LB CHARIVARI. ^001 * SEpTE
plaisance de mon estomac, quand une missive mi-
nistérielle vint m'affliger d'un nouvel avancement.
J'étais nommé secrétaire rédacteur aux appointe-
rons de deux mille quatre cents francs.
Pour le coup, c'était trop fort ! Le mérite est vrai-
ment trop récompensé. C'est ruineux...pour les gens
de mérite.
Inutile de vous dire que la feuille d'émargement
me passa encore une fois devant le nez.
Je vis maintenant, dans la crainte d'être nommé,
un jour ou l'autre, sous-chef de bureau. Cette faveur
équivaudrait encore à la perte d'un mois d'appointe-
raens.
Je n'ai vraiment pas le moyen de subir un avan-
cement aussi rapide.
Qu'on nous ramène au régime de la faveur ; les
gens de mérite, puisqu'on m'a joué le mauvais tour
de me ranger dans cette catégorie, n'auront plus à
craindre un pareil désagrément.
Agréez, etc.
Un employé arriéré à force d'avancement.
M PLAN DIFFICILE A FAIRE,
Il est question, dit un journal, d'achever le palais
du Louvre.
Cet il est question, me ravit ; mais, ô naïf journal
que tu es ! voilà cent cinquante ans qu'il est question
de cela.
L'achèvement du Louvre est comme qui dirait la
pierre philosophale de l'architecture.
Il n'est pas plus difficile de trouver le moyen de
changer tous les métaux en or, que de changer le pa-
lais du Louvre en une construction régulière.
Il est bien entendu [que, dans le Louvre, je com-
prends les Tuileries.
Depuis Louis XIV, les architectes se creusent la
tête pour parer au défaut déplorable de parallélisme
entre les deux palais. Jusqu'à présent ils n'ont en-
core creusé que cela.
Il n'est pas un élève de l'école des Beaux-Arts qui
n'ait rêvé au moyen de réunir les deux palais d'une
manière agréable.
Quarante-neuf architectes , chiffre officiel, ont
fait des plans qui ont été soumis aux différens gou-
vernemens qui se sont succédés depuis Louis XIV,
et chacun de ces quarante-neuf architectes a proposé
au moins dix plans différens. Total : quatre cent qua-
tre-vingt-dix plans.
Sauf erreur dans l'addition.
Le seul projet qui ait jamais reçu un commence-
ment d'exécution est celui qui avait été imaginé par
Louis-Philippe dans ces derniers temps. Il consistait
à réunir le Louvre aux Tuileries par une série de
petites baraques en bois louées trois cents francs piè-
ce à des libraires étalagistes et à des marchands d'oi-
seaux.
Aujourd'hui un quatre cent quatre-vingt-onzième
pian vient, d'être déposé au ministère des travaux
publics, bureau du prolongement de l'aile du Lou-
vre.
Ce plan consiste à construire une rue qui irait du
pont du Carrousel à la rue de Richelieu.
C'est-à-dire que ce plan de réunion consiste à sé-
parer à tout jamais le Louvre des Tuileries.
Séparation cruelle, mais nécessaire !
Tant qu'on ne prendra pas cette mesure énergi-
que on aura, chaque année, le désespoir de faire en-
fermer à Charenton une douzaine d'architectes qui
seront devenus fous en cherchant la pierre philoso-
phale en question.
Quant à moi, j'approuve complètement la création
de cette rue que rien n'empêcherait de nommer rue
du Carrousel, en commémoration de M. Fontaine,
l'inamovible architecte du palais.
Je serai d'autant plus enchanté de voir construire
une rue dite du Carrousel, que ce mot de rue me fait
espérer des trottoirs; — et je pourrais enfin me pro-
curer la satisfaction d'aller de la rue Richelieu au
pont du Carrousel, sans risquer d'être écrasé par des
voitures ou de me noyer dans des flaques d'eau.
J'ai été sauvé, il y a trois ans, au mois de décem-
bre, d'une mort certaine par un citoyen qui m'a re-
tiré du marais du Carrousel au moment où je com-
mençais à peidre pied et espérance.
Ce citoyen était venu là heureusement pour chas-
ser aux canards. Heureuse idée !
Jamais je n'ai plus béni les canards.
Aujourd'hui le danger des marais a disparu, mais
il reste encore, place du Carrousel, l'éclairage éclec-
tique dont il faut se méfier.
