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L' art: revue hebdomadaire illustrée — 1.1875 (Teil 1)

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et il l'eau-forte par la marquise de Pompadour, 3. — Faveur
donc il jouit à la cour, 3 et 4. — Il prodigue les Amours
dans ses tableaux, 6.

Boudwy.vs (Adrien-François). — Quelques détails biogra-
phiques donnés par le dictionnaire de Jal, 136, 137

Boulanger (Louis). — Représentant du romantisme, 224. —
Ecrivain et peintre. — Ses rapports avec les littérateurs con-
temporains, 225, 226, 227.— La Ronde du Sabbat; caractère
de sa peinture; ses eaux-fortes, ses lithographies, ses dessins,
ses aquarelles, ses gouaches. — Ma\eppa} les Massacres de
la Saint-Barthélémy. la Mort de Bailly. le Roi Lear. Saint-
Marc ; le Triomphe de Pétrarque. 228. — UAssassinat du duc
d'Orléans} les Noces de Gamache, les Trois amours poétiques.

— Plafond du salon de lecture du Luxembourg, la Mort de
Messaline; succès de ce tableau refusé par le jury de l'Expo-
sition. — Talent de Boulanger pour le portrait, 229. — Il
est nommé directeur du musée et de l'académie de peinture
de Dijon, 230.

Caricature contemporaine en Angleterre. — D'abord
violente et personnelle, elle devient peu à peu philoso-
phique et sociale avec Bunbury, Sayer, Gillray, Seymour.

— Elle tombe presque toujours dans le grotesque, 294. —
Elle se perd dans la multiplicité des détails. ->- Le Punch. —
Ses principaux rédacteurs : George Cruickshank, 295, 296.

— Leech, Richard, Doyle, 296, 297.

Charlet (Nicolas-Toussaint). — Né à Paris en 1792. — Son
enfance. — 11 est commis dans une mairie de Paris et prend
part au combat de la barrière de Clichy contre les alliés,
en 1814. — Il perd sa place et devient élève de Gros. —
Malgré les éloges de son maître, il a d'abord peu de succès. —
Caractère des premières lithographies de Charlet, 193. —
Description de son logement. — Les Costumes militaires
français et de la Garde impériale. 194. — La Vieille Armée
française. — Son peu de confiance en lui-même. — Le Siège
de Saint-Jean d'Acre. — Liaison de Charlet avec Géricault.

— Charlet accompagne son ami en Angleterre. — Il le sauve
du suicide. — Caractère de Charlet, 195, 223. — Son genre
d'esprit, 196, 197. — Il aimait mieux recommencer ses dessins
que les corriger. — Son désintéressement. — Sa facilité mer-
veilleuse. — Son esprit d'observation. — Son impuissance

' pour les œuvres de longue haleine, 199. — L'Episode de la
campagne de Russie. — Ses angoisses en attendant le juge-
ment du public. — Ses autres tableaux. — Il aspire à l'Insti-
tut, 200. — Il est nommé professeur de dessin à l'Ecole
polytechnique, 217. — Raison de cette nomination, 218, 219.

— Il expose les principes de son enseignement par la publi-
cation d'un recueil de dessins, précédés d'une préface inti-
tulée la Plume. 219, 220, 221, 222. — Sa mort, 224.

Chatelet. — Représentation d'une audience au Châtelet de
Paris, 400.

Centaures. — Première forme des Centaures. — Forme défini-
tive, 252. — Marbres, bronzes et peintures antiques repré-
sentant des Centaures et Centauresses ; les Ichthyocentaures,
253,254.

Cochin. — Il est choisi par M"" de Pompadour pour accompa-
gner son frère en Italie, 36. — Ses premières œuvres et leur
caraccére, 36. — Ses prétentions au « grand goût », 36, 37.

— Il fait l'éloge des débuts de L. David, 37.

Corot. — Alliance de la poésie et de la réalité. — Aveugle-
ment de l'Institut, 242. — Premières années de Corot ; il
débute à l'atelier de Michallon et passe à celui de Bertin. —
Influence de l'enseignement classique sur Corot. — Comment
il a compris la mythologie. — Il apprend à dessiner à Rome,
par hasard, 243. — Caractère du genre de Corot. — Corot
n'a manqué aucune des expositions de Paris, 244. —
Obscurité de ses débuts. — Opinion des critiques sur ses
premières œuvres. — Ses préoccupations classiques, 245. —
Citation d'un certain nombre de ses œuvres. — Différence du

paysage de Corot et du paysage historique. — Les figures
de Corot sont vivantes, 246, 247. — Charme et mérites des
esquisses de Corot, 269. — Préoccupation du style chez
Corot. — Accent tragique de quelques-unes de ses toiles : Le
Dante, Macbeth. 270, 271. — Perfection des figures de
Corot. — La figure en plein air, 272. — Constante justesse
de son dessin. —Son coloris, 273. — Réponse aux objections
adressées à Corot, 274, 275.
Curiosité (la).— Les principaux collectionneurs, 316, 317,318.

