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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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https://doi.org/10.11588/diglit.6801#0190
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LE GRELOT

— Dame, « parce qu'il a plu » pendant qua-
rante jours.

—0—

Une femme avait volé des betteraves.

— Votre état, votre qualité, demande le pré-
sident.

— Veuve.

— Mais, ce n'est pas un état. Voyons briga-
dier, quelle qualité cette femme prenait-elle
quand vous l'avez arrêtée.

— Oh ! mon président, la meilleure, tout ce
qu'il y avait de mieux en betteraves.

—o—

— Entendu par le « Masque de Fer :

Dans un café, deux habitués se sont pris de
bec.

— Vous êtes un imbécile et une canaille 1
Taupin, iaterveDanl;

— Voyons, voyons ; il me semble qu'il suf-
fisait d'appeler monsieur t un imbécile »,
sans lui dire ensuite des choses dont il aurait
le droit de se blesser !

—o—

— Ce garçon-là a dans la physionomie
quelque chose qui ne nie convient pas.

— Pas sa faute ; sa mère, quand elle était
enceinte, a eu peur d'une ruche pleine d'a-
beilles.

— Et alors?

— Et "alors, son fils a sur la figure ce qui
vous déplaît : un sourire « mielleux ».

—o—

Au foyer d'un théâtre :

— Est-il vrai, comme on le prétend, qu'une
gr.yide joie puisse vous faire mourir subite-
ment ?

Pirouette sans sourciller :

— Evidemment... puisqu'il y a des feux de
oie 1

Tout le Monde.

GAZETTE DE MONTRETOUT

Le pouvoir aux cultes

Ce ne sera pas encore cette année que l'on
supprimera le budget des cultes 1

En réponse à M. Fallières qui réclamait la
discussion à fond des rapports de l'Eglise et
de l'Etat, le ministre a déclaré que le gouver-
nement était « décidé à se maintenir sur le
terrain du concordat. »

Oufl Faites-donc des révolutions ; prêchez
donc l'émancipation religieuse du peuple
français; faites vous donc traiter de « croche-
teurs de serrures » par les gueulards de M. de
Charrette — qui, par antithèse, sans doute,
s'appellent aujourd'hui les Compagnons du
Silence. — Décarcassez-vous donc pour laïciser
la jeune France, pour en arriver ensuite à
maintenir au budget les 53 millions affectés
aux cultes !

Comme l'a fort bien fait observer l'intrépide
M. Jules Roche, c'est la République qui sub-
ventionne ses ennemis les plus acharnés.

Laissez, dit-il, les boadieusards employer
leurs économies à payer les fraisde leurs cultes
et non à engraisser la cagnotte de ces œuvres de
combat qui sont un des obstacles les plus
considérables que la République rencontre sur
sa route.

Par 351 voix contre 131, la Chambre, qui aie
culte du budget, a voté le maintien du budget
des cultes.

C n'était pas la peine assurément
De changer de gouvernement 1

Monseigneur Andrieux:

Ça, c'est un comble !

Tu quoque A ndrieux, tu t'encléricanailles !
Jules Simon doit être bien content.

L'ex-proconsul de Lyon, Tex -Préfét de police
du ligottage, l'ex-crocheteur des sacrées ser-
rures pendant l'exécution des décrets, nous
revient de son ambassade d'Espagne confit eu
dévotion, plus catholique que Freppel, plus
bondieusard que Veuillot.

Hein quel miracle! Parole d'honneur, je com-
mence à croire au surnaturel.

Se peut-il que quelques mois passés à la
cour d'AlphonseXII aient ainsi métamorphosé
le sceptique de 18701

A moins que ce ne soit pour poser sa candi-
dature occulte au ministère des cultes, on se
demande quel mobile a pu pousser M. Andrieux
à adorer ce qu'il a brûlé et à brûler ce qu'il a
adore.

L'épatement des républicains n'a plus connu
de bornes quand le nouvel ami de l'évèque
d'Angers a déclaré qu'il parlait au nom des
femmes de France.

Bravos ironiques, trépignements, bruits des
couteaux à papier, imitations des cris d'ani-
maux, rien n'a manqué au triomphe de mon-
seigneur Andrieux.

— Je parle dans l'intérêt de mon parti, s'é -
crie l'orateur.

— Quel parti? interrompt la gauche.

— Ça ne vous regarde pas.

Le parti-Andrieux, le groupe-Andrieux est
créé.

Bescherelle, le chef des huissiers, a déjà
donné des ordres pour que le traditionnel
verre d'eau sucrée fût remplacé par un verre
d'eau bénite, les jours où l'ex-ambassadeur
d'Espagne remontera à la tribune.

