Histoire de l'esprit humain ou mémoires secrets et universels de la république des lettres (3.1765)

Η I S Τ Ο I R E

qui s’etoit inttoduit, pendant l’absence du,
mari dans la maison d’une jeune & rres-jo’ie
femme. Un Moine Franciscain, dans un
töte ä töte , ne s’amuse pas ä conter des sseu-
rettes: il etoit occupe a quelque cbose de
beaucoup plus eibentiel, lorsqu’il entendit
venir le Maure de Ja Vigne ä laquelle il tra-
vailloit: ä peine eut-il le tems de se jener
sous le 11 c; mais en montant dessus il avoit
laisse par terre deux san dales qui frapperent
la vue du mari. Qu’est-ce que ceci, die il
ä sa femme? la chaulTure d’un Corde!icr!
voyons un peu d’ou viennent ces landalts.
Le Moine fut bien-töt decouvert. Combien
n’yä-t-il pas de Galants ä qui une Epee,
une Canne, un Chapeau, &c. ont presqtie
dte aussi funeiies qu’une pantousse ä Em-
X.


34 Ipsa illa esTentia quam interrogationum responsto
numque vi defininius, quod revera existat utrum aqua-
liter semper eodem modo habet an alias aliter: ipsum
nimirum sequale, ipsum pulchrum, ipsum singultum
(id eil· id quod revera exillit) numquamne ullam mu-
tationem iuseipit? aut certe ipsorum unum quodque,
quod nimirum eil· uniforme, illud quod revera exiliit,
ipsum per se ipsum similiter eodem modo habet, &nun-
quam usquam ullo modo ullam alterationem suscipit?
eodem inquit Cebes, modo & similiter habere neceiie