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Le charivari — 17.1848

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Octobre (No. 275-305)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17760#1107
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LE CHARIVARI.

fions avec les dames et qui endosse la houpelande
puce du père Jouy ! C'est lui qui est aujourd'hui le
Constitutionnel 1 Ce que c'est que de nous ! ■

BULLETIN.

„*„ Aujourd'hui dimanche, au théâtre Montansier,
avec la reprise du Voyage sentimental, la 10e repré-
sentation du Camp de Saint-Maur. Le public pas-
sera en revue l'élite de la troupe.

*¥ La reprise de la Fille de l'air obtient un très
grand succès aux Folies-Dramatiques. La pièce est
fort bien jouée, surtout par Palaiseau et Mlle Fre-

neix ; jamais celle-ci n'a donné plus do preuves de
son talent fin et gracieux.

1 ¥\ Aujourd'hui dernier dimt W Raison d'é-
té, le Cirque annonce une gram Uion ex-
traordinaire à laquelle concourront ses meilleurs ar-
tistes.

„*„ Annoncer une ascension de sir. Green, c'est
appeler tout Paris à l'Hippodrome. Avant l'ascension
grand spectacle équestre et le Char du Soleil. Par un
nouveau système de couverture, queljue soit le
temps, les spectateurs seront parfaitement abrités.

*f Ce soir, au Jardin-d'Hiver, grande fête avec

exposition de l'orangerie illuminée à l'orientale. A
huit heures, grand concert dans lequel on entendra
pour la dernière fois le duo bouffe de Picaros et
Diégo par MM. Ponchard et Géraldy, ceux des Cartes
et de la Reine de Chypre, par Mme Anna Widemann.

EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.

Quand le foin manque au râtelier les'chevaux se battent en-
tre eux. — (Kan, le foin manque haut rat, Tell lié lèche veau,
se, batte entre œufs.)

Le Gérant : léopold pannier.

Imprimerie Lange Lévy et C, 16, rue dn Croissant.

VflPïflïTF lltfTUritf Guérison des hernies, des-
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mer. S'adresser rue Saint-Dominique Saint Germain, 199.

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la porte cochère, à l'entre-sol.

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sire s'entendre avec une ou deux maisons de commerce de
.Bordeaux, Cette, Montpellier et Cognac, pour la vente des li-
quides près l'Entrepôt général et Bercy. Ecrire franco à M. L...(
chez M. Norbert Estibal, rue Vivienne , 53, à Paris.

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pier et à timbre sec. Guillaume, mécanicien et graveur,
02, rue des Vieux-Augustins.j

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YEUX

Choix d*oI>*4'rvatfoiis cî csires cxlraor-
<Iln:iia'«>§ op«'rc«'!» par le fiSoU» «Se Boy-
v e m u - L si ITc c t f u r.

(Extrait du Manuel hygién'qne pour l'empl >i du Pob Boy-
veau.)

— M dîme Y...., des environs de Tarare, âgée de qua-
rante ans, d'un tempérament i es sanguin, éprouvait
d'epms plusieurs mois des douleurs dan** les teins. A ees
sytojilÔlTies se joignait-ntceu.x-ci : ulcération de l'amyg-
dale droite et de presqi e toule la bouche ; I) uton . et
rougeur^ à la. peau sur-une grande étendue du corps,
pr'nle paiement a la figure. L'ai malade, qui à;subi.plu-
, sieurs tra.temens, afaitusajie du sirop de Cuisiuier, du
■ sirop dépuratif, ? ans aucun succès. Je lui ai ci nseillé le
traiiement indiqué par le. docteur Giraudeuu un Saint-
Gervais, c'esl-à-dire l'usage du Bob de Boy veau-La (lec-
teur continué pendant deux mois. Madame V.... s'est
• oïiiplctement rétablie. Aujourd'hui tout a disparu, et il
ne re^te aucune trace de celte affreuse maladie.

• — M. J. G..., atteint d'une darlre squamuiMise sons le
nez, ét d'une maladie syphilitique passée a l'état chro-
nique, acomuuéM. le doi-te r Giraudeau de Saint-Ger-
vais. L'usage du Rob de, Boyvrau-Lnllecleur avait été
conseillé ; quelque^ flacons ont suffi p mr guérir une dou-
ble affection qui datait de plusieurs années : jamais la
santé de M. J. G... n'a été plus florissante qu'en ce mo-
ment.

Tarare, le 7 mars 1848. a. miciiel, pharmacien

— M.' Hipp. L .., dans la force de l'âge, trente-six ans,
vit sa robuste constitutio i minée par une maladie syphi-
litique des plus intenses, qui datait de trois ans. Sous
l'influence des antiques traditions médicales, il épuisa les
sirops tenoaiinês dans la science. 11 attaqua même le mal
en employant l'énergie des préparations mercurielles.
Celles-ci, administrées à l'aide des comb liaisons les plus
variées, demeurèrent absolument impuissantes. La répu-
tation du Rob ce Boyveau -Laffecteur ayant amer.é M.
H pp. L... chez moi, voici quel était son état lorsque je
le vis.

Maigreur générale excessive; la superficie du corps, la
tête et la région du dos rjarticulièrement, sot4 envahies
par des pustules d'une teinte livide, fournissant une ma-
tière sanieuse. Ces ulcères, d'une g ande étendue, f rcent
le malade à se coucher sur le ventre : l'insomnie est alors
constante et livre le malade a d* vMinÛes tortures.