28
Trois mois-
Sis mois---
malgré les chaleurs, et grâce à la conscience des ac- h 1
teurs le beau drame du Morne au Diable de M. Eu- y$ de \& Kd^CtlOîl et û<
gène Sue a conservé, comme aux premières repré- BE Bo cboiss*nt' ,6
sentations, sa puissance et son attrait. Tout Paris
le verra. Cependant l'administration ne s'endort pas
sur ses lauriers, au premier jour Napoléon et José-
phine ou le Divorce, drame en 5 actes et en vers
fera son apparition sur l'affiche.
„*; C'est demain samedi qu'aura lieu au Ranelagh ^onnemensdatent de»
le grand bal annuel au bénéfice des pauvres de —<388&
Passy. Un très beau concert précède le bal, et cette ^onne- à Lyon, cht
fois nos plus grands artistes ont bien voulu coopérer |)r°eSi-nomini(!ue;ù ^r>
à ce'te bonne œuvre. On cite Ponchard et Géraldy, i^ ^'irié^r'. I Rouen,
M. et Mme Lefébure-Wély, etc. Prix du billet réduit Jj!J^alai8;Ùondre8,c
pour cette année seulement à 3 fr. S'adresser au Mé- MeroUice; âMi lou(5
, i « u- v • t. , , générales, et chez
nestrel, 2 bis, rue Vivienne ou au Ranelagh, à
Passy.
chateau-des-flecrs.—Aujourd'hui vendredi
grande fête extraordinaire. Concert vocal et instru-
mental.
—- ......— ■-........— —
Le Gérant : léopold pawvier.
Imprimerie Lange Lévy et C», rue du Croissant, 16
TWTTl VT?TT T T 'a PIus-imP°rtante du monde, qui h ,
HlLAl JullluL donne un jugement suprême, indique ASSEMBLE
l'erreur, est la boussole des actions, le miroir de la vérité;
assure un bonheur général et perpétuel ; centuple une somme i
en '5 à 24 heures, dévoile et perfectionne tous les avantages. Séance du
Preuves, moyens, pointions de ce que l'on peut désirer!
Ecrire franco à M. Rex, rue Git-le-Cœur, 3. .
______Ce serait avec un grai
Tflf*ïATTP lUnUPro Guénsondes hemi-s, des- ancompte fort exact de
J.U lyUIÏ llllilijll. centes, sans bandage m pes-
saire. et par le thé de bananiers, des Sueurs blanches, j uni aujourd nui a las
flTTAT Tin 1 préservatif indien, 2 fr. — Pharmacie in- „„„„.. _<
CHOLERA» dienne, rue G, offrôy-Marie, 5. "ent ou nous no«
ÏHT TVfPT AU tannin et rob contre la syphilis, dar-j
1.8.1 J Mil 1U1S très, etc. Pharm. faub. Saint-Denis, 9.
aïons vu que tous les al
par des gens de mauvais
put et sournois nous a j
ne officieuse a bien vou
eau ophthalmiqueâe loche. Succès d'un siècle
3 fr., ph. letellier, rue Quincampoix, 12.(aff.
Prix des Insertions
AU JOURNAL LE CHAUVIR!
(Division 6 colonnes).
1 annonce (ligne affiche) 50 c.
5 A 9 — 30
Deux anges gardiens, Vautrin, le Petit de la Mo- j io et plus — 20
... .»..,- . 7 ,• Ce prix est double pour la ligne anglaise.
bile et Madeline et MadelineUe. . Réclame, 2 fr. ; faits-Paris, 3 fr.
I Les demandes doivent êrte adressées à M. Norbert Estibul,
ambigu-comique. —Les recettes se soutiennent 1 fermier, rue Vivienne, 53, à Paris.
BULLETIN.
VAitiÉTÉs. — A la demande générale, Hoffmann
consent à remettre son départ d'une semaine ; c'est
une bonne fortune pour les retardaires. Ce soir les
MAL4DIE DES CHEVEUX ^VZ-
ladies des cheveux, de la Barbe et du système pileux en ]
général, |>ré«enté à l'Académie de médecine et à l'Académie ; prise (le corps venait d'ê
des sciences par m. oueut. "2e édition revue et considérable !]np8;,'p . ,
ment augmentée. Prix : 2 fr., et par la poste, 2 f;. 50 c. ci MucU de recnni)
envoyant un bon. Rue hautefeuille, 30, à Paris. Con-j à toutes les issuf plii i
situations gratuitei de 10 à 4h. par conesp. (Affranchir.)
