LK CHAHIVaRI.
moi en parlant d'un journaliste qui aurait autrefois
écrit à M. Guizot. S'il en est ainsi, j'ai à faire une
courte réponse, elle sera franche et péremptoire.
Oui, j'ai eu des relations personnelles avec M.
Guizot. Je l'ai connu pendant la coalition, dont il
était un des chefs avec MM. Odilon Barrot et Thiers.
J'avais une grande admiration pour son talent et je
croyais à sa parole quand il affirmait qu'il voulait en
finir avec la politique de résistance. J'avais alors un
peu plus de 21 ans, et vous concevrez sans peine
que j'aie pu avoir des illusions. Ces illusions sont
tout à fait tombées, dès les premiers temps du 29
octobre, quand M. Guizot fit rentrer la France dans
le concert européen. A cette époque, je me séparai
nettement de M. Guizot, et, depuis lors, je n'ai plus
eu avec lui aucune espèce de relations. Il y a huit
ans de cela, et, pendant ces huit ans, j'ai toujours
combattu,—souvent au détriment dema carrière,—
la politique de M. Guizot. Si quelqu'un s'imagine
3u'à un seul instant de ma vie, j'aie pu me laisser
éterminer par une ambition personnelle, quelle
qu'elle soit, il se trompe, et j'offre de lui démontrer
son erreur de façon a ce qu'il n'insiste pas.
Je ne désavoue aucune de mes lettres, aucun de
mes actes, aucun de mes écrits, aucune de mes pa-
roles. Je n'ai pas la prétention d'avoir été à 21 ou 22
ans ce que je suis à 30. Je crois avoir fait quelque
chose pour les principes de liberté qui aujourd'hui
gouvernent la France ; mais c'est précisément l'ex-
périence des hommes qui m'a décidé, il y a longtemps
déjà, à rompre toute relation politique avec les
chefs de l'ancien régime pour me consacrer exclusi-
vement à la défense de ces principes. Si je me suis
trompé quelquefois, c'a été la faute de mon esprit,
jamais celle de ma conscience. Il n'est au pouvoir de
personne de révoquer en doute la sincérité de mes
opinions et la loyauté de mes sentimens.
Agréez, etc. Xavier Durrieu,
Rédacteur en chef du Courrier
français.
*. La Porte-Saint-Martin reprendra ce soir Y Auberge des
Adrets et demain Robert Macaire. Frederick jouera dan9
les deux pièces le rôle de Robert Macaire.
TONIQUES ET TRAITEMENT RAYMONTw
contre la calvitie.
Rue de la Ghaussée-d'Antin, 24, de H h
M. Raymond Griffoul, le seul qui ait „!?^
uhquement ses préparations et obtenu 37épt
chauves depuis longues années des résulta. *
peuvent plus être mis en doute, prope
sonne, désireuse de se convaincre de
peuvent plus être mis en doute, propose ài quiti
sonne, désireuse de se convaincre, de h\ T'
justification par l'examen de ces mêmes Wi«
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
L'homme studieux cherche les lieux champêtres et la vie
solitaire.
(L'homme se tue, dieu cherche laie, lieux champêtres, ZÉ
la visse au lit terre.)
Le tirage au sort est interrompu et remis au 25
courant ; jusqu'à cette époque, MM. Xavier de Las-
salle et C" assureront contre le recrutement les jeu-
nes gens de la classe 1847. Les bureaux sont toujours
place des Petits-Pères, n. 9, maison du notaire.
\,f, Gérant. r,KOPOi.i> pawvier
Imprimerie Lange Levy et c, rue du Croissant, je.
IftËBUS.
.,/,..,'.. fabricant de fLA.siRS
... — —-«m ieies, uq.;
de certificats de médecins attestant leur calvitie it,
le traitement.
Plus de doute donc sur l'efficacité de seslonk
pour arrêter la chute des cheveux et guérir la cah*
Le flacon et la boîte, 10 fr. chaque.