Ce que c'est pourtant que de se frotter à une
cour étrangère 1

« Changer de climat, c'est naître à une nou-
velle vie », a dit le Dr M. Lévy.

Et ce n'est point impunément que l'on sé-
journe au pays des Loyala.

Il en reste toujours quelque chose l

Un juge impartial

Dumas père se targuait volontiers de fré-
quenter les grands seigneurs.

Un jour qu'il avait diné au Café Anglais avec
le duc de Trois-Eioiles, le comte de Jenesais-
quoi et le baron de Rothschild, la discussion
vint à tomber, au dessert, sur le grand art du
style, et chacun des trois amphitryons de
l'auteur de Monte-Christo prétendait avoir reçu
du Ciel le don d'écrire le plus pur français. "

On prend Dumas pour juge.

L'épreuve consistait à écrire quelques lignes
séance tenante et à placer les compositions
sous le chandelier.

Le duc et le comte font des efforts de génie.

Le baron trace négligemment quelques li-
gnes, qu'il ne prend même pas la peine dj re-
lire.

Dumas procède à l'examen.

— Messieurs, dit-il, le style du duc et celui
du comte m'ont plu, celui du baron m'a ravi.
C'est vous, à présent, que je prends pour ju-
ges. Ecoutez, voici sa composition :

« Au premier juillet prochain (on était au
30 juin) je paierai à l'ordre de M. Alexandre
Dumas la somme do. dix mille francs.

Signé : De Rothschild. »

Et voilà comment le baron gagna le prix de
style 1

* *

Dialogue de famille

— M'man, Ernesse m'a donné une gifle.

— Le petit drôle! il fallait la lui rendre.

— J'iui avais rendue avant !

montretout.

BALIVERNES

La municipalité do Dublin a rejeté la propo-
sition de conférer le droit de cité au général
Wolseley.

Et comme je comprends ces braves Irlandais 1
On dit d'abord, que ce Malborough dechri-
socale aurait offert autrefois ses services, afin
de rétablir militairementl'ordreen Irlande, son
pays natal.

Mouraviewa rétabli l'ordre en Pologne, mais
vous savez comment: Vous connaisse? le ta-
bleau de Tony Robert-Fleury : l'ordre règne à
Varsovie.

C'est de cette aimable façon, que le Moura-
view Anglais demandait probablement à ré-
tablir l'ordre dans sa patrie.

Gracieux jeune homme I galant homme de

guerre 1

Les amis du général disent que c'est une
invention. Parbleu! je comprends ces amis-là,
mais je comprends encore bien mieux les
Irlandais.

Mettons cependantque c'est|une calomnie, je
ne suis pas comme Georges Duval, qui se dit
toujours l'ami des gens dès qu'ils sont| quelque
chose, et surtout quand ils sont morts, parce
qu'ils ne peuvent plus protester, je ne connais
pas monsieur Wolseley, je veux bien croire
qu'il n'a rien dit.

Mais fût-ll blanc comme neige en tant que
réprimeur de désordre, à propos de quoi lui
donner un droit de cité à Dublin.

Pour ses victoires en Egypte I mais des vic-
toires parbleu... il y en à chez le marchand. A
beaux écus comptants, on a de la trahison
bonne mesure, et les journaux amis des An-
glais ne se sont vraiment pas assez gênés pour
faire soupçonner la chose, pour que ceux qui
en sont sinon les ennemis au moins les indif-
férents, ne la tiennent pour certaine.

La maison Rothschild pourrait se payer à
ce compte-là de fort belles collections de vic-
toires.

Qu'on se tourne à dextre ou à senestre, les
Irlandais ont tout bonnement fait sagement.

Que la reine d'Angleterre lui fasse des petits
cadeaux, ça c'est son affaire, mais que les
Irlandais ne lui donnent rien du tout, je le
comprends encore bien mieux.

—o—

Un petit monsieur qui a du sang de Polignac
dans les veines, a mis dernièrement le feu
chez papa.

On a mis le petit jeune homme au clou et
chacun y va de son avis.

Les uns lui tombent dessus, les autres l'ex-
cusent.

Le père ne lui donnait rien, c'était un cras-
seux, le petit jeune homme n'était pas veinard,
donc.....

Pour un peu on demanderait la tète du père.

Le père a pu être un avare, un sans cœur
soit, mais si le petit jeune homme avait eu un
père homme de peine, il aurait bien trouvé à
vivre, et s'il avait mis le feu chez son père, on
l'aurait bel et bien traité de canaille et de
scélérat bon à pendre.

Le père a donc pu avoir tort, mais pour moi
le pelit monsieur n'en vaut pas mieux. L'un
n'excuse pas l'autre, seulement il y a des gens
qui aiment tant les vieilles couches 1.