VEHEMENT
Journal quotidien, grand format.
Haine vigoureuse de l'anarchie, tendre et profond amour du peuple, (victor hugo.)
•ww, praticiens, huissi
1" guettaient les repré
j* Pour les remerciei
Raccorder. Afin d,
|rf Présence ces individu
7»e à leurs bienfait,
^ent retiré par
kk***h Charivar
*1 INSPECTE!
%ti!ea'reS —
p rier:aquoi bon
bl-nousrép,
Collaborateurs : balzac, Théophile Gauthier, léon gozlan, Charles hugo, méry, paul meukice, auguste vacquerie. Jnrie ra .. v
paris : un mois, 2 fr.; trois mois, 6 fr.; six mois, 11 fr.; un an, 20 fr. — banlieue : un mois, 2 fr. 50 c.j trois mois, 7 fr.; six mois, 13 fr.; un an, ÂJ. tr
départemens : un mois, 3 fr. 50 c; trois mois, 40 fr.; six mois, 18 fr.; un an, 35 fr. — étranger : un mois, k fr.; trois mois, 12 fr.; six mois 20 fr.; un an, 40 tri
10, boulevart montmartre, terrasse du passage Jouffroy. — Un numéro, 10 centimes. (S'adresser à tous les crieurs.)
tienne la nomenclature ae tour îe corps meaicai ae rans er aes aepariemens. aaresser uu non sur ia ^rueiTu FaubôûrgSaim^ "8; Pommies, rue an tau* -»i c-es,
poste à l'éditeur de la France médicale, rue Vivienne, 53, à Paris. (Affranchir.) bourg-Saint-Honorl, m; Birai, rue de la Paix, u. ■ un beau i
r «U... 'm d'ino .„„.
PENSION FONCET.
7 et 5, Avenue de Saint-Cloud, barrière de l'Étoile.
Cette institution, fondée le 1er juillet 1846 et qui a. obtenu, cette année, au lycée Bonaparte, avec 14
élèves 53 nominations sur 11 prix, vient d'organiser un services de voitures pour le transport des externes.
En vente à 1 fr. 25 c. au lieu de 4 fr,
LA FRANCE MEDICALE.
Statistique de tous les médecins, pharmaciens, chirurgiens de Paris et des départemens, contenant leur
lieu de résidence. Un vol. in-8° de 500 p. Prix : 1 fr. 25 c. au lieu de 4 fr. Cet ouvrage est le seul qui con-
tienne la nomenclature de tout le corps médical de Paris et des départemens. Adresser un bon sur la
VINAIGRE W
de m
Vès,! 1Ilspecteu
%\*n 4 ten'e di
Ce vinaigre, dont les daines d'Jispag;": aum M,en •>,, Ul
veinent usage pour le soin de la toilette, resserre laU . «« coliage <Je y,
l.,Sus, une à la peau une fl«.Ueil«, enlevé le haie e .aceil a -CI)|0Ss d * « 1 l
rides et rappelle le coloris de la jeunesse. - 1 f - r>0 e. le ilucoii,^, J= 1 Alleman :
Chez M Minvielle, 5, rue dés Fossés-Mon,martre. ne riu p
On trouve, à laVême adresse, félixir et la poudre de Min-^ , r°veiiÇal à t,
vielle, pour les dents, 2 fr. le flacon et I fr la boite. , h m0l ' 11
Avis à la province : Ces cosmétiques seront expédie.- li ancdfl^ "I SarjS avoir
aux personnes qui en demandent pour 10 fr. au moins | ai un. I „Ss
lettre aff, unchie contenant un mandat a vue sur Pans ' \( o i ; T r ueUr de ^,
dresse bien exacte - Dépôt clirz M Saint-MarUn, galei ic at ci ui Ce , nu
boulevart des Italiens, 19, et chez les pharmaciens suivaii.-.. hW^ g 'U je pUs è[
James, rue doBussy,»; Polard, rue Saint-Honoré, 3A l ^s» t.lias R
dlace Vendôme, 26; Séguin, rue Saint-Honoie, 3/8 , licy no m a t| gnault
r**. ____,7.. t,.... !,„.,.„. o..i..l.Pnnnrii_ il)H- PoiMlieS, l'UC Ull 1 auV . ! C es'
VOVR la toilette.
