de fois de plus
J'opinion de Calino, car d"is-je la meilleure
façon, pour un cabinet, d'être d'accord avec la
Chambre, c'est d'envoyer les députés «étudier
l'esprit des populations ». — Oui mais dans
quinzo jours, trois semaines, un mois peut-
être la danse va recommencer. Je prévois

même que le ministre va être obligé de convo-
quer nos représentants avant la lin d'août et
ceux-ci furieux d'avoir été dérangés dans le
dolce far niente des vacances, démoliront
Duclerc comme ils ont démoli Freycinet.

L'unique solution eut été de dissoudre la
Chambre, et de procéder incontinent à de
nouvelles élections. Nos députés actuels sont
absolument ingouvernables parce qu'ils veu-
lent tous gouverner.

Pendant ce temps là l'Angleterre se moque
de nous très proprement et le canal de Suez
est en passe de devenir une entreprise pure-
ment anglaise, en dépit des protestations de
M. de Lesseps qui est seul à l'heure présente
à représenter la Franco en Egypte.

Le ministère Duclerc no me semble pas des-
tiné à briller longtemps à l'horizon et le crains
fort qu'on ne le désigne unjour dans l'histoire
sous la dénomination de ministère Duclerc».
de lune 1

*

* *

A bas les fortifications !

Un petit bravo à M. Martin Nadaud qui vient
de proposer la démolition des fortifications de
Paris.

Vous savez bien, ces fortifications qui à
l'instar du sabre de M. Prud'homme ont servi
à défendre Paris et au besoin à le combattre.

Et dire que c'est à cette vieille ganache de
Thicrs que nous devons ces ignobles fossés et
ce mur dont un humoriste a dit :

« Ce mur murant Paris rend Paris murmu-
rant. »

Allons vite que l'on démolisse cette ceinture
de pierre et que l'on contruise sur son empla-
cement des logements salubres et à bon mar-
ché.

Quant à la question stratégique il y a long-
temps hélas, qu'elle est résolue dans le sens
indiqué par M. Martin Nadaud.

Entasser des bastions autour de Paris c'est
dire à l'ennemi qu'il peut vaincre la France !

Cétéivayo à Londres

Cétéwayo (ou C. T. Veuillot), vient d'arriver
à Londres afin de remplacer l'éléphant Jumbo
dont le départ a fait tant de peine aux badauds
d'outre-manche.

L'ex-roi de Zululand va, dit-on, obtenir de
ses geôliers l'autorisation de venir passer huit
jours à Paris. Excellente idée, car alors Cete-
wayo, en vertu du décret de 1818, « nulle terre
française ne saurait porter d'esclave » (Cré-
mieux), deviendra libre en foulant le sol de
France.

Cetéwayo qui a mangé 880 livres de bœuf
entre le Cap et Madère, coûte assez cher au
Trésor Anglais.

Ce petit voyage destiné à épater ex-roi des
Zoulousvanécessiter un crédit de 02,000 francs.
C'est pour rien !

La reine d'Angleterre a refusé do recevoir
Cétéwayo qui tenait à lui présenter ses hom-
mages. Le raison alléguée par la souveraine
de la grande Bretagne c'est que le roi nègre a
été la cause de la mort du Prince Impérial. Ça
c'est un comble 1 Horrible Cetéwayo 1

Cet animal est fort méchant
Quand on l'attaque il se défend!

M. Alpband continue cette année la petite
farce de 1880 et de 1881.

La Vanne et la Dhuys étant en baisse on va
nous rationner. Nous perdons 11,000 mètres
cubes par 24 heures et patati et patatas.

Acelavous rce répondrez que la Seine est
loin d'être à sec et qu'il serait bien simple à
l'aide de deux ou trois pompes à vapeur, de
pourvoir au service de l'arrosage des ruis-
seaux. Mais non, M. Alphand nous réserve
l'eau de la Peino qui ne l'est pas du tout
(saine !) pour le service de table. Quant àl'eau
filtrée on s'en sert pour les water-closéls.

Parisiens mes frères, contribuables, tailla-
bles et corvéables à merci.

Contentez-vous d'une simple bouteille.

Marie Antoinette disait : Si le peuple n'a
pas de pain qu'il mange de la brioche.

M. Alphand plus fort (en brioche) que Marie
Antoinette, nous dit : quand vous n'aurez
plus d'eau ■tous boirez du Champagne.

