CHAPITRE IV
COMMENT PETIT JEAN RECONNUT QUE LA GÉOMÉTRIE
S’APPLIQUE A PLUSIEURS CHOSES.
Le lendemain, M. Majorin, se promenant après dîner
dans le jardin avec petit Jean, dit à celui-ci :
« Cueille cette feuille de lierre. Qu’y vois-tu? «
Petit Jean hésitait à répondre.
« N’observes-tu pas que cette feuille se compose d’un
support qu’on appelle pétiole, lequel s’attache à la tige, et
d’autres choses encore.... d’une membrane qui est comme
le squelette de cet appendice végétal et d’un tissu vert qu’on
appelle limbe?
— Oui, bon ami.
— Et ces côtes de la feuille ne te disent-elles rien ?
— Si. il y eh a cinq.... celle du milieu est plus longue.
— Et les autres?
— Les autres sont plus petites —
— Parbleu ! Eh bien, garde cette feuille sans la gâter, et
nous verrons tout à l’heure ce qu’elle nous dira. »
COMMENT PETIT JEAN RECONNUT QUE LA GÉOMÉTRIE
S’APPLIQUE A PLUSIEURS CHOSES.
Le lendemain, M. Majorin, se promenant après dîner
dans le jardin avec petit Jean, dit à celui-ci :
« Cueille cette feuille de lierre. Qu’y vois-tu? «
Petit Jean hésitait à répondre.
« N’observes-tu pas que cette feuille se compose d’un
support qu’on appelle pétiole, lequel s’attache à la tige, et
d’autres choses encore.... d’une membrane qui est comme
le squelette de cet appendice végétal et d’un tissu vert qu’on
appelle limbe?
— Oui, bon ami.
— Et ces côtes de la feuille ne te disent-elles rien ?
— Si. il y eh a cinq.... celle du milieu est plus longue.
— Et les autres?
— Les autres sont plus petites —
— Parbleu ! Eh bien, garde cette feuille sans la gâter, et
nous verrons tout à l’heure ce qu’elle nous dira. »