Ce vinaigre, dont les daines d'Espagne font exclusij
plaisance de mon estomac, quand une missive mi-
nistérielle vint m'affliger d'un nouvel avancement.
J'étais nommé secrétaire rédacteur aux appointe-
rons de deux mille quatre cents francs.
Pour le coup, c'était trop fort ! Le mérite est vrai-
ment trop récompensé. C'est ruineux...pour les gens
de mérite.
Inutile de vous dire que la feuille d'émargement
me passa encore une fois devant le nez.
Je vis maintenant, dans la crainte d'être nommé,
un jour ou l'autre, sous-chef de bureau. Cette faveur
équivaudrait encore à la perte d'un mois d'appointe-
raens.
Je n'ai vraiment pas le moyen de subir un avan-
cement aussi rapide.
Qu'on nous ramène au régime de la faveur ; les
gens de mérite, puisqu'on m'a joué le mauvais tour
de me ranger dans cette catégorie, n'auront plus à
craindre un pareil désagrément.
Agréez, etc.
Un employé arriéré à force d'avancement.
M PLAN DIFFICILE A FAIRE,
Il est question, dit un journal, d'achever le palais
du Louvre.
Cet il est question, me ravit ; mais, ô naïf journal
que tu es ! voilà cent cinquante ans qu'il est question
de cela.
L'achèvement du Louvre est comme qui dirait la
pierre philosophale de l'architecture.
Il n'est pas plus difficile de trouver le moyen de
changer tous les métaux en or, que de changer le pa-
lais du Louvre en une construction régulière.
Il est bien entendu [que, dans le Louvre, je com-
prends les Tuileries.
Depuis Louis XIV, les architectes se creusent la
tête pour parer au défaut déplorable de parallélisme
entre les deux palais. Jusqu'à présent ils n'ont en-
core creusé que cela.
Il n'est pas un élève de l'école des Beaux-Arts qui
n'ait rêvé au moyen de réunir les deux palais d'une
manière agréable.
Quarante-neuf architectes , chiffre officiel, ont
fait des plans qui ont été soumis aux différens gou-
vernemens qui se sont succédés depuis Louis XIV,
et chacun de ces quarante-neuf architectes a proposé
au moins dix plans différens. Total : quatre cent qua-
tre-vingt-dix plans.
Sauf erreur dans l'addition.
Le seul projet qui ait jamais reçu un commence-
ment d'exécution est celui qui avait été imaginé par
Louis-Philippe dans ces derniers temps. Il consistait
à réunir le Louvre aux Tuileries par une série de
petites baraques en bois louées trois cents francs piè-
ce à des libraires étalagistes et à des marchands d'oi-
seaux.
Aujourd'hui un quatre cent quatre-vingt-onzième
pian vient, d'être déposé au ministère des travaux
publics, bureau du prolongement de l'aile du Lou-
vre.
Ce plan consiste à construire une rue qui irait du
pont du Carrousel à la rue de Richelieu.
C'est-à-dire que ce plan de réunion consiste à sé-
parer à tout jamais le Louvre des Tuileries.
Séparation cruelle, mais nécessaire !
Tant qu'on ne prendra pas cette mesure énergi-
que on aura, chaque année, le désespoir de faire en-
fermer à Charenton une douzaine d'architectes qui
seront devenus fous en cherchant la pierre philoso-
phale en question.
Quant à moi, j'approuve complètement la création
de cette rue que rien n'empêcherait de nommer rue
du Carrousel, en commémoration de M. Fontaine,
l'inamovible architecte du palais.
Je serai d'autant plus enchanté de voir construire
une rue dite du Carrousel, que ce mot de rue me fait
espérer des trottoirs; — et je pourrais enfin me pro-
curer la satisfaction d'aller de la rue Richelieu au
pont du Carrousel, sans risquer d'être écrasé par des
voitures ou de me noyer dans des flaques d'eau.
J'ai été sauvé, il y a trois ans, au mois de décem-
bre, d'une mort certaine par un citoyen qui m'a re-
tiré du marais du Carrousel au moment où je com-
mençais à peidre pied et espérance.
Ce citoyen était venu là heureusement pour chas-
ser aux canards. Heureuse idée !
Jamais je n'ai plus béni les canards.
Aujourd'hui le danger des marais a disparu, mais
il reste encore, place du Carrousel, l'éclairage éclec-
tique dont il faut se méfier.