En attendant vous ne vous laverez les
mains que tous les quinze jours.

Quel chic, quel toupet il a ce M. Alphand.

Et la Seine baissait toujours...

Et pourquoi? je vous le demande ?

Les mauvaises langues prétendent que c'est
depuis que Jules Favre est mort 1

Vanity fair

Chez un marchand de musique.

— Combien ce morceau de piano ?

— C'est ! fr. 80madame.

— Sachez, monsieur que ma fille ne joue
pas de morceaux de moins de u fr.

*
* *

Turlutu

La petite Grudindoie est célèbre dans les
ambassades. Lts petits secrétaires se l'arra-
chent. Il est vrai qu'elle ne nuit pas à leur
avancement.

Chaque fois qu'un attaché d'ambassade lui
est présenté, il est sûr de se réveiller le lenae-
main charge d'affaires.

*

* *

Le mot de la fin

Madame X... est triste, elle a des idées
noires.

— Pétronille, dit-elle à sa bonne, j'ai envie
de faire mon testament.

La Bonnu {qui regarde par la fenêtre). —
Lequel, madame?

monirexout.

SOUVENIRS DU 15 AOUT

' Comme tout change en ce bas monde, —
sauf les gens qui n'ont pas de pièces de cent
sous, et qui, eux, restent toujours les mêmes,
conservés par leur misère comme le poisson
dans la glace I

Il y a vingt ans, le mardi que nous venons
de passer aurait été ce que fut le 11 Juillet,
moins l'enthousiasme populaire de bon aloi,
toutefois.

Et ce fut simplement l'Assomption, fête de
la Vierge Marie.

Je philosophais à ce sujet avec un do mes
amis, charmant garçon mais bohème endurci.

— Vois-tu, mo disait-il, j'aurais choisi cette
date pour donner un libre cours à ma rage de
casseur d'assiettes; toute la journée j'aurais
séché des verres, jeté des pétards entre les
jambes des femmes, jeunes ou vieilles, et fina-
lement, — s'il y avait encore eu de la place,
— j'aurais couché au poste. Au lieu de cela, je
m'en fus tranquillement canoter dansles para-
ges de Nogent, et, le soir, après avoir cassé la
tète à la traditionnelle omelette au lard de
Gournay, je rêvai aux Maries, toutes peu
vierges, mais quelque peu martyrs, auxquelles
j'aurais pu souhaiter la fête la veille, si je ne
les avais soigneusement perdues de vue depuis
longtemps.

La liste en est respectable.
Je souris.

— Dame! fît-il, en matière d'excuses, au-
jourd'hui, tant de femmes s'appellent Marie.
Du reste, j'en ai dressé le catalogue exact pour
l'édification des siècles futurs.

Et il me passa le document suivant, que, vu
l'état de somnolence dans lequel me plonge
une température sénégalienne, je suis on ne
peut plus heureux de reproduire.

Marie n" 1. — Une charmante enfant, dont
je fis connaissance à la foire aux pains d'épi-
ces. Je lui procurai toutes les jouissances que
l'on peut goûter, du faubourg Antoine au
cours de Vincennes. Elle vit la femme à barbe,
le théâtre des singes„le dernier crime de Crok-
mann,le panoramad&VAntropop/tagialionÇsic),
de six Français par trente-un Canaques, etc.,
etc. Puis je la menai aux balaçoires russes,
aux chevaux de bois, et finalement je la bour-
rai de coco, decidre,de petit bleu à douze et de
pain d'épices. Devant ces générosités prin-
cières, la vertu qu'elle n'avait pas céda. Elle
consentit à partager mon domicile et gravit
allègrement mes six étages.

Mais, hélas 1 à peine avait-elle pris la posi-
tion horiionlale, que le pain d'épices, le petit
bleu, le cidre et le coco produisirent leur effet
accoutumé. Cela dura toute la nuit.

Vous pensez bienqu'après des amours aussi
poétiques, je me hâtai de chasser la belle en-
fant dès que l'aurore eut tiré le cordon de la
porte de l'Orient.

X

Marie a»2. — Pour oublier ma mésaventure,
j'allai eirsulle rôder sur le lerre-plein du pont
d'Austerlitz. Là, je m'arrêtai longtemps devant
une ballerine. Une fille splendide. Elle pouvait
avoir seize ans, mais elle était grande et forte
comme si elle en avait eu vingt. Taille line,
jambes admirablement prises, bras fermes et
potelés, cheveux et yeux noirs, dents éblouis-
santes, lèvres et joues vermeilles, telle était
celte admirable créature.