— Antiquité de la Curiosité. 319. — Utilité des collection-
neurs, 320, 321, 322, 323, 324.

divinites champêtres chez les anciens, 93.

Duvaux (Lazare) , marchand bijoutier ordinaire du roi
Louis XV. — Son livre journal, de 1748 à 1758,
publié par M. Louis Courajod, 4. — Importance des
documents qu'il contient pour l'histoire de l'art à cette
époque, 4, 6.

Ecoles de peinture. — Insuffisance des dénominations accep-
tées. — L'heptarchie des peintres. — Analogies et diffé-
rences des principaux chefs d'écoles, 103.

Expositions des beaux-arts. — Avant 1789, 342, 343. —
Quatremère de Quincy demande des expositions annuelles
et ouvertes à tous. — L'Assemblée nationale, en 1789,
accomplit cette réforme, 344. — Principales œuvres qui ont
figuré aux expositions de 1791 à 1798! —- Expositions par-
ticulières de Louis David, 345.

Eych (Jan Van). — Tableau attribué à Jan Van Eyck, au Palais
de justice de Paris, 399.

Fête sous Louis XV (une). — En 1739. — Description de cette
fête en treize planches, 326, 327.

Fortuny. — Sa naissance, ses premières années. — Il est envoyé
à Rome par la ville de Barcelone, 361. — Il prend part à
l'expédition du Maroc. — Influence de ce fait sur son talent,
362. — Caractère de Fortuny, 363. — Il est surtout frappé
du côté visible des choses, 364. — Il prépare pour Barcelone
une grande toile rappelant un épisode de la guerre et ne la
termine pas, 365. — Appréciation des premières œuvres de
Fortuny. — Son contrat avec M. Goupil, 366. — Son voyage
à Paris et son retour à Madrid, 367. —Le Cénacle à Rome. —
Vogue de Fortuny. — Son admiration pour tout ce qui brille.

— Lettre de Regnault sur Fortuny, 368. — La Vicaria. —
Réception d'un modèle à VAcadémie. 369, 370, 371. —
Fortuny habite Grenade. — La Répétition d'une tragédie
dans un jardin. — Importance prépondérante des fonds dans
les œuvres de Fortuny, 385, 386, 387. — Son goût pour
les travaux manuels. — Son caractère. — La Mascarade. 388.

— Audaces croissantes de Fortuny. — Rapidité de son exé-
cution. -— Sa facture, 389, 390. — Son séjour à Naples. —■
Il revient à Rome. — Sa mort, 390. — Avenir destiné à
Fortuny, 390, 392. — L'école de la main, 393. — Oppo-
sition entre Millet-et Fortuny, 394.

Galitzin (hôtel du prince Paul), 203. — Objets d'art qui y
sont réunis, 104 à 108.

Gavarni. Catalogue raisonné de ses œuvres, 53. — Popularité
de Gavarni, 53. — Il personnifie son époque, 54,55.—Ana-
logies et différences de Gavarni et de Balzac, 56, 58, 59. —
Analogies de Gavarni avec Alfred de Musset, 86. — Gavarni
poëte, 86,87. — Gavarni à Londres se transforme, 87,88.—
Gavarni socialiste, 87.—Son indifférence pour la politique,
90,91.—Gavarni mathématicien, 91.

Gavarni (Pierre). —Ses aquarelles au Salon de 1874. — Ca-
ractère de ses œuvres, 16.

Galichon (Kmile). — Collaborateur à la Galette des Beaux-Arts
en 1859, il en devient bientôt propriétaire. —Caractère de la
direction qu'il donne à la Ga\ette. 210. — La maladie le
force d'abord à se faire suppléer par M. Louvricr de Lajolais,
puisa abandonner la propriété de la Ga-[ette, 211. — Elle
demeure sa principale préoccupation. —Fac-similé d'une lettre
 
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