tireront le plaisir de voir Loing de Rome, le par[-]
fait de Rome en cest echantillon. lequel invitera
paravanture quelques uns de s’aller la contenter
L’oeil & lesprit sur le patron mesme: En la trouppe
desquels ie desirerois en cores une fois me retrouve
pour me rendre plus capable de recevoir vos Commande-
mens, & faire chose en mon art digne de l’eternite de
v[ost]re grandeur; comme ie le desire. Jeusse desiä approche
de plus pres le but de ceste affection, mais le desastre es
come toutes mes intentions & desseins. Or Mon-seigneu[r]
tout ce que ie pourray iamais ne sera que pour servir tres
humblemfent] & tresfidelem[ent] äv[ost]reserenissime maison de
teile affection que ie vous supplie prendre en gre & recognoistre
ces petittes pieces en arres de quelque plus grant ouvrage
qu[e] ie vou appareille. Et ie prieray Dieu vous donner en sanfte]
de bonne & longue vie Continuation & multiplication de
ses saintes gres & ä moj les vfostjre Du Champjanon.4
v[ost]re treshumble et tresobeissant. serviteur P[ierre] Wfoeiriot]
D[e] BOVZEY.
1 Vgl. für diese Überlegung und die Verweise auf Hesiod und
Cato bereits das Vorwort in Woeiriots Livre d’Aneaux d’orfevrerie,
1561 (Anhang II.). Die Äußerung Hesiods wohl nicht direkt nach
Werke und Tage, 349-351, sondern möglicherweise nach Cicero: De
officüs, 1, 48; vgl. etwa die französische Übersetzung in Les oeuvres,
Paris: lanot 1539, fol. 22r—v in «Cap. XX. Comment on doibt
considerer les benefices ä nous donnez»: «Et n’est aulcune chose
plus necessaire, que rendre graces ä celluy qui a faict aulcu[n]
bien, car s’il est ainsi comme le commande HESIODVS, que
de ce que l’on a preste, & baille seulement l’usaige, on le doibt
rendre se l’on peult ä plus grand mesure.»
2 Die hier angedeutete Idee scheint mit dem Denken zumin-
dest von Cato Maior kaum vereinbar; möglicherweise liegt eine
Verwechslung mit Seneca: Ep. 64,7 vor, wo am Ende die beiden
Cato erwähnt werden. In der etwas späteren Übersetzung von
Mathieu de Chalvet, publiziert unter dem Titel Les oeuvres de L.
A. Seneque, Rouen: Robert Valentin 1618, fol. 131t—v lautet die
Passage: «Mais faisons comme un sage pere de famille, augmen-
tons le bien qu’on nous a laisse: [...]. Et iaqoit que toutes choses
soient inventees par les anciens, toutefois l’usage, la Science, &
la disposition de ce qui a este invente, sera tousiours chose nou-
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fait de Rome en cest echantillon. lequel invitera
paravanture quelques uns de s’aller la contenter
L’oeil & lesprit sur le patron mesme: En la trouppe
desquels ie desirerois en cores une fois me retrouve
pour me rendre plus capable de recevoir vos Commande-
mens, & faire chose en mon art digne de l’eternite de
v[ost]re grandeur; comme ie le desire. Jeusse desiä approche
de plus pres le but de ceste affection, mais le desastre es
come toutes mes intentions & desseins. Or Mon-seigneu[r]
tout ce que ie pourray iamais ne sera que pour servir tres
humblemfent] & tresfidelem[ent] äv[ost]reserenissime maison de
teile affection que ie vous supplie prendre en gre & recognoistre
ces petittes pieces en arres de quelque plus grant ouvrage
qu[e] ie vou appareille. Et ie prieray Dieu vous donner en sanfte]
de bonne & longue vie Continuation & multiplication de
ses saintes gres & ä moj les vfostjre Du Champjanon.4
v[ost]re treshumble et tresobeissant. serviteur P[ierre] Wfoeiriot]
D[e] BOVZEY.
1 Vgl. für diese Überlegung und die Verweise auf Hesiod und
Cato bereits das Vorwort in Woeiriots Livre d’Aneaux d’orfevrerie,
1561 (Anhang II.). Die Äußerung Hesiods wohl nicht direkt nach
Werke und Tage, 349-351, sondern möglicherweise nach Cicero: De
officüs, 1, 48; vgl. etwa die französische Übersetzung in Les oeuvres,
Paris: lanot 1539, fol. 22r—v in «Cap. XX. Comment on doibt
considerer les benefices ä nous donnez»: «Et n’est aulcune chose
plus necessaire, que rendre graces ä celluy qui a faict aulcu[n]
bien, car s’il est ainsi comme le commande HESIODVS, que
de ce que l’on a preste, & baille seulement l’usaige, on le doibt
rendre se l’on peult ä plus grand mesure.»
2 Die hier angedeutete Idee scheint mit dem Denken zumin-
dest von Cato Maior kaum vereinbar; möglicherweise liegt eine
Verwechslung mit Seneca: Ep. 64,7 vor, wo am Ende die beiden
Cato erwähnt werden. In der etwas späteren Übersetzung von
Mathieu de Chalvet, publiziert unter dem Titel Les oeuvres de L.
A. Seneque, Rouen: Robert Valentin 1618, fol. 131t—v lautet die
Passage: «Mais faisons comme un sage pere de famille, augmen-
tons le bien qu’on nous a laisse: [...]. Et iaqoit que toutes choses
soient inventees par les anciens, toutefois l’usage, la Science, &
la disposition de ce qui a este invente, sera tousiours chose nou-
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