Bref j'attends la fin de l'affaire, mais je sais
bien que le fils d'un maçon irait au bagne en
pareil cas, et je vous parie bien que le petit
Polignac n'ira pas.

Rêne Lebrun.

©ointe %" JîBpnsongFS

Parmi tous leshydrocéphalesqui collaborent
au National, le nommé Hippolyte Gauthier
mérite une place à part, ne serait-ce que pour
la mirifique phrase qu'il a pondue l'autre jour,

et que je me sens une envie démesurée de
faire monter en épingle :

« M. Duclerc est le premier ministre qui ait
eu le courage, ainsi que son collègue M. Devès,
de prendre nettement parti entre les modérés
et les extrêmes. »

N'est-ce pas, que c'est délicieux, ce Monsieur
qui, seul en compagnie d'un autre, tient le
juste milieu entre les gens du milieu et ceux
des extrêmes.

U en résulte que, sur la rose des vents poli-
tique le ministère Duclerc ne correspond à
aucun point cardinal ni collatéral.

Il équivaut à quelque chose comme au vent
Est 1/4 Nord-Est ou Sud 1/4 Sud-Ouest. C'est
bien maigre et bien pâle, et le galion qui porte
un équipage aussi insignifiant risque fort de
ne pas laisser derrière lui grand sillage 1

X

Nous nous sommes déjà efforcés à maintes
reprises de donner à nos lecteurs une idée
approximative de ce qu'est la liberté en Prusse.

Continuons à poursuivre cette tâche intéres-
sante.

Et, pour ce faire, coupons d'abord ce qui
suit dans le Temps :

Trois propriétaires de cabinets de lecture à
Di'esde ont été condamnés, le 4 novembre, à
des amendes pour avoir prête à des abonnés le
roman Nana, de Zola. A Grossenhain, l'éditeur
et l'imprimeur d'une traduction de Nana ont
été condamnésen vertude l'article 184 du Code
pénal, qui punit d'une amende jusqu'à 300
marcs et d'un emprisonnementjusqu'à 6 mois
quiconque aura distribué ou répandu des écrits,
images ou reproductions obscènes.

N'épilognons pas. Ceci, somme toute, n'est
point sensiblement plus bête que la saisie ré-
cente de la Vie Parisienne exécutée chez nous.
Cueillons plutôt l'écho ci-dessous dans le Nou-
vellite de Paris :

Un journal clérical allemand présente, au
sujet de la réforme des impôts, un programme
qui contient ceci :

Faire dans l'armée des économies qui ne
nuiront point à sa valeur réelle. Il s'agit de
boutons, caparaçons, shakos, salves de salut
et autres bibelo'ts qui nous échappent en ce
moment. L'officier qui a découvert la possibi-
lité de ces économies a été envoyé pour trois
mois dans une forteresse.

Nous pouvons, n'est-il pas vrai, nous abste-
nir de commentaires.

Ce seul fait suffirait à dégoûter les gens de
devenir Allemands, si tant était toute fois qu'il
se trouvât des bipèdesdésireux|d'imiter le.bel
exemple que leur donna le jeune et beau Tal-
leyrand-Périgord, mari de l'ex-Mademoiselle
de Gontaut-Biron, fille de l'ancien ambassa-
deur de France à Berlin !

Henry Vaudémont.

moins 50.000 francs. S'adresser à M. Raymond,
824, boulevard de Courcelles.

Raymond sans méfiancè lisait tranquille-
ment les journaux du matin, quand, deux
jours après, il entend sonner chez lui. On
ouvre, et le domestique introduit un gros"
monsieur, à moitiéchauve,bien couvert, rouge
et embarrassé.

— C'est à M. Raymond que j'ai l'honneur de
parler ?

— C'est moi-même, monsieur ; asseyez-vous
donc, je vous prie.

— Bien aimable, monsieur, je...

— Puis-je savoir, monsieur, le motif qui me
procure l'honneur de votre visite ?

— Voici, monsieur, je viens pour la.....

pour la chose du journal que... où vous avez
mis...

— Pardon, monsieur, pardon, je vois ce que
c'est ; il y a erreur évidemment. Vous venez
pour une réparation, sans doute. Or, je dois
vous prévenir que je ne suis pas journaliste.

— Non, monsieur, non, ce n'est pas cela,
c'est pour la... chose de... du mariage.

— Du mariage ?

— Oui, là, tenez.

Et le vieux monsieur chauve montre à Ray-
mond l'article des Petites-Affiches.

Raymond s'excuse, affirme qu'il y a erreur,'
rien n'y fait ; il faut qu'il voie la photographie
de la personne, enfin il ne se débarrasse du
papa qu'avec les plus grandes difficultés.