Je soumis M. Hipp L... au Rob. Dès la seconde bou-
teille, les ulcères tendaient a une rapide"'cautérisation.
Dominé par ud de ces caprices communs a tous les mala-
de*, IW. L... désira se (aire peser. Il constata une augmen-
tation de r. aq kilo. Le traitement fut poursuivi, et la
puérisou s effectua après l'emploi de quatre autre bou-

U- ÏUf .

M. L... a recouvré ton? le i souvenirs de sa belle jeu-
nesse, et il m'atteste que sa santé n'a jamais été si par-
faite.

Fume!, ce 23 mars 1848. l. iaubas, pharmacien.

— Nous, soussigné, docteur en médecine, certifions que
nous avon< employé le Rob de Boyveau-Laffectrur chez
M. A , atteint de .céphalalgie intolérable, dont i'orgine
elaii syphilitique , ci que nous avons obtenu un succès
complet. Celle aftVc ien avait résisté à diverses prépara-
tions mercurielles.

— M. P..., ancien officier de la marine, vint nous con-
sulter pour un gonflement du ' genou gauche. Il-y avait
douleur intolérable,. s'exaspéranl fortement pendant la
nuit, malgré, l'emploi des ve icatoiies, de la morphine er,
de, bains hydro-sulfureux. L'affection ne diminuai! point.
Nous soumîmes le malade a l'emploi du Rob Boyveau, et
en deux mois la guérisim était obtenue.

23 janvier 1848. Le docteur Thomassin,

Rue Montmartre, 63.
— Mons'eur et honoré confrère,

Je vous ai adressé hier un arliste distingué qui a besoin
de suivre un traitement dépuratif par le Rot) de Boyveau ;
il a désiré obtenir de voua les bonifications què vous ac-
cordez, aux gens de lettres et aux artistes.

Déjà j'ai eu l'honneur de vous adre-ser quelques ma-
lades que vous avez parfaitement guéris, M.....; M.....,

banquier ; M..., j ge au tribunal de..., etc.

Doct. AussANnoN, rue Notre-Dame-de-Lorette, 42.

1UZ.-VII PROVENÇAL

Boulevard de la Madeleine, 17, etraie di< Bac, 10/1.

NOUGAT BLANC de Marseille, aux pistaches
et à la vanille. Ne pas confondre le véritible
nougat marseillais avec celui que l'on fabrique à
Paris et dont l'imparfaite imitation ne trompera
jamais le connaisseur qui ne se laisse point pren -
dre aux pralines mais exige l'enveloppe d'étain.

MME HB'ftB'PT amie lntime et élève deMlleLENOR-
JfllJflJîlj mand, prévient sa nombreuse clien-
tèle qu'elle continue de donner ses consultations de midi a
4 heures, rue des Vieux-Augustins, 24.

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glaires, les vents, la migraine, les étourdissemens, la consti-
pation, les pâles coul urs, fleurs blanches et lés accidens de
l'âge critique. Prix : 3 fr. et 1 fr. 60 la boite, rue Laftitte, 34.

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degré de perfection. Palais-National, galerie de Valois, 133,
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Le R'b de Boyveau est souvent conseillé comme dépu-
ratif par le docteur Bovirdin , médecin de l'hôpital mili-
taire de Versailles; par .m. ledoclenr (haud'On, chirur-
gien-major au 7e de lanciers; par M. Bas, médecin à l'hô-
tel-Diru de Poiriers; Rainon, médecin à Oharenton, Gros-
Jean, docteur-médecin, boulevard S tint-Martin, 9, et par
les docteurs Bizunan, 26J rue Dauphin"; Thomassin, 63,
rue Montmartre; Allié, 25, rue des Petits-Charnus, Teste,
31, rue de Beanne; G-renet, 4,r), rue Chariot; Le, lercq, mé-
decin ;en chef de l'hôpital militaire de Thiouville, etc.

— M. X., un de mes cïens, demeurant clans le, faubourg
Saint-Martin, était atteint d'une maladie contagieuse.,
compliquée de symptômes graves," A l'âge de ving-trois
ans il avait été soumis à plusieurs traitemens restés sans
succès. La maladie demeura quelque temps stationnaire.
Cependant les douleurs osleocopes se firent sentir, elles
devinrent atroces par l'excès de leur intensité. Le malade
consulta plusieurs spécialistes, dont, les conseils amenè-
rent quelques amendemens â ses souffrances. Mais ce ne
fut l'a qu'un avantage, éphémère. Le malade retombabien-
tôt dans un état déplorable. Le moial s'exalta au point
de pro mire le dégoût de la vie; puis toutes espèces de

âitement ur> rit abandonnées.

Un ami du malade lui a\ant parlé de votre Rob, ce der-
nier désira faire l'essai de ce mçd carnent. Il vintdoneme
consulter,- il entra en traitement, et d^s le second litre il
éprouva un mieux sensible.

Apres dix'litres, la maladie, pour laquelle il n'avaitplus
d'espoir, a disparu comme par enchaînement. Aujourd'hui
il jouii d'une santé parfaite. Sa confianee est si grande
pour le Rob de Boyveau, qui, comme il le dit, lui a sauvé
la vie, qu'il en prend encore aujourd'hui plutôt par plai-
sir que par besoin. norroT, pharmacien,

Faubourg Sant-Martin, 57, à Paris.

Traitement par correspondance , en «'adressant (franco)
au docteur GIRAUDEAU DE SAINT-GERVAIS, successeur
du docteur jjoyveau-laffecteur, visible de 9 heures
â 3 heures. — Consuliations et opérations gratuites. —
Bue Richcr, 12, à Paris.

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