Expédition en France et à l'étranger.
Seul dépôt chez M. Raymond Griftoul, ruedeL
Chaussée-d'Antin, 24, à Paris.
MANUEL ... L'ELECTEUR COQ
m|T 1 fQip par M. L.-G. de Marsay , avocai, bruC
1 UJLÏt X , de C4 pages in-8° compacte, indiquant !„
droits et les devoirs detousles citoyens qui sont appelés à *
le 9 avril, les députés qui doivent fixer les bases deulfe
blibue. Prix 25 c. ; franc de port ; par la poste 40 cent, on w
demander 6 exemp.sans affranchir. ( Grands avantages ami,
braires des dép. ) — Au bureau de notre uiSToiim (joutu1
hebdomadaire, 10 fr. par au), rue des Petites-Écuries,j-;,
Tt î nmnrP Traitement par le carbonate de 11»
DÂAlALiV rue Hauteville, 57.
SALON j? PICARDE &3£?ïfcr
lundis et jeudis, soirées dansantes.
2f< MAT.ll^IP^?,ECR?Twsmieux8ueries(iu,*'i
XUiiAlAAilJuO Rur. du Major, rue Montmartre «
VETEMENS IMPERMEABLES;::
préservant du troid et de l'humidité. — bas de wamt
jambières pour la cha«se. — Semelles pour chaussure.-,
Feuilles de gomme, d'un très bon emploi dans les doiiM
rhumatismales, etc. — Clysoirs. — Unix aux portatifs h:
nouveau modèle, extrêmement simples et commodes, -h
bliers de nourrices, etc. — Coussins a air pourto
teuils, voitures, etc. —Bretelles, jarretières, chv
tures, lacets, et toutes sortes de tissus élastiques, -
Maison RATTIER et GUIBAL, 4, rue des l'i-ssés-Montmamt
— Tous les produits portent l'estampille de la fabrique et»
vendent à garantie.__; exceptionnel de de
clnmKo'u.^rsPoisiEPEBiiiiiïi ^sdn*mnie c
adoucissans à la guimauve, suppuratifs au garou.TAFRI!;
raffraichissant, serre bras, compresses, etc. Faub. Montm-
tre, et dans les pharmacies.
VENDREDI
2
u de la rédaction et
I0Ï PU CROISSANT
mois.
■froi* i
Ki^cns datent
0„Abonne.- a Lyon ,
eSl-Dominique;i
!'r.à Marseille, chÉZ
;camoin,libr-;i«o
Lieuv-Pal^s^ond.
^perolUce^ans tous
foyales et générales, et
AVIS
Ceux de nos sous
pire au 31 mars, so
lin du mois, s'ils n<
lion dans l'envoi d
est impossible plus
En joignant deu
prix de l'abonneme
le grand album c
niant 114 dessins
plairesde l'Album
nos abonnés peuve
prenez
Tartempion est i
EPUBLIQUE
Annonces et insertions dans tous les Journaux.
De Paris, des Départemens et de l'Etranger.
S'adresser à Ma NORBERT ESTIBAL, fermier d'Annonces, rue Vivienne , 53, à Paris. dunœrret qui
• révolutions. Je l'ai
ministère des affai
— Lamartine vi
^pressé de me di
Nantes à me cou
- Quoi ! vous
lignez les ambf
-J'aime mieu
tonile;rien de pl
derePos,rnonche
;*s- la politique
laut!(> soleil de l'I
^mens pour
>r»ge sur le scept
^iadmirabk
rales(fo moment,
"- Bravo !
Un '^tant aprèi
" D'°ù sortez-
"~ De chez Lan
JOURNAL QUOTIDIEN, POLITIQUE ET LITTÉRAIRE,
FONDÉ LE JOUR DE LA PROCLAMATION DE LA RÉPUBLIQUE A L'HOTEL-DE-VILLE,
Donnant les Nouvelles ovvicieli.es et toutes les autres nouvelles douze heure» avant tous les journaux de i'flr"
PRIX DE LABONNEMENT
28 francs par an. — 8 francs pour trois mois.
