L' art décoratif: revue de lárt ancien et de la vie artistique moderne (7,1.1905)

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L’ART DÉCORATIF

l’ingénieuse façon dont l’architecte en descen-
dant en contre-bas une partie de la cour a
su aérer et éclairer le sous-sol. Il a placé
là aussi la descente de charbon pour le ca-

sommes charmés par le joli départ de l’esca-
lier avec sa tenture agrémentée à la partie
supérieure d’une Lise adhérente de fleurs
en feutre, très libre de composition, aux


GEORGES PKABELLE

Vestibule, rue d’Orléans, à dseuillj' (Sculptures de Seguin)

lorifère, ce qui évite de salir la façade sur
rue. Enfin cette cour peut servir aussi au
lavage des bouteilles et au battage des tapis.
La façade sur cour est traitée en briques
blanches, ce qui évite l’entretien continuel
de la façade ravalée au plâtre.
Si nous retournons à l’intérieur nous

tons dégradés, doux et harmonieux. C’est,
parait-il, une invention toute récente et qui
donne d’intéressants résultats.
Ce grand escalier, quoiqu’éclairé en
second jour par l’escalier de service, est
parfaitement lumineux grâce à la grande
verrière qui se trouve sur la cour de ser-

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