28
Trois mois-
Sis mois---
malgré les chaleurs, et grâce à la conscience des ac- h 1
teurs le beau drame du Morne au Diable de M. Eu- y$ de \& Kd^CtlOîl et û<
gène Sue a conservé, comme aux premières repré- BE Bo cboiss*nt' ,6
sentations, sa puissance et son attrait. Tout Paris
le verra. Cependant l'administration ne s'endort pas
sur ses lauriers, au premier jour Napoléon et José-
phine ou le Divorce, drame en 5 actes et en vers
fera son apparition sur l'affiche.
„*; C'est demain samedi qu'aura lieu au Ranelagh ^onnemensdatent de»
le grand bal annuel au bénéfice des pauvres de —<388&
Passy. Un très beau concert précède le bal, et cette ^onne- à Lyon, cht
fois nos plus grands artistes ont bien voulu coopérer |)r°eSi-nomini(!ue;ù ^r>
à ce'te bonne œuvre. On cite Ponchard et Géraldy, i^ ^'irié^r'. I Rouen,
M. et Mme Lefébure-Wély, etc. Prix du billet réduit Jj!J^alai8;Ùondre8,c
pour cette année seulement à 3 fr. S'adresser au Mé- MeroUice; âMi lou(5
, i « u- v • t. , , générales, et chez
nestrel, 2 bis, rue Vivienne ou au Ranelagh, à
Passy.
chateau-des-flecrs.—Aujourd'hui vendredi
grande fête extraordinaire. Concert vocal et instru-
mental.
—- ......— ■-........— —
Le Gérant : léopold pawvier.
Imprimerie Lange Lévy et C», rue du Croissant, 16
TWTTl VT?TT T T 'a PIus-imP°rtante du monde, qui h ,
HlLAl JullluL donne un jugement suprême, indique ASSEMBLE
l'erreur, est la boussole des actions, le miroir de la vérité;
assure un bonheur général et perpétuel ; centuple une somme i
en '5 à 24 heures, dévoile et perfectionne tous les avantages. Séance du
Preuves, moyens, pointions de ce que l'on peut désirer!
Ecrire franco à M. Rex, rue Git-le-Cœur, 3. .
______Ce serait avec un grai
Tflf*ïATTP lUnUPro Guénsondes hemi-s, des- ancompte fort exact de
J.U lyUIÏ llllilijll. centes, sans bandage m pes-
saire. et par le thé de bananiers, des Sueurs blanches, j uni aujourd nui a las
flTTAT Tin 1 préservatif indien, 2 fr. — Pharmacie in- „„„„.. _<
CHOLERA» dienne, rue G, offrôy-Marie, 5. "ent ou nous no«
ÏHT TVfPT AU tannin et rob contre la syphilis, dar-j
1.8.1 J Mil 1U1S très, etc. Pharm. faub. Saint-Denis, 9.
aïons vu que tous les al
par des gens de mauvais
put et sournois nous a j
ne officieuse a bien vou
eau ophthalmiqueâe loche. Succès d'un siècle
3 fr., ph. letellier, rue Quincampoix, 12.(aff.
Prix des Insertions
AU JOURNAL LE CHAUVIR!
(Division 6 colonnes).
1 annonce (ligne affiche) 50 c.
5 A 9 — 30
Deux anges gardiens, Vautrin, le Petit de la Mo- j io et plus — 20
... .»..,- . 7 ,• Ce prix est double pour la ligne anglaise.
bile et Madeline et MadelineUe. . Réclame, 2 fr. ; faits-Paris, 3 fr.
I Les demandes doivent êrte adressées à M. Norbert Estibul,
ambigu-comique. —Les recettes se soutiennent 1 fermier, rue Vivienne, 53, à Paris.
BULLETIN.
VAitiÉTÉs. — A la demande générale, Hoffmann
consent à remettre son départ d'une semaine ; c'est
une bonne fortune pour les retardaires. Ce soir les
MAL4DIE DES CHEVEUX ^VZ-
ladies des cheveux, de la Barbe et du système pileux en ]
général, |>ré«enté à l'Académie de médecine et à l'Académie ; prise (le corps venait d'ê
des sciences par m. oueut. "2e édition revue et considérable !]np8;,'p . ,
ment augmentée. Prix : 2 fr., et par la poste, 2 f;. 50 c. ci MucU de recnni)
envoyant un bon. Rue hautefeuille, 30, à Paris. Con-j à toutes les issuf plii i
situations gratuitei de 10 à 4h. par conesp. (Affranchir.)