Bureaux à Paris, 3, rue Coq-Héron.
GRANDE BAISSE ME PRIX.
COMPAGNIE G" DES VIGNOBLES.
RUE MONTMARTRE, 453, S
Vins de Bordeaux. Bourgogne. Maçon.
De i.a bouteille. I.e litre. La feuillette. La pièce.
4847, » 39 C. » 50 C. 68 fr. 105 fr.
4846, » 45 à 50 » 60 à 65 80 à 90 125 à 435
4844, » 55 >. 75 400 150
1842, » 75 1 f. » 140 200
"Vins fins,de 1 fr. à 6 fr. la bouteille; en pièce, de 250 a 1,200 fr.
Vins de Champagne, des premières marques, de 2 fr. 50 à 5 fr.
la bouteille.
Eaux-de-vie, de 1 fr. 20 à 5 fr. la bouteille ; Liqueurs françaises
et étrangères, à des prix modérés.
Un service spécial est organisé pour les expéditions dans la
banlieue de Paris; une réduction «le 10 c. par bouteille, 28 fr.
par feuillette, et 45 fr. par pièce, est opérée sur les prix ci-dessus.
— Les commandes données seront expédiées le lendemain et ren-
dues franco à domicile.
^PIPES \ RÉSERVOIRS I WliMlliaM^.^.^*
.✓N. PAR BREVET D'INVENTION /N.
sans gar. du gouv. /
Ces nouvelles pipes en terre se recommandent aux fumeurs
par la facilité i.'vee laquelle elles se culottent, par l'économie de
tabac qu'elles procurent, et parce que, contrairement aux au-
tres pipes, elles ne jutent pas en vieillissant On les trouve à la
fabrique, chez M. L. PIOLET, à Saint-Omer ; au DEPOT CENTRAL,
rue de l'Arbre-Sec, n» 20, et chez tous les marchands de tabac.
A HJ/llIilITUTTil MAISON LEBLANC spéciale pour les prêts et
fl NI il hiri 1 fii le»emprunts hypothécaires, lesplacemens de
illiUlUllUU fonds dans l'industrie, le j associations, les
commandites etles négociations de valeurs commerciales.
Cité Bergers, 2, de deux à six heures.
MME Tiff AD T?T :lIllit' intime et élève de Mlle Lenor-
JfiUlIJull m a.m», prévient sa nombreuse clien-
tèle qu'elle continue de donner ses consultations de midi à
4 heures, rire des Vicux-Augustins, 24.
Les seules qui renferment le jiarme de àft.K
c-cs, \ Al„„ „. .„! „„„ lo nmilllil la IlUtll™.
-à-dire liquident ici que le produit la nature, i
Kue Saint-Anne, 20, au 1", et dans toutes les pharma»"
roue. (Approbation de l'Académie de Méderine-J
MJÏ. les Actionnaires de l'UNITÉ-MÛNÇAiSE f*^,
vile d'assurances mutuelles contre l'incendie) sMHv J
reunir, le 8 avril prochain, à dix heures du ,nal ,L.|i
delà Société, rue de Provence, n» 7, pour «,l"N,2jd
port du Directeur-gérant sur la situation de la iut
cevoir sa démission.
PASSEMENTERIE
214, rue Saint-Denis, en face de 1 hôtel oe i . tur0m
et magasin d'épaulettes pour tous S™?M}JZen[Ae|,('
ciers, et en général tout article pour équipu»
nationale. Bertheley, rue Saint-Denis, 2H.
wtShBarbanc]
w! cnse? j
^derne,
sec,
H* 1,0,18 d
-Rien. '
moi en parlant d'un journaliste qui aurait autrefois
écrit à M. Guizot. S'il en est ainsi, j'ai à faire une
courte réponse, elle sera franche et péremptoire.
