Je suis un lecteur assidu des Chroniques théâtrales que publie chaque semaine,
dans le Temps, notre éminent collaborateur, M. Francisque Sarcey. J'ai détaché avec
un plaisir infini, de son feuilleton du 26 décembre dernier, ce passage qui dit en
termes excellents ce que tout critique m’a toujours paru devoir s’efforcer de faire,
s’il est animé de la sincère passion de l’art et du vrai respect de sa plume : « La
justice que nous distribuons dans nos articles, nous autres critiques, écrit M. Sarcey,
Encadrement composé et dessiné pour « l’Art » par Habert-Dys.
Tome XXVIII.
dans le Temps, notre éminent collaborateur, M. Francisque Sarcey. J'ai détaché avec
un plaisir infini, de son feuilleton du 26 décembre dernier, ce passage qui dit en
termes excellents ce que tout critique m’a toujours paru devoir s’efforcer de faire,
s’il est animé de la sincère passion de l’art et du vrai respect de sa plume : « La
justice que nous distribuons dans nos articles, nous autres critiques, écrit M. Sarcey,
Encadrement composé et dessiné pour « l’Art » par Habert-Dys.
Tome XXVIII.