VEHEMENT
Journal quotidien, grand format.
Haine vigoureuse de l'anarchie, tendre et profond amour du peuple, (victor hugo.)
•ww, praticiens, huissi
1" guettaient les repré
j* Pour les remerciei
Raccorder. Afin d,
|rf Présence ces individu
7»e à leurs bienfait,
^ent retiré par
kk***h Charivar
*1 INSPECTE!
%ti!ea'reS —
p rier:aquoi bon
bl-nousrép,
Collaborateurs : balzac, Théophile Gauthier, léon gozlan, Charles hugo, méry, paul meukice, auguste vacquerie. Jnrie ra .. v
paris : un mois, 2 fr.; trois mois, 6 fr.; six mois, 11 fr.; un an, 20 fr. — banlieue : un mois, 2 fr. 50 c.j trois mois, 7 fr.; six mois, 13 fr.; un an, ÂJ. tr
départemens : un mois, 3 fr. 50 c; trois mois, 40 fr.; six mois, 18 fr.; un an, 35 fr. — étranger : un mois, k fr.; trois mois, 12 fr.; six mois 20 fr.; un an, 40 tri
10, boulevart montmartre, terrasse du passage Jouffroy. — Un numéro, 10 centimes. (S'adresser à tous les crieurs.)
tienne la nomenclature ae tour îe corps meaicai ae rans er aes aepariemens. aaresser uu non sur ia ^rueiTu FaubôûrgSaim^ "8; Pommies, rue an tau* -»i c-es,
poste à l'éditeur de la France médicale, rue Vivienne, 53, à Paris. (Affranchir.) bourg-Saint-Honorl, m; Birai, rue de la Paix, u. ■ un beau i
r «U... 'm d'ino .„„.
PENSION FONCET.
7 et 5, Avenue de Saint-Cloud, barrière de l'Étoile.
Cette institution, fondée le 1er juillet 1846 et qui a. obtenu, cette année, au lycée Bonaparte, avec 14
élèves 53 nominations sur 11 prix, vient d'organiser un services de voitures pour le transport des externes.
En vente à 1 fr. 25 c. au lieu de 4 fr,
LA FRANCE MEDICALE.
Statistique de tous les médecins, pharmaciens, chirurgiens de Paris et des départemens, contenant leur
lieu de résidence. Un vol. in-8° de 500 p. Prix : 1 fr. 25 c. au lieu de 4 fr. Cet ouvrage est le seul qui con-
tienne la nomenclature de tout le corps médical de Paris et des départemens. Adresser un bon sur la
VINAIGRE W
de m
Vès,! 1Ilspecteu
%\*n 4 ten'e di
Ce vinaigre, dont les daines d'Jispag;": aum M,en •>,, Ul
veinent usage pour le soin de la toilette, resserre laU . «« coliage <Je y,
l.,Sus, une à la peau une fl«.Ueil«, enlevé le haie e .aceil a -CI)|0Ss d * « 1 l
rides et rappelle le coloris de la jeunesse. - 1 f - r>0 e. le ilucoii,^, J= 1 Alleman :
Chez M Minvielle, 5, rue dés Fossés-Mon,martre. ne riu p
On trouve, à laVême adresse, félixir et la poudre de Min-^ , r°veiiÇal à t,
vielle, pour les dents, 2 fr. le flacon et I fr la boite. , h m0l ' 11
Avis à la province : Ces cosmétiques seront expédie.- li ancdfl^ "I SarjS avoir
aux personnes qui en demandent pour 10 fr. au moins | ai un. I „Ss
lettre aff, unchie contenant un mandat a vue sur Pans ' \( o i ; T r ueUr de ^,
dresse bien exacte - Dépôt clirz M Saint-MarUn, galei ic at ci ui Ce , nu
boulevart des Italiens, 19, et chez les pharmaciens suivaii.-.. hW^ g 'U je pUs è[
James, rue doBussy,»; Polard, rue Saint-Honoré, 3A l ^s» t.lias R
dlace Vendôme, 26; Séguin, rue Saint-Honoie, 3/8 , licy no m a t| gnault
r**. ____,7.. t,.... !,„.,.„. o..i..l.Pnnnrii_ il)H- PoiMlieS, l'UC Ull 1 auV . ! C es'
VOVR la toilette.
Ce vinaigre, dont les daines d'Espagne font exclusij