IE ne me ÿrefente pa$ deuant V• M.pour
faire fon Eloge. Cela n’ejlpas de ma Profejsion,
& il esî encore moins de mes forces. Mondejfein
eîl Jeulement de luy rendre comvte dvn trauail
qui pourra la diuertir en linliruifant, & queïay
entrepris oar le commandementde la Reyne Re-
gente Vojtre Mere. Voüre Majeîtéà qui Dieu
a donné vne enfance ferieufe, & vne maturite
auantî àge,a toufours tejmoigné <vne particu-
liere inclination à toutes les chofes dont elle pou-
uoit tirer de linliruëiion ; Et taduis de voîlre
a l;
i
faire fon Eloge. Cela n’ejlpas de ma Profejsion,
& il esî encore moins de mes forces. Mondejfein
eîl Jeulement de luy rendre comvte dvn trauail
qui pourra la diuertir en linliruifant, & queïay
entrepris oar le commandementde la Reyne Re-
gente Vojtre Mere. Voüre Majeîtéà qui Dieu
a donné vne enfance ferieufe, & vne maturite
auantî àge,a toufours tejmoigné <vne particu-
liere inclination à toutes les chofes dont elle pou-
uoit tirer de linliruëiion ; Et taduis de voîlre
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