Oui, j'ai eu des relations personnelles avec M.
Guizot. Je l'ai connu pendant la coalition, dont il
était un des chefs avec MM. Odilon Barrot et Thiers.
J'avais une grande admiration pour son talent et je
croyais à sa parole quand il affirmait qu'il voulait en
finir avec la politique de résistance. J'avais alors un
peu plus de 21 ans, et vous concevrez sans peine
que j'aie pu avoir des illusions. Ces illusions sont
tout à fait tombées, dès les premiers temps du 29
octobre, quand M. Guizot fit rentrer la France dans
le concert européen. A cette époque, je me séparai
nettement de M. Guizot, et, depuis lors, je n'ai plus
eu avec lui aucune espèce de relations. Il y a huit
ans de cela, et, pendant ces huit ans, j'ai toujours
combattu,—souvent au détriment dema carrière,—
la politique de M. Guizot. Si quelqu'un s'imagine
3u'à un seul instant de ma vie, j'aie pu me laisser
éterminer par une ambition personnelle, quelle
qu'elle soit, il se trompe, et j'offre de lui démontrer
son erreur de façon a ce qu'il n'insiste pas.
Je ne désavoue aucune de mes lettres, aucun de
mes actes, aucun de mes écrits, aucune de mes pa-
roles. Je n'ai pas la prétention d'avoir été à 21 ou 22
ans ce que je suis à 30. Je crois avoir fait quelque
chose pour les principes de liberté qui aujourd'hui
gouvernent la France ; mais c'est précisément l'ex-
périence des hommes qui m'a décidé, il y a longtemps
déjà, à rompre toute relation politique avec les
chefs de l'ancien régime pour me consacrer exclusi-
vement à la défense de ces principes. Si je me suis
trompé quelquefois, c'a été la faute de mon esprit,
jamais celle de ma conscience. Il n'est au pouvoir de
personne de révoquer en doute la sincérité de mes
opinions et la loyauté de mes sentimens.
Agréez, etc. Xavier Durrieu,
Rédacteur en chef du Courrier
français.
*. La Porte-Saint-Martin reprendra ce soir Y Auberge des
Adrets et demain Robert Macaire. Frederick jouera dan9
les deux pièces le rôle de Robert Macaire.
TONIQUES ET TRAITEMENT RAYMONTw
contre la calvitie.
Rue de la Ghaussée-d'Antin, 24, de H h
M. Raymond Griffoul, le seul qui ait „!?^
uhquement ses préparations et obtenu 37épt
chauves depuis longues années des résulta. *
peuvent plus être mis en doute, prope
sonne, désireuse de se convaincre de
peuvent plus être mis en doute, propose ài quiti
sonne, désireuse de se convaincre, de h\ T'
justification par l'examen de ces mêmes Wi«
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
L'homme studieux cherche les lieux champêtres et la vie
solitaire.
(L'homme se tue, dieu cherche laie, lieux champêtres, ZÉ
la visse au lit terre.)
Le tirage au sort est interrompu et remis au 25
courant ; jusqu'à cette époque, MM. Xavier de Las-
salle et C" assureront contre le recrutement les jeu-
nes gens de la classe 1847. Les bureaux sont toujours
place des Petits-Pères, n. 9, maison du notaire.
\,f, Gérant. r,KOPOi.i> pawvier
Imprimerie Lange Levy et c, rue du Croissant, je.
IftËBUS.
.,/,..,'.. fabricant de fLA.siRS
... — —-«m ieies, uq.;
de certificats de médecins attestant leur calvitie it,
le traitement.
Plus de doute donc sur l'efficacité de seslonk
pour arrêter la chute des cheveux et guérir la cah*
Le flacon et la boîte, 10 fr. chaque.
Expédition en France et à l'étranger.
