LES OISEAUX
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couleurs et permet de reconnaître à première vue l'Oie d'Egypte. Ici la tète est recourbée sur
la poitrine ; les tarses sont étendus à droite et à gauche delà queue (figure 105).
A la surface du corps on aperçoit plusieurs lambeaux de toile montrant que l'oie a été.
comme la précédente, enveloppée de linges trempés dans un liquide antiseptique : mais on ne
remarque aucune bandelette autour du cou, pas plus que vers les pattes.
Fig. 105. — Momie de Chenalopex xgyptiaca (1/2 gr. nat.). Temple de Thotmes III a Gouuxah.
Les oies du temple de Thotmès III ont probablement été vidées avant la momification,
car, dans la cavité abdominale, on ne voit aucune trace des viscères.
Plus loin, nous indiquons la morphologie générale et les caractères ostéologiques de
Chenalopex œgyptiaca.
G v. x r i : Cil E N A L 0 P E X S T eph e n s
CHENALOPEX ^EGYPTIACA Linné
Anser mgyptiacus, Brisson, OrnilhoL, VI, p. 284, pi. 27, 1760.
Ana* œgyptiaca, L'nné, Syst. nat., p. 197, 1766.
Anser africanus, Bonn, Enc. mèth., I, p. 119, 1790.
Chenalopex segyptiaca, Gould, Birds of Europe, pi. 353, 1837. — ShelJey, Birds of Egypt, p. 279, 1872. —
Salvador), Cat. of. thi Birds in 1hi Brit. Mus., p. 107, vol. XXVII, 1895. — HeicLenow, Die Vôgel
afrikas, I, p. 131, 1901.
L'Oie d'Egypte se reconnaît facilement à son plumage : La partie antérieure du cou et les
côtés de la tète sont blanc-jaunàtre, la partie postérieure est d'un roux plus ou moins foncé.
Dos gris-roussâtre ; poitrine, ventre et sous-caudales jaune fauve rayé transversalement d'on-
dulations blanches et noires. Sur le milieu de la poitrine, à la base du cou, une tache brun-
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couleurs et permet de reconnaître à première vue l'Oie d'Egypte. Ici la tète est recourbée sur
la poitrine ; les tarses sont étendus à droite et à gauche delà queue (figure 105).
A la surface du corps on aperçoit plusieurs lambeaux de toile montrant que l'oie a été.
comme la précédente, enveloppée de linges trempés dans un liquide antiseptique : mais on ne
remarque aucune bandelette autour du cou, pas plus que vers les pattes.
Fig. 105. — Momie de Chenalopex xgyptiaca (1/2 gr. nat.). Temple de Thotmes III a Gouuxah.
Les oies du temple de Thotmès III ont probablement été vidées avant la momification,
car, dans la cavité abdominale, on ne voit aucune trace des viscères.
Plus loin, nous indiquons la morphologie générale et les caractères ostéologiques de
Chenalopex œgyptiaca.
G v. x r i : Cil E N A L 0 P E X S T eph e n s
CHENALOPEX ^EGYPTIACA Linné
Anser mgyptiacus, Brisson, OrnilhoL, VI, p. 284, pi. 27, 1760.
Ana* œgyptiaca, L'nné, Syst. nat., p. 197, 1766.
Anser africanus, Bonn, Enc. mèth., I, p. 119, 1790.
Chenalopex segyptiaca, Gould, Birds of Europe, pi. 353, 1837. — ShelJey, Birds of Egypt, p. 279, 1872. —
Salvador), Cat. of. thi Birds in 1hi Brit. Mus., p. 107, vol. XXVII, 1895. — HeicLenow, Die Vôgel
afrikas, I, p. 131, 1901.
L'Oie d'Egypte se reconnaît facilement à son plumage : La partie antérieure du cou et les
côtés de la tète sont blanc-jaunàtre, la partie postérieure est d'un roux plus ou moins foncé.
Dos gris-roussâtre ; poitrine, ventre et sous-caudales jaune fauve rayé transversalement d'on-
dulations blanches et noires. Sur le milieu de la poitrine, à la base du cou, une tache brun-