H se croyait sauvé, quand son domestique
lui annonce qu'il y a au moins quinze mes-
sieurs et trois dames en noir dans l'anti-
chambre qui demandent à lui parler. Soit en-
viron dix-huit cérémonies à peu près sem-
blables dans lesquelles Sauraient tous les
coq-à-l'âne possible. Raymond était furiieux,
se demandant qui avait pu lui jouer cette
farce épouvantable, suffisante pour faire perdre
la tête du bonhomme le mieux trempé quand
le papa numéro onze ou douze, se recommanda
de l'ami Edouard Rubert, qui, dit-il, lui avait
communiqué l'article.

Raymond était désormais fixé : c'était
Edouard qui venait de lui jouer ce mauvais
tour, il n'y avait plus à en douter.

Peut-être lui aurait-il pardonné cette lugu-
bre plaisanterie, quand une dernière visite
changea le cours de ses pensées.

Un dernier papa sollicitait un entretien
qu'Edouard refusait, et qu'il finit par accor-
der pourtant sur la vue d'une carte portant :

Arsène Lahoùpette.

M. et Mme Lahoùpette n'avaient accueilli'
Edouard, on se le rappelle, que faute d'autre
gendre à choisir.

L'annonce des Petites Affiches leur ouvrit
tout un horizon, et sans en rien dire à Edouard,
bien entendu, on résolut de voir ailleurs.

Les avantages physiques de Raymond,
autant que sa position, séduisirenti mmédiate-
ment le pè'-e Lahoùpette; et de son côté, Ray-
mond, charmé de rendre pièce pour pièce à
Edouard, ne fit ni une ni deux, accueillant la
proposition qui lui était faite de la main
d'Emilie.

Le soir même Edouard recevait un petit
congé propret des Lahoùpette, et quand il con-
nut le motif de son renvoi, il devint sombre,
et les personnes bien informées affirment qu'on
lui entendait répéter fréquemmeut:

— Vlà c' que c'est qu' d'embêter l'monde

Frédéric Didier.

FARCEUR DE CONVERTI

Raymond Brunei avait horreur du mariage,
Edouard Rubert penchait; pour le conjungo il

penchait tellement qu'il finit par tomber.....

dans une famille ornée d'une jeune Emilie
qu'on désirait caser.

Ce qu'il y avait de bizarre, c'est que Ray-
mond était charmant, beau cavalier, beau dan-
seur et beau diseur, qu'il n'aurait eu qu'à se
baisser pour en prendre, comme on dit vulgai-
rement, tandis qu'Edouard, grand commeùne
perche, gros comme un clou et les jambes en
dedans, n'avait, pour sauver tant d'avantages,
qu'une véritable tète de singe.

Les parents d'Emilie, M. et Mme Lahoùpette,
avaient cependant accueilli favorablement la
demande d'Edouard, car leur fille regardait
avec tant d'acharnement les petits oiseaux au
printemps, qu'ils croyaient nécessaire de don-
ner un serin à... cette jeune serine.

Les serins étaient rares — il y a des années
comme ça — ils avaient sauté sur le premier
qui s'était présenté. On assurait que les gen-
dres avaient attrappé la maladie des pommes
de terre, disait Mme Lahoùpette ; ils sont très
rares sur la place, prenez celui-ci ; il est laid,
c'est vrai, mais Emilie s'y habituera : je me
suis bien habituée a M. Lahoùpette, et pourtant
il était si bête I...

Dans les vieux ménages, vous le savez, les
femmes trouvent toujours que les maris sont
stupides.

Edouard, ravi, et il y avait de quoi, car Emi-
lie était, ma foi, gentille, s'en fut sur le champ
trouver Raymond :

— Mon cher, ça y est.

— Ça y est, quoi?

— J'épouse Emilie Lahoùpette.

— Quoi, cette petite fille si charmante 1

— Comme tu le dis. Mais toi, voyons, quand
te maries-tu ?

— Probablement jamais, tu connais mes
idées, et si tu m'en croyais...

— Men cher, c'est une affaire réglée ; seule-
ment tu as beau dire, tu feras comme les au-
tres.

Bref, après une assez longue discussion,
Edouard se mit en tète de faire une farce indi-
gne à Raymond, pour se venger des taquine-
ries qu'il venait d'avoir à endurer.

Le lendemain, on lisait dans les Petites Affi-
ches :

Beau garçon, 27 ans, rentier, désire se marier
a.vecj. personne en rapport d'âge, jolie, dot, au

Nous ne saunons trop appeler 1 attention de
nos lecteurs sur le système de crédit offert par la
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