Seul dépôt chez M. Raymond Griftoul, ruedeL
Chaussée-d'Antin, 24, à Paris.
MANUEL ... L'ELECTEUR COQ
m|T 1 fQip par M. L.-G. de Marsay , avocai, bruC
1 UJLÏt X , de C4 pages in-8° compacte, indiquant !„
droits et les devoirs detousles citoyens qui sont appelés à *
le 9 avril, les députés qui doivent fixer les bases deulfe
blibue. Prix 25 c. ; franc de port ; par la poste 40 cent, on w
demander 6 exemp.sans affranchir. ( Grands avantages ami,
braires des dép. ) — Au bureau de notre uiSToiim (joutu1
hebdomadaire, 10 fr. par au), rue des Petites-Écuries,j-;,
Tt î nmnrP Traitement par le carbonate de 11»
DÂAlALiV rue Hauteville, 57.
SALON j? PICARDE &3£?ïfcr
lundis et jeudis, soirées dansantes.
2f< MAT.ll^IP^?,ECR?Twsmieux8ueries(iu,*'i
XUiiAlAAilJuO Rur. du Major, rue Montmartre «
VETEMENS IMPERMEABLES;::
préservant du troid et de l'humidité. — bas de wamt
jambières pour la cha«se. — Semelles pour chaussure.-,
Feuilles de gomme, d'un très bon emploi dans les doiiM
rhumatismales, etc. — Clysoirs. — Unix aux portatifs h:
nouveau modèle, extrêmement simples et commodes, -h
bliers de nourrices, etc. — Coussins a air pourto
teuils, voitures, etc. —Bretelles, jarretières, chv
tures, lacets, et toutes sortes de tissus élastiques, -
Maison RATTIER et GUIBAL, 4, rue des l'i-ssés-Montmamt
— Tous les produits portent l'estampille de la fabrique et»
vendent à garantie.__; exceptionnel de de
clnmKo'u.^rsPoisiEPEBiiiiiïi ^sdn*mnie c
adoucissans à la guimauve, suppuratifs au garou.TAFRI!;
raffraichissant, serre bras, compresses, etc. Faub. Montm-
tre, et dans les pharmacies.
VENDREDI
2
u de la rédaction et
I0Ï PU CROISSANT
mois.
■froi* i
Ki^cns datent
0„Abonne.- a Lyon ,
eSl-Dominique;i
!'r.à Marseille, chÉZ
;camoin,libr-;i«o
Lieuv-Pal^s^ond.
^perolUce^ans tous
foyales et générales, et
AVIS
Ceux de nos sous
pire au 31 mars, so
lin du mois, s'ils n<
lion dans l'envoi d
est impossible plus
En joignant deu
prix de l'abonneme
le grand album c
niant 114 dessins
plairesde l'Album
nos abonnés peuve
prenez
Tartempion est i
EPUBLIQUE
Annonces et insertions dans tous les Journaux.
De Paris, des Départemens et de l'Etranger.
S'adresser à Ma NORBERT ESTIBAL, fermier d'Annonces, rue Vivienne , 53, à Paris. dunœrret qui
• révolutions. Je l'ai
ministère des affai
— Lamartine vi
^pressé de me di
Nantes à me cou
- Quoi ! vous
lignez les ambf
-J'aime mieu
tonile;rien de pl
derePos,rnonche
;*s- la politique
laut!(> soleil de l'I
^mens pour
>r»ge sur le scept
^iadmirabk
rales(fo moment,
"- Bravo !
Un '^tant aprèi
" D'°ù sortez-
"~ De chez Lan
JOURNAL QUOTIDIEN, POLITIQUE ET LITTÉRAIRE,
FONDÉ LE JOUR DE LA PROCLAMATION DE LA RÉPUBLIQUE A L'HOTEL-DE-VILLE,
Donnant les Nouvelles ovvicieli.es et toutes les autres nouvelles douze heure» avant tous les journaux de i'flr"
PRIX DE LABONNEMENT
28 francs par an. — 8 francs pour trois mois.