Sans doute elle remarqua la persistance avec
laquelle je la dévisageais, car, lorsque lare-
présentation fut terminée, et que je restai
seul devant la corde raide, elle vint me deman-
der si je ne lui offrai pas quelque chose. Je
n'eus garde de refuser. De son côté elle ne
me refusa rien. Pendant deux jours tout alla
bien. Mais le troisième, je me permis de lui
faire quelques petites observations. A mon
sens, elle buvait trop de cognac, abusait de la
pipe et avait tort de chiquer.

Sur ce, la brune enfant me rit aû nez,
m'appela « affreuse bugnasse », m'allongea
une paire de gifles du pied droit et fila.

Je ne courus pas après.

X

Marie n° 3. — Une cuisinière. J'entrai dans
sa cuisine pour la féliciter de l'odeur inaccou-
tumée de ses ragoûts. Elle me donna l'explica-
tion de cette succulence insolite : les maîtres
étaient absents. Je profitai de cette absence.

Une seule fois, d'ailleurs. Je n'aime pas le
graillon,

X

Marie n° l. — Ma charbonnière. Un beau
matin elle monta chez moi, toute en pleurs.
Son mari était parti depuis trois mois « au
pays », pour affaires. Or, une âme charitable
avait averti la veille l'épouse, que son gredin
de mari flirtait là-bas avec toutes les jeunesses
des environs de Saint-Flour. Elle venait donc

me prier de lui rédiger une lettre, dans la-
quelle elle abreuverait l'infidèle de reproches
plus sanglantes que la bataille de Cannes.

Je m'exécutai, puis je m'aperçus que ma
charbonnière, débarbouillée par ses larmes,
était loin d'être l'affreuse négresse que j'avais
toujours cru. C'était au contrairs, une assez
jolie femme, aux cheveux châtain clair. Elle
avait à peine vingt-cinq ans. Je m'empressai
donc de lui démontrer qu'elle devait se venger
de son gredin de mari. Elle y consentit sans
peine. Depuis, elle revint me voir, mais en
costume et en couleur de charbonnière. Cela
suffit, plus que toutes les vertus de saint
Antoine, à me cuirassar contre la tentation.

X

Marie W ■>. — L'affreuse créature 1 Je la con-
nus un soir à Bu] lier. Je venais d'emprunter
cinq louis à mon oncle indulgent et généreux,
— mort, hélas ! depuis, — et enterre ainsi que
son héritage. Je l'invitai à souper. Elle voulut
que cela se passât dans son hôtel. On mangea
mal, on but de l'eau de seltz décorée du nom
de Champagne, à quinze francs la bouteille,
et on tapota sur un affreux piano, plus faux
qu'un air chanté par M"0 Ilix. Le lendemain,
la note payée, je n'avais plus le sou. Naturelle-
ment, mon agréable maîtresse m'expulsa sans
prendre pour cela la peine de remettre ses
gants.

X

Marie n° 6. — Un ange.... au physique du
moins. Seize ans, un teint d'albâtre, des che
veux blonds et des yeux bleus.

Je la remarquai à l'église de Saint-Leu, au
mois de Marie. Il me fallut trois jours pleins
pour achever sa séduction.

Puis nous nous aimâmes avec passion, avec
ivresse, avec délire, avec folie. Je formais déjà
des rêves de bonheur éternel, et je commençais
à croire au paradis....

Cela dura neuf jours. Au bout de ce temps,
le 31 mai, mon ange s'enfuit, emportant la
moitié de mes illusions, les trois quarts de
nu s mouchoirs et toutes mes serviettes,

X

Marie n° 7. — Cette Marie-là en avait un,
de mari. Aussi, les bons moments que nous
passâmes avec cette charmante créature, qui
n'avait point besoin de murmurer la tradi-
tionnelle prière :

— O Marie qui avez conçu sans pécher,
faites-moi la grâce de pécher sans concevoir.

Si vous voulez me permettre d'être bien
discrets, je vous dirai même que cela dure
encore. Une seule chose rompra cette liaison :
son veuvage. Car, alors, il me faudrait, sinon
l'épouser, du moins lui porter au moins une
fois l'an un bouquet...

Henry Vaudémont.

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