LE CHARIVARI
K1NÀ FRANÇAIS et K 0 K A les boissons toniques el hygiéniques reconnues par tous les Docloars.
IndispeDsables à la bonne santé. Campredon.Marseillo.TousYins fins et Rhuras-Les plus hautes récompenses.
Le
« Biribi » au quinquina et le « Coursier
de la maison P, Course, de Bergerac
Dans cette fin de siècle qui marquera peut-être
une des étapes les plus critiques du progrès en
toutes choses, — aussi bien dans l’industrie que
dans les arts, les sciences et les lettres, — la con-
currence commerciale est devenue la phase la plus
intéressante de la lutte pour la vie. Tous, visant le
consommateur, avides de la faveur des gourmets,
s’évertuent de présénter au public des produits qui,
parleurs qualités spéciales, emporteront victorieu-
sement cette timbale d'or si recherchée de la popu-
larité.
C’est notamment le cas de tous ceux qui fabriquent
des liqueurs destinées à la consommation générale
et courante. Le succès obtenu par quelques spécia-
listes en renom, dont les produits sont universelle-
ment appréciés et répandus, a grisé quelques autres,
et le plus grand nombre s’ingénient à courir après
la même célébrité, c’est-à-dire après la fortune
Rien de plus légitime, d’ailleurs, et nous serions les
derniers à jeter sur ces enthousiasmes profession-
nels la douche réfrigérante de la critique, si nous
avions le mauvais goût de vouloir blâmer l'ambition,
bien naturelle, dos distillateurs, qui veulent nous
doter de boissons nouvelles et hygiéniques.
Mais le plus embarrassé, sans doute, en ceci,
c’est le consommateur lui-même, dont le suffrage,
de toutes parts sollicité, hésite avec raison, et, de
guerre lasse, souvent se porte sur des produits
réellement indignes de son choix. C est alors que
nous pouvons intervenir en signalant à son atten-
tion — c’est-à-dire à un loyal essai — les produits
qui ont ôté soumis à notre appréciation, et que,
après une expérience approfondie, nous avons re-
connus jouir de toutes les qualités nécessaires à la
faveur populaire.
En ce qui concerne les liqueurs que prépare la
maison P. Course, de Bergerac, nous ne saurions
éprouver aucune hésitation.
Le Biribi, notamment, mérite toutes les attentions
dos gourmets. Il appartient à la nombreuse catégo-
rie des apéritifs, la classe la plus considérable des
bc’ssons qui recherchent surtout la popularité
Dire sa composition, c’est indiquer déjà les titres
précieux qui le recommandent au goût bien exercé
du consommateur. Tout le monde sait que le vin de
Monbazillac est, de tous les vins blancs du Midi, un
de ceux que l’on recherche le plus, non seulement
pour la consommation courante,_ mais encore et
surtout pour la préparation spéciale de boissons
composées et de liqueurs auxquelles il apporte ses
précieuses qualités essentielles. C’est, en eltet. un
vin généreux et tonique que le Monbazillac, surtout
s’il Xst récolté dans les clos les plus réputés du
pays. D’autre part, chacun connaît également les
vertus hygiéniques, apéritives, digestives et stimu-
lantes du quinquina, dont l’action thérapeutique et
reconstituante n’a plus besoin d'être développée ni
démontrée.
Le Biribi est tout simplement une préparation
spéciale, basée sur certains procédés, de vin blanc
de Monbazillac, choisi parmi les meilleurs crûs, et
de quinquina très pur. La finesse si appréciée des
gourmets, de ce vin sans rival, combinée avec
i’arome non moins apprécié du quinquina, font du
Biribi un des apéritifs les plus efficaces, les plus
toniques et les plus agréables que nous connais-
sions. Pendant la saison chaude, mélangée à l’eau
de Seltz, il donne une boisson excellente'
Le Biribi est connu, son succès n’a fait que s’ac-
centuer auprès des gourmets connaisseurs, — et
c’est un succès de bon aloi, qui ne trompera aucun
de ceux qui, séduits par la renommée déjà brillante
de ce produit, seront tentés à leur tour de le dé-
guster.
La maison P. Course, de Bergerac, qui le produit,
fabrique également un cuiraçao triple sec, d’une ex-
quise finesse, d’une saveur unique, auquel elle a
donné ce nom : Le Coursier.
Nous ne ferons pas davantage l’éloge de ces deux
produits également exquis dont la maison P. Course,
de Bergerac, peut, à bon droit, se montrer très fière.
Le jury de l’Exposition universelle de 1889 a, d’ail-
leurs, unanimement rendu hommage à leur mérite,
en récompensant leur créateur d'une médaille d'or.
Ce haut témoignage vaut à lui seul tous les éloges,
et il nous suffira d'affirmer, sans témérité aucune,
que le Biribi et le Coursier brillent désormais aux
premiers rangs des boissons du jour, pour ne
craindre ni le démenti des gourmets, ni les repro-
ches des consommateurs.
Gaston Dalivet.
Le Directeur-Gérant, Pierre Véron
Paris. — lmp. Alcan-Lévy, 24, rue Chauchat
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Banque Petitjean, 12, rue Montmartre, 4C° année.
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nous la varions au g ré de la consommation.
Extrait (le Grenadine. — La dose d'extrait pour tramd< riner
100 litres sirop simple en sirop de Grenadine est de2lit.7Qcentilil. ;
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simple et de bien remuer le tout afin d’obtenir un mélange complet.
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beautés agreste*, et la liabasse dé
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Le» rhums Issus de ce» Plantation», doit»»'
à la nature seule, leur indiscutable supériorité*
-11 y a là, une loi supérieure, une question d*
cm, comme pour les grand» vins et les Rhums Bt-Jam**
tirent de cos terres merveilleuses, au sol et an sous-sol *
extraordinairement riches cette nervosité, cette plénitude d*
parfum et d’arôme, qni les «Et rasdas il jsstssu*'
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