L’ART DÉCORATIF
&
saint, Jouve et M'nes
rie des envois qu’il
de passer sous silence.
PIERRE ROCHE
(Photographie Louis Lemery)
les Jardiniers de M. Cavaillon vaillent
mention spéciale. La juste compréhen-
des plans distribue sur ce bas-relief
coloration fluide et généreuse.
Donner en sculpture la sensation de
l’atmosphère est une chose assez rare pour
que
une
sion
une
de Trou-
Nocquet
tourmen-
vivantes ;
une ma-
sarcophage
Parmi les bustes, celui que M. Camille
Lefèvre a fait de Mme Jacques-Marie est
d’une exécution où rien n’est abandonné au
hasard. D’autres portraits sont à citer, si-
gnés par MM. Lucien Schnegg, Aronson,
René Carrière, Devillez, Gras, Max Lange,
Oppler, Paul Paulin, Spicer-Simson, Marcel-
Jacques, Michel-Cazin dont l’art est grave
et profond, et Roques qui expose aussi des
Stèle funéraire «.J Henri Fouquier «
(Société Nationale)
médailles et une Femme qui bâille d’une
observation amusée.
Les statuettes sont ici plus nombreuses
que les monuments. Celles de Mm® Ruth
Millès ne manquent jamais de caractère.
Sa Femme de pêcheur se dresse avec une
certaine grandeur dans
la solitude et le fa-
talisme des éléments.
M. Félix Voulot mo-
dèle des Tanagras mo-
dernes dans un art
maniéré et gracieux ;
M. Jean Baffierflanque
sa soupière monumen-
tale de figures musclées
d’une inspiration saine
et proche de la terre ;
d’autres statuettes de
M. Dejean, toujours
épris de vie mouve-
mentée, de MM. Al-
bert Mulot, Frick, Vall-
gren, Clostre, Vernhes
et de Mmes Yvonne Ser-
ruys et de Frumerie
attirent et retiennent,
ainsi queles silhouettes
équestres ou chevalines
de MM. Froment-
Meurice, Émile Pin-
chon et J. L. Brown.
M. Perelmagne
nous montre une Con-
solation qui le prouve
admirateur
betzkoï ; M.
des figures
tées, mais
M. Carabin
quette de ;
évoquant le tombeau
de Philippe Pot au
Louvre; enfin, MM.
Escoula, Gaston Tous-
Marie Cazin et Lafau-
ne serait pas équitable
270
&
saint, Jouve et M'nes
rie des envois qu’il
de passer sous silence.
PIERRE ROCHE
(Photographie Louis Lemery)
les Jardiniers de M. Cavaillon vaillent
mention spéciale. La juste compréhen-
des plans distribue sur ce bas-relief
coloration fluide et généreuse.
Donner en sculpture la sensation de
l’atmosphère est une chose assez rare pour
que
une
sion
une
de Trou-
Nocquet
tourmen-
vivantes ;
une ma-
sarcophage
Parmi les bustes, celui que M. Camille
Lefèvre a fait de Mme Jacques-Marie est
d’une exécution où rien n’est abandonné au
hasard. D’autres portraits sont à citer, si-
gnés par MM. Lucien Schnegg, Aronson,
René Carrière, Devillez, Gras, Max Lange,
Oppler, Paul Paulin, Spicer-Simson, Marcel-
Jacques, Michel-Cazin dont l’art est grave
et profond, et Roques qui expose aussi des
Stèle funéraire «.J Henri Fouquier «
(Société Nationale)
médailles et une Femme qui bâille d’une
observation amusée.
Les statuettes sont ici plus nombreuses
que les monuments. Celles de Mm® Ruth
Millès ne manquent jamais de caractère.
Sa Femme de pêcheur se dresse avec une
certaine grandeur dans
la solitude et le fa-
talisme des éléments.
M. Félix Voulot mo-
dèle des Tanagras mo-
dernes dans un art
maniéré et gracieux ;
M. Jean Baffierflanque
sa soupière monumen-
tale de figures musclées
d’une inspiration saine
et proche de la terre ;
d’autres statuettes de
M. Dejean, toujours
épris de vie mouve-
mentée, de MM. Al-
bert Mulot, Frick, Vall-
gren, Clostre, Vernhes
et de Mmes Yvonne Ser-
ruys et de Frumerie
attirent et retiennent,
ainsi queles silhouettes
équestres ou chevalines
de MM. Froment-
Meurice, Émile Pin-
chon et J. L. Brown.
M. Perelmagne
nous montre une Con-
solation qui le prouve
admirateur
betzkoï ; M.
des figures
tées, mais
M. Carabin
quette de ;
évoquant le tombeau
de Philippe Pot au
Louvre; enfin, MM.
Escoula, Gaston Tous-
Marie Cazin et Lafau-
ne serait pas équitable
270