Bureaux à Paris, 3, rue Coq-Héron.
GRANDE BAISSE ME PRIX.
COMPAGNIE G" DES VIGNOBLES.
RUE MONTMARTRE, 453, S
Vins de Bordeaux. Bourgogne. Maçon.
De i.a bouteille. I.e litre. La feuillette. La pièce.
4847, » 39 C. » 50 C. 68 fr. 105 fr.
4846, » 45 à 50 » 60 à 65 80 à 90 125 à 435
4844, » 55 >. 75 400 150
1842, » 75 1 f. » 140 200
"Vins fins,de 1 fr. à 6 fr. la bouteille; en pièce, de 250 a 1,200 fr.
Vins de Champagne, des premières marques, de 2 fr. 50 à 5 fr.
la bouteille.
Eaux-de-vie, de 1 fr. 20 à 5 fr. la bouteille ; Liqueurs françaises
et étrangères, à des prix modérés.
Un service spécial est organisé pour les expéditions dans la
banlieue de Paris; une réduction «le 10 c. par bouteille, 28 fr.
par feuillette, et 45 fr. par pièce, est opérée sur les prix ci-dessus.
— Les commandes données seront expédiées le lendemain et ren-
dues franco à domicile.
^PIPES \ RÉSERVOIRS I WliMlliaM^.^.^*
.✓N. PAR BREVET D'INVENTION /N.
sans gar. du gouv. /
Ces nouvelles pipes en terre se recommandent aux fumeurs
par la facilité i.'vee laquelle elles se culottent, par l'économie de
tabac qu'elles procurent, et parce que, contrairement aux au-
tres pipes, elles ne jutent pas en vieillissant On les trouve à la
fabrique, chez M. L. PIOLET, à Saint-Omer ; au DEPOT CENTRAL,
rue de l'Arbre-Sec, n» 20, et chez tous les marchands de tabac.
A HJ/llIilITUTTil MAISON LEBLANC spéciale pour les prêts et
fl NI il hiri 1 fii le»emprunts hypothécaires, lesplacemens de
illiUlUllUU fonds dans l'industrie, le j associations, les
commandites etles négociations de valeurs commerciales.
Cité Bergers, 2, de deux à six heures.
MME Tiff AD T?T :lIllit' intime et élève de Mlle Lenor-
JfiUlIJull m a.m», prévient sa nombreuse clien-
tèle qu'elle continue de donner ses consultations de midi à
4 heures, rire des Vicux-Augustins, 24.
Les seules qui renferment le jiarme de àft.K
c-cs, \ Al„„ „. .„! „„„ lo nmilllil la IlUtll™.
-à-dire liquident ici que le produit la nature, i
Kue Saint-Anne, 20, au 1", et dans toutes les pharma»"
roue. (Approbation de l'Académie de Méderine-J
MJÏ. les Actionnaires de l'UNITÉ-MÛNÇAiSE f*^,
vile d'assurances mutuelles contre l'incendie) sMHv J
reunir, le 8 avril prochain, à dix heures du ,nal ,L.|i
delà Société, rue de Provence, n» 7, pour «,l"N,2jd
port du Directeur-gérant sur la situation de la iut
cevoir sa démission.
PASSEMENTERIE
214, rue Saint-Denis, en face de 1 hôtel oe i . tur0m
et magasin d'épaulettes pour tous S™?M}JZen[Ae|,('
ciers, et en général tout article pour équipu»
nationale. Bertheley, rue Saint-Denis, 2H.
wtShBarbanc]
w! cnse? j
^derne,
sec,
H* 1,0,18 d
-Rien. '
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Rébus
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1848
Entstehungsdatum (normiert)
1843 - 1853
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 17.1848, Mars (No. 61-91), S. 332
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg