GAZETTE DES ARDENNE3
Grand Quartier général, 8 mars 10!C.
* ThédO'e de la guerre à l'Ouest.
Contre ia position reconquise pur nom a l'est de
la ferme dite «Maison de Champagne», les Français
contrc-nUaquèrent hier, tard dans In soirée. A l'aile
oueït le combat. * la grenade continue; à part cela,
l'attaque fut facilement repoussé*.
Dann le Imt d'améliorer le contact avec nos noi-
Telles Ugaes, avancées sur la rive droite de la Meuse
jusque sur Im versants sud do la Otite de Talon, do la
Côto de Poivre et du Douaiimont, les posiltons do
l'ennemi sur la rive gauche du neuve furent enlevées
d'aaamut des deux cotes de la rivière de Forgea, en aval
de Béthiiironrt, snr une largeur de 0 et dans une pro-
fondeur dépassant 3 kilomètres. Les villages de Forges
et de Hegnéville, la hauteur de la forêt nés Corbeaux
et de PcttUCumières sont entre no» mains. Des contre-
attaques françaiie» contre les lisières sud de ces forets
turent repousse» avee des pertes sanglantes. Une
grande partit) des troupes qui occupaient les positions
prises snceoinha, un rente de 58 officiers, 3,277 hom-
mes non Messes fut fait prisonnier. En outre, 10
canons et beaucoup d'autre matériel furent pria. ,
En Wo*"vre l'ennemi fut également rejeté hors des
dernières maisons de Fresncs ; le nombre «les prison-
niers fait' ici s'ett accru à n officiers et plus de 700
hommes : quelques iititrailleiist-s furent également
prises.
Nos escadrilles aériennes bombardèrent des loca-
lités à l'ouest de Verdun, où des troupes étaient
cantonnées
Théâtre de la guerre à VfUst.
Sur plusieurs points du front des attaques par-
tielles russes furent repoussées. >
La voiô ferrée de Ljschovitchi (au sud-est de
Baranovilchi) & Luninicc, où un assez fuit trafic fut
observé, fut attaquée avec tmn succès pus no* avia-
teurs. •
Théâtre de la guerre aux Balkans.
Aie h de nouveau.
BULLliTINS OFFICIELS FRANÇAIS
Rirte, t" mira 1*16. soir.
fin Brique, notre arbtllcne, do concert avec l'artillerie
britannique, u C"**cuté des turs efficaces sur les trnm-hée»
ennemies au audseal de Uoesingba.
A Vf-1 d.i Helioa, un détachement évalué a deux com-
pagnies, q i lenla.il d'ahorder nuire ligne, a'est enfui sous
noire feu, rxbatHH des- mot ta sur le terrain.
Dans in régiun de Verdun, aucune action d'infanlene au
eoura do la journée. I.>- oumbar dénient ennemi a continué :
à l'ouest île lu Meuse dans I» zone antre Maloncourt et
Forces, h l est de ia- Meuse notamment dans les régions de
Vaux et de Daiiïtoun et en WoBvra sur nos tranchées de
Fresnes. Notre artillerie u'eit montrée très nclive eur tout
l'ensemble du frout enoemi.
À l'ouest de Pont-Mémisacn, nos nonon» de tranchée ont
bouleversé tes organisations nllemacdas du bois Le Prêtre.
Notre artillerie lourde a bombardé des fitubtisseinenls enne-
mie dans la retpau do Ttnaucourt
En Alsace, aclior.3 uasc-z vives de no» b.ïltrncs dms les
vallées de la Fécnt et de le tioller.
Paris, 2 mars 191Û, 3 heures.
Eu Ai : -m*, & l'est du. rttemm de Neuville a la Folie, nous
fcvons (ait sauter une mine auua uq aucien antounoir qu'oc-
eupait l'ennemi.
Nous n sommes emparai du nouvel eatonnnir.
Dana la région de Verdun, l'ennemi a bombardé violem-
ment au cours do la nuit, le Mort-Homme et la cote da l'Ois
(entrs Malancourt et Forges) ainsi que les principaux pas-
sages de la Mause.
En Wofcvre, après une intense préparation d'artillerie,
l'ennemi a dirige, hier, en un de journée, une vive attaque-
sur no -. positions de Fresncs.
Il a êM rejeté auaaitM par notre contre-attaque des quel-
ques élément» ot> il avait pu pénétrer.
En Lorraine, un bombardement rte plusieurs heures sur
le ferme Sainte-Mari», à l'ouest de [ïeztinges, a été suivi
d'une attaque ennemie qui a complets ment échoué.
lin Alsace, quelques tentelmis dirigée* par de fortes
patrouilles allemandes sur nos polits postes dans la vallée
d« la Laucbe on! été repouasées a. la grcmido.
Paris, 2 mnrs 101G, soir.
En Belgique, tirs de destruction de notre artillerie sur
les organisations nllenuiridca h l'est da Stccnstraetc,
Entre Somme et Oise, un ouvrage ennemi a été détruit
pas nos batteries ttane La région de ltaiiTrai pries.
Eii Champagne, un avion allemand ranonné pas nos
batlerie.t ù pruxmiita de Smppes est tnndjé en Hommes
dans Ica lignes ennemies.
En Argonne, nous avons exécuté des concentrations do
(eux au nord de l.:i Hatesëe et sur les bois de Cbeppy.
Dans la régie** au Nord de Verdun et en Wolvre, l'actt-
vité de l'mlillene ennemie, un peu ralentie les jours précé-
dents, s'est eonsùiéreJtieiiu ni tiecrue iuf cours de la journée,
sur tout l'ensemble du- front et principalement sur le
« Mort-Humme », la côte du Poivre et la région de Douou-
monL Sur ce dernier point, ip- hijnibRrd^m^nt h c-tii suivi de
plasieura attaques d'infanterie d'itne estr*me violence.
Cette série d'nttnoues a été refoulée par nos troupes, dont
les feux ont décimé les range ennemis. Nos batteries ont
riposté partout éncigir^uciueiit au bombardement et canormé
les voies de communications de l'adversaire.
Au nord-est de Saint-Mihiei, pièces a longue portée
ont bomiiurdC la yare- de Vipneulles ; au* dires de no* ob-
servateurs, deux inccndiu:. se sont rtéebu'és, plusieurs
traîna ont étu atteints et une. locomotive u Tau. explosion.
En Haute-Alsace, grande activité des deux artilleries
dans le secteur de ScppniM
La '/lierre tièrtcnn*. L4 ,■.) 1 diTM*«re, imo âe ito» cscadrillita do
bomti*rrfcin^»t u lance (um#*itli-«iiinire onw» tlm Uhim r alibrc» sur
In g»n dn (^lantafcnnv qtu pjpmà Avoir nul»» d impoi UuUt dég&ln.
Malar» uao vive <'M<MifK*fe, no* j«k«ha mm»! reiHié- mdnmmesdnn*
lu» tuuicn.
Dans la journée nos avion» ont également jric quarante obtu
■ur In gnif tla Ikuit^larC 04 m ni m li suc les ujablisscmsnU
ennemie dWwïtwmrt,
I'jiib, 3 BUM W», 3 herWWB,
Dans hi légion au nord de V'eidun, le bonil-ardement et
lea attiiuues de l'enn«u« o*iî cQnlinué peidanl toute la
soirée d'hier av*c une violence redoublée d.in- le sacteur du
village de DouauiuonA.
Après plusieurs tentatives m Truc tueuses, qui ont été
repoussuca avec da crtieiks pertes pour eux, les Allemands
sont parvenus h pénétrer daus le village de DouamnonL où
le combat ennUnae achanné;
Un peu jyiui» tarda:l'est, le Village de V.iux a été altaqué
vers- la même i.curc
Lea assauts dirigé» du nortnest oui été bmes par nos
tirs de barnige et nos Teux de foiU'aiUeuaos.
L'ennemi a dû se retirer, lûiasaaé dans nos- réseaua 'de
fils de fer uns glande qiuuitiLâ de cadavre».
En Woëvre, Inc-r,. eu im de wurée et ou cours de la nuit,
le bombardeiucnt est toujours très 1 ait usa, mais, affrété
par nos tira de Liartaje, 1 cniéeuù n u pil débuucbor.
A l'ouest du la Meaae,. activité de i'iurtdlei'ie ennemie
dans les régions d.; Maluncotut et d'IIaueoucL
lia Lorraine, da«s Ut. regmi» au sud. de la> toiél de Pttrroy,
une faible attaque a été diseer^ée a coups de fusil! et de
grenadee.
Par», 3 mac» 1910, soir.
En Bulgique, nous avons bmnbntdé lee catitonosments
ennemis de U rtginu de I^uj^l-aiatfk. *■ 1
Au nord de l'Aisne, une forte patrouille qui avait attaqué
un da nos petite postes a été repouasee avec *>s pertes.
Notre artillerie a exécuté des tire de destruekntn but las
ouvrages allemand* a l'est de l a N«uvilic, su* de P.t>rr7-
au-Boo.
BU Argonne^ notre arlilkiic ô'c ! jnonleée trte arlivff-et
a bombardé II A ligno* ei'neun--?j h U rttl'e-Morla et au bois
de Cheppy. Nous nvoos tait aauler avec ati"cc» nn ramoa-
net à Sauil Himert
Dan» la région nu rn-ri t> \ erdun, la luWe e^t1 trfs
chaude prés du village rie Douaumont ; nous tenons la
partie boute do («awiclan- su» 1,1 pente nord utiqiMû it se
trouve. Une vive contre-atfut]KS, uWllsebéé par nous, nous
a permis de regagner du tcrroiu aux aboids immédiat? du
village.
Lo bombardei.ic'iit s'esl mamfirm très vulenl a l'o'iest
et ù l'est dr. la \teuw, ..u »v qu ut Wûevra Noire artiilene
a exécuté des concentrations de feux sur des points de
rassemblements ennemis, M&MttiiMlrt a- psosinidé de t^au-
mout, où. une colorme f-ii maietie « ilo disp 1
En Haute-U3.wf, rtmis nvo«a i.u-enté uno attaque ù-l'est
rie Seppoia et enlevé plii^ieuia élcinenls da tranchées alto
mandes sur la nve druiU d.-- l,i r.i.miîC-l.ru^ie'. ffhe eontrp-
altnque de 1"- eivmi a "ti- inj 1 nt-nte a t>'">"-"- delo^w do
terrain "«ii'jwn
Le» hombvirdf'Virt.t, qui ■.' si m.md^ui ■( "hf au
ceare de lu ntul tktu* les difiéiefiK •ei'tfltua de la ré^iwi r.te
Verdun, n'a-été suivi d'iowune ueUon d iof..ntttrw: eniiemiu-
Aux Kpar^cs, riiHlS avons empêché Vco> eau d'm i^gK
un entonnoir produit pur l'cxpi. «ion- d'une de so* mines
ltïen à. Mgi:aVr ;>ur ic i f-de du iioot, en d. I.uru de la
canonna<to rntbitutlla
FAITS DE GUERRE
. LES COMBATS 1U NORD DE VERDUN
La meilleure peeuve ilt* l'énonrement1 et de lUiterrttiuilc
où se trotiTpn* le» BrfMMi (*fiT*icle MMlntt p«^ r-tpporf met
intfiitions iiUflmiMiilr» nt ;\ Mn^tVMHIHBI Jf* a*W.è> rrn«|»»r-
tà» par fitrîTiêe, *i prtncï impfrmi, ucn» la lwii\«w dans
le verbiag*» UwteHK» d<» 1 ,»tbitpi'aHJiiie* réd»i;i'i ci mimndtu
OÎIloioJjflUi ni l*n VWt d/lII^HW-WOWIKT 1 ojj1hk.H itlJMg^Cr.
Ce* radî».^-r,*m«y« >-(îu!erit d^p.msitnt nrMiklIr.nwnl; m
fwklaisia le» pi«* éteinte» m'tietHi» pft* le « iJéw-rxr rrrro*^
pectif ■ de la « Gabelle que nos lecteurs trouvent régnv
lièrcmenl i n qualrieuie■u*gr efc q«fc'il k»r wiffira deronsulicr
pour so faire une idée'le la valeur de ces. informations de
aourre parisienn'j.
L'r-vcfliir (WniuiUn-va mie foi* île r4iui 1 iu^mUi d« (i*nié-
tboées. Le johb vicntlr», où ia. ptihlu-iUon do I» toH^ue b*f«
des priBonmecs franeaut fiwl» itasis lr* rouabals cm qiM-sivm
démentira toutes les dénégation»- p4tliJie«» i».cc nvjmt.
Quant aut prétendus a MCTW h de g) îtonixicrs uMem.-Hiibi,
envegjsti'és p.ir d'habiles et im.ngiB^tîfs quislionuriua, et au*
evaluniion* falmb-iiac*-. de» perle* aUt-maaukw,. cas pesi*»
a- mOAcns » paevieRdMint iU, onc foi» cnaoov, ù Icnvrer le
jpnvbUe-r nie jour oit In véi*4é nppftsaîfra, laodvnilbiMôw i*en
seea que pliw enislta'.
IB y ai à l'.iîi.-i nti'me. itr* Itvtiaioe* (yui le ■ nlmt et le
craignent, et qui voudra»r4 léogu* loutre oc»
méthodes qaii conaianénl à (erenee les yt-u* m face
réalités.
En tête du a Jotuenni. h diavfii uum, M W sénateur
bert CBitiqu* ^évèiuimcut l' h opMmWoe Ik'mI
ciens de la guerre d'usure. Il écrit :
« Oifc soiOnJa, le» theou jcteMe-. de l» gueera. iL'uâî
ISn^-an iiL [ior L confondre aven la gufMre iL'marti*»»
IO Mars
« Les lourdi canons, dont le tonnerre ininterrompu r6-
sonne autour de Verdun, ont Raie en mines — pliu encore
que les murailles de la vieille Beetercss»— leiiri trop faelln
tkéorie» et- laars dattajerruNCS lHiisiona. Et, ces ruines-là, '
il ne faudra peint les relever.
d Chaque jour nn nous annonçait l'épui-emenl prochain
de ("Allemagne Notre- farouche ennemi^ ivre de confiance
en ta force, devenait;, à oatendaecea prophètes, une maniera
de malade atteint d/nn mal de langueuo dont nous n'avions
qu'ft lo retarder monriv. La viatoire étnit une prime promise
à la patience des Alliés.
il A quoi bon chercher, peiner, combiner, tenter, ill
suffisait de savoir attendre P Et beaucoup se faisaient \
l'idée d'un monotone stationnement tout au long du morne
front, creusé de lignes successives de tranchées, herisié da
fils de fer barbelés, — jusqu'au jour où l'adversaire formi-
dable tomberait de consomption et demanderait grice____
« Ah ! comme tout cela est loin, .après dix jours de vraie
bataille I L'attaque sur Vcnduo* préparée os* stlance» dé-
rh*înè-l- en coup de foudre, raanf-ne las espnts 1 d'autres
imago de guerre, plu? |it»ajiianaes ot plu* vraast L'amie
nllemaudc est toujours là, forée formidable d'offensive, dont
les moyen*, loin de faiblir, se sont aceras. Et les m«m«
qui ppo<' la m tuent hi<*r rin»iolal»tlité de» fortifications
loni'nenicïil at-cunwléiiî sua l'imrueoa» ligne, lùnnptp.
swiiué, ptmr l'un, caisune poux l'a u tac des belbgéranU, de
u perce* », tombent aujourd'hui dans l'eitréme opposé, et
voient dcj.i se (te^mer. par Vrrdun, une meiiBce- sua
FVml____
« F,' \lu*>iiagne applique le vani praneipe de gurar* : fs*.
lion. li m,'est d« fesee; il n-'est d» vie, it n'oafc de, possibilité
da vaiwere. ipja. dans. I .iciion. L'hisloire des siécLcs. noue
apprend que les peuple-* qui rcne-occnl, lea armée» qui subis-
sent, bt* chefs qui acceptent, n'oat jamais» été «ctonau»
Le ■sroeè* vs> awt »edo*nFiw, à> csnur qeri. ne a* eentenlent
point d'un i ■■ ■■1i1.it paxtiesy m» imaanlestLesv ajai swlexfe plu»
et nwiiii, .ibï ehocchdiMs, aux inapaiicnla, aax a«dentn\
pour (pu toute minute est une. occasion d*efloTt, ite FravahT,
da création....
» Pfr dispos» plu* que nuire atnbititM» drui étVe de
11 tenir ». Vsnv Bl« daté ûtrer d' k agic »----»
La- H ftalaillt » partage Tasis- de \f. ITumnstrt, en éer».
▼anf : *
(i, La. m -noriU nuanenque qui consiiLu*. puaUVin, un
appoint sérieux à notre- avantage o/"y fait rien : notas rcsis-
tena, nous, paroi», nom frappon» qTiand ai» nous- a frnppésv
mer* l*snit»ili»« de l'aetw»*»- semble jaeqni'iei tencfcsiviié'd»
L"Mtem<Mer;e. La> comtataston wesa- pna sans- éosouvoia csnsas
qouv cesuane ,U. atulaxd, rapoclumt que la Eéajlesaeai fcao>
gaàa dib s«aviec da» armée» an campagne dit : a La* avec**
h la guerro ont toujours dW remçoit** par le» gr^néraus)
(mi ont voulu et cherithé 1» baéaitle": Gao* qui- Comt taussa-
aatfe tsuijMtsas oat Taînean» Kir pawuyst t-'inatiaUee des opéra-
tssunv on> fasfc anétsat le» **é*iacieata aat lieu de tan *wbde h
Ln> i«KUs(iiioktcv ht vumlesce, L'oiuknatMwi- des alUqaca
.u..nnn.li'i n-m..i>giieiit ebex l'eunetna d*sine \!tslitc. d'une
.'tu.uee. d'un capxit otTenaif qai hurlent rruettyre- prn arve
les afTrrmations tant de fois servira* (fans certain» jeemaïav
d'une Allemagne à bout de souille. Un se pceînt t> mm
demander pouonyas» ht -on- rWaïUS naaaérnnaw itnatf car pare
depuis des ia»îe> kn> Allié» (-fspèche ceost-ci d'intorv«vti« bac
réins» ut de a tmwtr imitrr iea> svnnnrmnisn as» lieu* do les
, le généref Perret porte ce coup dreit
Dans f* « Bcfbir :
aux Anglais :
d On u certewierncnt préh*é eSr» rwujM» se* routa réiîn-
due dn fnmt ptmr tantewainar è> Varduiw Pauranei ce* oré>
Hwsvna oatt-ila porté aaiéasarmaaifr saur le* iretsaex /na>
* On iv as**z dit et Watété antar £oaunu(ruta quw i'ûif*»é«
v F rame» éèjMtnmit MW mtitiaa. l'owq«ai- n*
vttav d* faadcam c»ot pèseacm naevépautesy qn'anepair
: a. fait. iiifiiM t m
Cbronte envoie; h rasiîr vossl dVte ranlilé-comawrm-r toal
dr même ii dr^wner les» ilUtasmaai learpéia» trsueii» '
LISTE OES DÉCÉDÉS FRANÇAIS
eu tefi'itoire occupé
rEI.LF.RIE9 (Nord).
7 ao&i 1011. - tiïrh'inçtm Adèle, 71 ans.
M omit llfl* — ï,«nue('.lcfiTtfe-//cnn, S* ans,
9 septembre MVti — Ci«r/fl«t lilarcêt, 7 (o«r*.
11 septembre tBK, — iO'tiHuujï Augustin K an*.
13 seplcmtitf — fouis Ckrys&ttnm-Déstrée, 72 an».
15 teptrmtrrf 1014, — Quelaer Prunçoti-GIlbert, 1 on |<
29 jpplrFiihre -HH*. — {tssclaer Albert, i an,
30 scpttimbrt HUt — Pctbacq Portund, 33 ans.
2 ociobrc CHV - Wc7wn( dditina, 77 oriJ.
fi ocfohrc tint - r^imo^rl Zéphir, 4-1 ans.
12 octobre Ui*. - Cortatcr Agiaée-Cêtine, 73 ans.
18 octobre luit. — Oumonf Louùe, 6S ans
25 octobre 19(1, ~ ftfaircsea /lniome-Jean-Capbs/f?, 53 onr.
19 notic/iiô/js mil. — 6*andrurf Aiiutphic, >S0 ans.
19 novejitb'f- I3rt — Wupiui Louu, 119 ans.
29 "r'lT'"ft"* l'J,L — PUtnarii Constant, SI ans.
I" décembre — t.acat tîmite-Jcan-Uaptisie, 78 ans.
5 déccfii^fc OH. - f^wnMof Uriule, 67 ans.
28 dàccmhr,- i'iti — .Iffoi Marie-f^jtnae-^lerfiJidrr, 6t fins-.
23 décembre Vtkt — <'Mtlrd tppollnc, 78 ans.
30 dÉtcmbrc ('Hf - ffffff.t Kiiu'b;-/e(in-aapijsïe1 58 ans.
30 dêccwhrp I0!i. — Jfluninvx Constantin, 79 ans.
li fflnjtîcr 1M5 — fjtgnrau Emile, «7 uns.
15 février — frmefonf Marttf-7*Wrr,!(î-D(*rir',e, 99 ant.
SI lévrier 1 î»l'î — Uuite ttraest-Jean-llapliste, 50 ans.
80 trtflf.t Mt — liaioméc AtfrYd-Jean-Rnptisto-Lnufs, Cl unr.
8 aurif ISj.'j, — Ansiaux Blnte, 66 ans.
M ttvni [»I5 — hnmtaex Cécile, SI ans.
1" mai lfll"<. - MxmH hrunoms-Jean-HapUste, 65 nns.
13" mai 1916. — «eurf«r MarHal, 7t ans.
Î3 mai tV8 — Gaulfery é'tnle-Jc«n-Hnj<f'".ife, 77 Mat
tfuWrf 1015 - 4pptmcourt Alfred, « une.
3 futllcl lill5 — fiiiilmm r/'inifc'-Lniifr, 77 tinf.
1! prMM MM — Smbnen' Vtctar-Atwé, 55 uni.
tll (Mi/lrt ITMS. - retjnei rVmtcois, 80 ^ins.
1C ivtltei MUS. - Ua tbtth Lunen, &r> mi.
5 scj>fritibre IftlS. — tîadbitte ildi'phonse-f'ijnUe, 5 ruiv
2J septembfe 1015. — liûdb-.Oe t'avitis t'.tiqaid, 14 >in*.
I* aciobrr (915. — Tarnaux iulia-iWurta, 71 un*.
FLAItiNLS-iS.y.-0iIVÏER3 (Arr.l.-nu-s).
iï nttuiinire i^te- — flourdun Serge, a mots.
ai) (u M u iiji '1. — UUiterieaus Ovide. 73 un*, propriétaire.
■J mui>i ir(iû. — Carnins-iwin Vtronitjoc, 78 uns. oins piv
t-eUm.
rONÎAIWE-HOTïlE-DAME (Nord).
Ui 101V - laaijtcmai t Miène-Aïuiée, I mois l.
21 aoùl l'JiL - l'atmcttiux Joséphine, liS «ni,
22ir_.iK Itili — tirUa'ix t <ono-Lucienne, i mots.
Vbatftemkt* l«W. - Caquette ÎJtie-Maria, G mois.
H srp tenait 'tait. - 9*lsmqvi hdu-nuc, 84 art;'.
16 seplcmbfe hflt. — titdivum MvUc, 1 fa«nL
20 m'pl. iuî.;- Uatfc — fa 'i ^eaunat, (A) ans, fourmilier,
8 (v/,)f(,r Ktli — ?a'.'> htui MUf/s 1,1 w<i, 65 unr,
UU'HIj/ll».
1T. mMi;-- Ml1 - Capfttr 9i-.'/i.'.!»,», S.\ nrs, ménuy^rr*.
21 o-t.ifjie i^ii t'ftuvut1 1 il-.iMl-Tottsswnt, 62 an*, jour-
MeftW
— C !i hw'h Rmtt» Alexis, 37 ans, four-
WnrtMind j-V tr>r; -h-Joseph, 8! ans.
nat et.
I" détemfit
14 dénombre tittt. — l*m*Hiaitdt- Denis-Henri, lâs «nj,
lournatoer.
M décembre IM4 — tfrrijnieovsri Lo in-tofepH, 8f ans, toit-
leur d'Habits. ■ ■ r
4 janvier 1915. — dfcaranrire Hubert, 78-aru, journaHer.
16 januicr 1015. —Sain £■; LcopoUl^ ti-t ans, cultwatcur.
17 lufujusr tytû. — litsttt Itmrt-J&iH'liiQyU, 30 on*, uo«laji/;eT.
19 januter IÙIj. — Jac'(wflifM»rl Pierre-Joseph. 83 a*** cutt*-
uaietir.
24 fantuer 101S — Gra^pstaenn /'i/w, Sat mis, ménagère.
6 février 1915. — Bouriimi Eva&aâ, 54 imm, aMtnujére
6/if»ner 1915. — fiintctiiL Uer.iM-Françuu, ù5 ans, cultivateur.
15 février 1915. — Faille JiL/te-drnétte, 71- an», ménagère,
février 1915. — Cruion Uoialic-litlsab., 74 uns, nuînajdre.
10 riia;-jt.l,l|i;>. — Ji/dju^murt Herrunet, b-mots.
14 murs IW5. — (-onnulie K^tutn, ï ans.
H mars l'Jtû. — Hornuint! Itorru-la*., 63 ans, oi'Uivatew.
18 mars 1915. — Ptnniiatuie Charles-irenn, 14 «s», couureue.
19 mars (915. — Cany Lidsx-i aiherma, 7» ans, ménagère.
5 uiu'rt" 1915. — ItOMChm (Iregotre-Freslénc, 3 'iils.
18 avni MNOI — tibh-d Alfred Henri, 4 ans.
t mai 1915 — Obled Narcisse, 82 ««#, in<i;ittfférc.
8 mai 1915. — Cul l'Titnrnjs-Ji'nn-IJapl., 5* anj, fourniRer.
13 fnoi 11H5. — fiumrf Jmv-tlnptts'e, 76 ans i<wrnalter.
22 mai 19IÔ. — éKi i/brr /' f'ivic-fl-ftine, 63 ans, ménagère.
31 mat 1*15. — Trttineinnt ' Picrre-Jfysr}>h, 57 ans, maçon.
31 mat 1Mr>. — (itinse^t f9r*;rr- \ilri nds', l>* uas, ménaadre.
13 [«in 1915. — thrt"n» A^f**e>, 73 nu*, mu natter.
21 jtrm 1915. — C«ron Julm, 1 mois. - ;
12 juillet KH5. — Cri* fri-^:inr-1'tnlorni^e, 61 anr,
m<1mi'Ktre.
5 aodf 11)15 — CnifRç? lulw-Ctttlvnne, 31 un*, mdfiaffére.
28 (*orif 1915'. — rViffiMt ><»'.-.ip>i-Fr.T«çtrt*, ti moinV ['
3 septembre- [915. — Oimpinn fïffnd-/^His», V urrï. 1
16 septembre 1015 — (liclf,» Vatevt>n, 50 aa-v, secrétaire
de rnarre.
29 septembre 1015. — M.'«/»s* V'*Jfc»rtf-d4i»e,e, 60 ans,
ménafère,
13 oefoirre Î9J5. — FVmwifi! !!?,*ri-t.ntti*, 67 ans, cordonnier.
22 octobre PU', — Mmttier f.iuttnt^Mnrta, titans, ménagère.
7 nwFflfuf* 19.". — (kuthn't Miirtc-Jos«plt, 68 un*,
asj|BBBajfaat
rOUFJrHES (Mocd).
2 août n)i '1. — 1ntf;t*îe FrttlérfC-Ui^n, !>o ans, /ifeur.
3 aoûf ioVi. — B»rnra\ ï.éftne■Kalandc-JtUirnne, i% ans,
ffMluii-
7 aoflt 191'j. — fTnras Finnine-Maryneritc-Joteph, 74 an»,
méniifférr.
10 aotlf 1u.1t,—Pnnwrt Kiwlc-Valéry, 3-j ans, contrt-mattr*
de laminoir.
ta aoât ini4. — Jottniottx FuUlonie-Auguste, 80 ans, sens
profession.
10 août igrft. — [fonnaire Thérèse-Joséphine, 86. ans, sans
pro/csjinin.
11 aodt 1 ça s 4. —i- Lemaire Crtnslance-Mélanie, 73 ans, tans
profession.
12 aodt iqi.'i. —Cornil Juiet-Omer, ao ans, rortaebear.
i l août igit. — Dountau D^stré, 78 ans, ptigrvear.
16 aodt j g 14, — /fermer Cécile-Joseph, 70 an*, ion* pr9*
fessier».
16 aodf inrtf. — fferouart Clément-Fidèle, 4i ans, filessK
16 août inià. — Berger Victorin^-Joséphine, 7* an*, son*
prn/iiitaBi,
17 aodi iç}ifi. — Boulanger Jutes, 63 ans, employé.
iy «od( nji.'i. — Brihuye Charles, 69 ans, compfafrt*. ;
a* a&dt 1 çj 14-. — Franc;:»'* .M>:nsf/c-lfarr«^ » n****.
a: aodf ir)li. — Copain Kmilc Jnsrph, 68 asw, t«w f*s>
/curOIT.
ad-aodi igj'i. — ftewelde EÎT:irr $farie~ITenfii!ttrt £3 «ru,
ménagère.
37 août iqi4- — (Jf/ciuw*/«k l_riui*-f;tiaj- tlsraWar» 7#.flny,
3«nst nrOrtsatsiH.
Ssvaowé 1.51— tannées Henri, i* asva. wsnwr.
/l jaatcmiw «gtî. — flrfrawr)» Uiwre-jsadwilff, 70; ans, srane
pro/nsKMSr.
4 sepfembre lyi.fl — lyemhirr JHles-fotamh* 9$ aies», wsu pr«-
fcsswn.
4 saptmiarc igi/i. — GuHhny Pîerre-I&ni-Germain* g anj.
6 sepfcoibre 1914. — Bisîcu* dnd'rr^, l\ mois.
(i sa*dcmé>r* 1514- — fJo/jorguai Vteaaeians. 74 an*, mofe-
lassurr.
7* teptt-nibr? igift. —Ssudmri Yictorten-Hésirt, 6o> oaur,
trieur de lame.
ia saptembre rgi4. — Porfef Cêféstm-Krnesf', 70 «f*e, sans
pnofùssion,
ii japtar.Drc *r>i4. — Curftj: icnnatc-CaroHae, 35 atu» wenr
de charilé.
i3 seplemore igi4. — CéfÛP ffcnn>ffc-Sii:nnnc-.1dtffe( 6g
ans, ménagère.
i5 septembre. rgi5. — Conon /Îenfld-Cfiarf^j, 1 an.
15 stplntrbre igt4. — /Vtif /Iripeêma-.lugiwia,. 77/ on*, >«*»•
profession.
16 jcpfembre 191/1. — Valant Roger-fotsph'ISsiauaArd, i3
j'o»«.
16 sepferwkri* ig»4. — Suaire Phitvmène~Blt**f 44 eftsy Mé-
nagère.
17 f.*pfcmfiri; igt4- — ITorn iïrntst-Rolifrt-EdxHi-tfi, !W rtnt,
trsfirmier,
tj septembre- igi4. — kcelereq fio^Htrl-Famond, > miMS.
I7 3fp(cmfjr* igi^i. — UilUi Armarxl-Gutteate, ) ww.
ig septembre 1914. — f-e (îo// Jp»np soM^f rér-ratalr ou 71*
régiment dfinfanteite.
20 septembre igt4- — Dupri Classe, 58 m», m/'trt^re.
ar septembre igt4-— f-apof )e J canna, 1 au,
a4 srpfrnt/ire igi4-—Codmant F.lic-Jaseph-Ctusttoe, t
a4 septembre igi4.
sohk profession
a4 septembre igii.
na^ère.
a8 septembre rgi«. — ^ffioume Cftar(M-4«oui«(in, W aiu,
/lirur.
ag «pfrmbre igro.
m/.nagère.
5j septembre- rgi4.
(acnrur.
3o septembre tgii. ■
71 ans, dvrnrttique.
ï octobre tgi4. — flertauar dntorne-iojepft-Lottb, 84 an*,
sans profession.
ï octobre igt4- — Lixon Jean-Baptitte-Joseph, 88 ans,
.tan» profession,
4 octobre iqi.'j. — Hennièê Henri, a8 on*, toldat an gi* ré-
menf d'infanterie,
5 octobre igift- —> /fOutanffn Joséphlnt, Bfi nns, ion» prt~
fession.
S octobre 1 q 14. — Herbet Augustin, 88 ont, Ituevr.
8'octosrs igi4- — Cartier ITfmlM, 05 ana, ménagère.
II oetobre igi4. — Bry Marte-Déslrée, 8t ans, ménager*.
11 octobre igti. — Boulet I.lst-MarymrHe, sa ans, sanV
pneus*.
■ï petobre ipi4. — Cotant Julien, if nnJ, MM profestUm.
Utunois Yictoire-fiésirée, SC «ru,
- Denis A!arie~Jat*ptie, 76- an», 'n-éna-
■ Bertrand Murie-Adolphime, 64 an*,
Cfcapxat 4(bert Henri, 14 ana, roi-
- Trodn /rw-ffaptofe-OIMer-ftonsJd*,
i3 ociairre i*as«> — Lcctif Ctaite-tilaoeh*, an ans, ilsseasm.
16 ootobre iex4V ■— Caréaiisnl Hensi-UeepK 7.7 ans, satm
vf acioèmr sgaék —Satsed^n, Âag.ute, 56 on*» tisseur.
ia> oatesare iguév — ftsaalaàHe ,Weri*-f-a»i.«-W*'I^/ïar 5a aaay
àr octobre igi4. — Bostien AdeU-ScholmtUjue, Sït(insr son*
profession.
aS ofcio*»re iui4~ — SfocA /nfevdfcnd, 74 au, cordonnier.
a& œio^/c h#i4. — Desiey Nicolas*,. 8g anj, manouurrer.
38 octobre Kiijj. — Braeq Auront, 60 ans, ménagère:
4 novembre igi4. — Gravez lYarciwse-Aimé, 81 ans, son*
profession.
4 nouembre igi4". — Mnnjoe Césmeine-Jnsmphine, 76 ans,
sans' profession, •
s» ssoews* w >n«4h — Ob i>*ujs. JCrswat» a^-onav tiaas b»k
lat-noTi—é m igeaV — Vrtnux, ui/ont mort-né.
tj nosupsttwia is>a*>. — flittry nlasastfaer, a «an, -
isY novembre ig»4. — Jnwwwas* Juane» 4V asaaie»
ri noaemb rr ia«é> —- HeifaetJults, 5<jt aea» eonaMrgfi.
i5 novembre 19,1.4. — l.ci'ux. lfan-liaptuie^Désiri, xt au»
(i*soi**i*s;iie.
18"novembre 1914. —■ Leeompte Plerre-Jôteph, 66 ara, ma-
■ Boury France-Arthur, 1 moit.
~ Armlmtn ietsn^hMUwsmse, 54*o
■ Boufieau CVlejh'n-E'iJoaflni, 74 ans.
ig noremfire igi4- -
29 nnu*Fnb« ifjj4.
nsmonenr.
11 novembre 1914.
epîcif r.
» n t^marr 1 r)r|, — Thomas, tnf&nt mort-né.
as novembre î^raU— HeutOtar éasotraor-Dr»», 8evnn*v ***»
nro/asasnpw
2i noewiretar rni4. — &oaHnnt* Looien-t'rrtnrwx» 50 on*.
d**>»*enl.
a4 novembre igi4. — IValrem^ FranmuitrJnben^ am,
sswa nfeaesaaonk
a4 noirmbiT rgi4- — G&u Aheé, .'S ans. papetier;
a8 nooembre igi4. — llérnr Jetm-lîaptiatr, 77 1*», s'iii*
pro/«9arn*i.
ag novembre rg i4- — Fmseè Ernest, 5s> ona, frieur.
30 noodinbre- iffi4. — Huai, m/nnr nmrt-n*.
a décfnti-re igi4- — /ftiiWrt iMa«e--f.éontii«- tm^hf, fia an«,
m^snsf)>>rti. .
4 derambrr if)i4.— fiVrvjrrrl M«xu;i;/f-n 11 i Si ««,
sens nraéraaiorc.
6 décembre 1914. — Buvdier Jean-Baptiste Alcide* 7! «•»,
son* prvfestiomx
7 décembre ig»4_ —WoaseW /feetor-, 5- ans. caiffear.
i4 déeembra tgié. — Failcur Swçtîatr, 87 nn*, MHH f"1-
feuian.
ii décembre igi4. — Danis. '/.itirr-Sop'ne-i'Utru:<-:i: ^
ans, .'•uns profeeeian.
18 décembm i«i4. — J'etu H«>ui-trrmtwWTarr-*, 6Û-un»,
indu striai.
16 décembre. 1 q 14. — t.tfeort ftenri^.iislave, 20 a-:*, r*i-
(acft«i(r,
16 décembre 1914. — ttégc*JaUs>, fio an%t, aaas|paWM
17 daeembr» 1914. — Uardy rbeopbife-Cemt7f*, 7» ans,
journalier.
So décembre igi4. — Gourdin Anmineie-Caroltne, 65 «a*,
ménaoér*.
%w, décembre igi4. — Demeaax Marie-Berthe, 3J ans, HtV
nager*,
il daeembr* iSt*. — Lectereq* Alsxmndrt-Viciar, 6* am.
fit jiuwre.)
Grand Quartier général, 8 mars 10!C.
* ThédO'e de la guerre à l'Ouest.
Contre ia position reconquise pur nom a l'est de
la ferme dite «Maison de Champagne», les Français
contrc-nUaquèrent hier, tard dans In soirée. A l'aile
oueït le combat. * la grenade continue; à part cela,
l'attaque fut facilement repoussé*.
Dann le Imt d'améliorer le contact avec nos noi-
Telles Ugaes, avancées sur la rive droite de la Meuse
jusque sur Im versants sud do la Otite de Talon, do la
Côto de Poivre et du Douaiimont, les posiltons do
l'ennemi sur la rive gauche du neuve furent enlevées
d'aaamut des deux cotes de la rivière de Forgea, en aval
de Béthiiironrt, snr une largeur de 0 et dans une pro-
fondeur dépassant 3 kilomètres. Les villages de Forges
et de Hegnéville, la hauteur de la forêt nés Corbeaux
et de PcttUCumières sont entre no» mains. Des contre-
attaques françaiie» contre les lisières sud de ces forets
turent repousse» avee des pertes sanglantes. Une
grande partit) des troupes qui occupaient les positions
prises snceoinha, un rente de 58 officiers, 3,277 hom-
mes non Messes fut fait prisonnier. En outre, 10
canons et beaucoup d'autre matériel furent pria. ,
En Wo*"vre l'ennemi fut également rejeté hors des
dernières maisons de Fresncs ; le nombre «les prison-
niers fait' ici s'ett accru à n officiers et plus de 700
hommes : quelques iititrailleiist-s furent également
prises.
Nos escadrilles aériennes bombardèrent des loca-
lités à l'ouest de Verdun, où des troupes étaient
cantonnées
Théâtre de la guerre à VfUst.
Sur plusieurs points du front des attaques par-
tielles russes furent repoussées. >
La voiô ferrée de Ljschovitchi (au sud-est de
Baranovilchi) & Luninicc, où un assez fuit trafic fut
observé, fut attaquée avec tmn succès pus no* avia-
teurs. •
Théâtre de la guerre aux Balkans.
Aie h de nouveau.
BULLliTINS OFFICIELS FRANÇAIS
Rirte, t" mira 1*16. soir.
fin Brique, notre arbtllcne, do concert avec l'artillerie
britannique, u C"**cuté des turs efficaces sur les trnm-hée»
ennemies au audseal de Uoesingba.
A Vf-1 d.i Helioa, un détachement évalué a deux com-
pagnies, q i lenla.il d'ahorder nuire ligne, a'est enfui sous
noire feu, rxbatHH des- mot ta sur le terrain.
Dans in régiun de Verdun, aucune action d'infanlene au
eoura do la journée. I.>- oumbar dénient ennemi a continué :
à l'ouest île lu Meuse dans I» zone antre Maloncourt et
Forces, h l est de ia- Meuse notamment dans les régions de
Vaux et de Daiiïtoun et en WoBvra sur nos tranchées de
Fresnes. Notre artillerie u'eit montrée très nclive eur tout
l'ensemble du frout enoemi.
À l'ouest de Pont-Mémisacn, nos nonon» de tranchée ont
bouleversé tes organisations nllemacdas du bois Le Prêtre.
Notre artillerie lourde a bombardé des fitubtisseinenls enne-
mie dans la retpau do Ttnaucourt
En Alsace, aclior.3 uasc-z vives de no» b.ïltrncs dms les
vallées de la Fécnt et de le tioller.
Paris, 2 mars 191Û, 3 heures.
Eu Ai : -m*, & l'est du. rttemm de Neuville a la Folie, nous
fcvons (ait sauter une mine auua uq aucien antounoir qu'oc-
eupait l'ennemi.
Nous n sommes emparai du nouvel eatonnnir.
Dana la région de Verdun, l'ennemi a bombardé violem-
ment au cours do la nuit, le Mort-Homme et la cote da l'Ois
(entrs Malancourt et Forges) ainsi que les principaux pas-
sages de la Mause.
En Wofcvre, après une intense préparation d'artillerie,
l'ennemi a dirige, hier, en un de journée, une vive attaque-
sur no -. positions de Fresncs.
Il a êM rejeté auaaitM par notre contre-attaque des quel-
ques élément» ot> il avait pu pénétrer.
En Lorraine, un bombardement rte plusieurs heures sur
le ferme Sainte-Mari», à l'ouest de [ïeztinges, a été suivi
d'une attaque ennemie qui a complets ment échoué.
lin Alsace, quelques tentelmis dirigée* par de fortes
patrouilles allemandes sur nos polits postes dans la vallée
d« la Laucbe on! été repouasées a. la grcmido.
Paris, 2 mnrs 101G, soir.
En Belgique, tirs de destruction de notre artillerie sur
les organisations nllenuiridca h l'est da Stccnstraetc,
Entre Somme et Oise, un ouvrage ennemi a été détruit
pas nos batteries ttane La région de ltaiiTrai pries.
Eii Champagne, un avion allemand ranonné pas nos
batlerie.t ù pruxmiita de Smppes est tnndjé en Hommes
dans Ica lignes ennemies.
En Argonne, nous avons exécuté des concentrations do
(eux au nord de l.:i Hatesëe et sur les bois de Cbeppy.
Dans la régie** au Nord de Verdun et en Wolvre, l'actt-
vité de l'mlillene ennemie, un peu ralentie les jours précé-
dents, s'est eonsùiéreJtieiiu ni tiecrue iuf cours de la journée,
sur tout l'ensemble du- front et principalement sur le
« Mort-Humme », la côte du Poivre et la région de Douou-
monL Sur ce dernier point, ip- hijnibRrd^m^nt h c-tii suivi de
plasieura attaques d'infanterie d'itne estr*me violence.
Cette série d'nttnoues a été refoulée par nos troupes, dont
les feux ont décimé les range ennemis. Nos batteries ont
riposté partout éncigir^uciueiit au bombardement et canormé
les voies de communications de l'adversaire.
Au nord-est de Saint-Mihiei, pièces a longue portée
ont bomiiurdC la yare- de Vipneulles ; au* dires de no* ob-
servateurs, deux inccndiu:. se sont rtéebu'és, plusieurs
traîna ont étu atteints et une. locomotive u Tau. explosion.
En Haute-Alsace, grande activité des deux artilleries
dans le secteur de ScppniM
La '/lierre tièrtcnn*. L4 ,■.) 1 diTM*«re, imo âe ito» cscadrillita do
bomti*rrfcin^»t u lance (um#*itli-«iiinire onw» tlm Uhim r alibrc» sur
In g»n dn (^lantafcnnv qtu pjpmà Avoir nul»» d impoi UuUt dég&ln.
Malar» uao vive <'M<MifK*fe, no* j«k«ha mm»! reiHié- mdnmmesdnn*
lu» tuuicn.
Dans la journée nos avion» ont également jric quarante obtu
■ur In gnif tla Ikuit^larC 04 m ni m li suc les ujablisscmsnU
ennemie dWwïtwmrt,
I'jiib, 3 BUM W», 3 herWWB,
Dans hi légion au nord de V'eidun, le bonil-ardement et
lea attiiuues de l'enn«u« o*iî cQnlinué peidanl toute la
soirée d'hier av*c une violence redoublée d.in- le sacteur du
village de DouauiuonA.
Après plusieurs tentatives m Truc tueuses, qui ont été
repoussuca avec da crtieiks pertes pour eux, les Allemands
sont parvenus h pénétrer daus le village de DouamnonL où
le combat ennUnae achanné;
Un peu jyiui» tarda:l'est, le Village de V.iux a été altaqué
vers- la même i.curc
Lea assauts dirigé» du nortnest oui été bmes par nos
tirs de barnige et nos Teux de foiU'aiUeuaos.
L'ennemi a dû se retirer, lûiasaaé dans nos- réseaua 'de
fils de fer uns glande qiuuitiLâ de cadavre».
En Woëvre, Inc-r,. eu im de wurée et ou cours de la nuit,
le bombardeiucnt est toujours très 1 ait usa, mais, affrété
par nos tira de Liartaje, 1 cniéeuù n u pil débuucbor.
A l'ouest du la Meaae,. activité de i'iurtdlei'ie ennemie
dans les régions d.; Maluncotut et d'IIaueoucL
lia Lorraine, da«s Ut. regmi» au sud. de la> toiél de Pttrroy,
une faible attaque a été diseer^ée a coups de fusil! et de
grenadee.
Par», 3 mac» 1910, soir.
En Bulgique, nous avons bmnbntdé lee catitonosments
ennemis de U rtginu de I^uj^l-aiatfk. *■ 1
Au nord de l'Aisne, une forte patrouille qui avait attaqué
un da nos petite postes a été repouasee avec *>s pertes.
Notre artillerie a exécuté des tire de destruekntn but las
ouvrages allemand* a l'est de l a N«uvilic, su* de P.t>rr7-
au-Boo.
BU Argonne^ notre arlilkiic ô'c ! jnonleée trte arlivff-et
a bombardé II A ligno* ei'neun--?j h U rttl'e-Morla et au bois
de Cheppy. Nous nvoos tait aauler avec ati"cc» nn ramoa-
net à Sauil Himert
Dan» la région nu rn-ri t> \ erdun, la luWe e^t1 trfs
chaude prés du village rie Douaumont ; nous tenons la
partie boute do («awiclan- su» 1,1 pente nord utiqiMû it se
trouve. Une vive contre-atfut]KS, uWllsebéé par nous, nous
a permis de regagner du tcrroiu aux aboids immédiat? du
village.
Lo bombardei.ic'iit s'esl mamfirm très vulenl a l'o'iest
et ù l'est dr. la \teuw, ..u »v qu ut Wûevra Noire artiilene
a exécuté des concentrations de feux sur des points de
rassemblements ennemis, M&MttiiMlrt a- psosinidé de t^au-
mout, où. une colorme f-ii maietie « ilo disp 1
En Haute-U3.wf, rtmis nvo«a i.u-enté uno attaque ù-l'est
rie Seppoia et enlevé plii^ieuia élcinenls da tranchées alto
mandes sur la nve druiU d.-- l,i r.i.miîC-l.ru^ie'. ffhe eontrp-
altnque de 1"- eivmi a "ti- inj 1 nt-nte a t>'">"-"- delo^w do
terrain "«ii'jwn
Le» hombvirdf'Virt.t, qui ■.' si m.md^ui ■( "hf au
ceare de lu ntul tktu* les difiéiefiK •ei'tfltua de la ré^iwi r.te
Verdun, n'a-été suivi d'iowune ueUon d iof..ntttrw: eniiemiu-
Aux Kpar^cs, riiHlS avons empêché Vco> eau d'm i^gK
un entonnoir produit pur l'cxpi. «ion- d'une de so* mines
ltïen à. Mgi:aVr ;>ur ic i f-de du iioot, en d. I.uru de la
canonna<to rntbitutlla
FAITS DE GUERRE
. LES COMBATS 1U NORD DE VERDUN
La meilleure peeuve ilt* l'énonrement1 et de lUiterrttiuilc
où se trotiTpn* le» BrfMMi (*fiT*icle MMlntt p«^ r-tpporf met
intfiitions iiUflmiMiilr» nt ;\ Mn^tVMHIHBI Jf* a*W.è> rrn«|»»r-
tà» par fitrîTiêe, *i prtncï impfrmi, ucn» la lwii\«w dans
le verbiag*» UwteHK» d<» 1 ,»tbitpi'aHJiiie* réd»i;i'i ci mimndtu
OÎIloioJjflUi ni l*n VWt d/lII^HW-WOWIKT 1 ojj1hk.H itlJMg^Cr.
Ce* radî».^-r,*m«y« >-(îu!erit d^p.msitnt nrMiklIr.nwnl; m
fwklaisia le» pi«* éteinte» m'tietHi» pft* le « iJéw-rxr rrrro*^
pectif ■ de la « Gabelle que nos lecteurs trouvent régnv
lièrcmenl i n qualrieuie■u*gr efc q«fc'il k»r wiffira deronsulicr
pour so faire une idée'le la valeur de ces. informations de
aourre parisienn'j.
L'r-vcfliir (WniuiUn-va mie foi* île r4iui 1 iu^mUi d« (i*nié-
tboées. Le johb vicntlr», où ia. ptihlu-iUon do I» toH^ue b*f«
des priBonmecs franeaut fiwl» itasis lr* rouabals cm qiM-sivm
démentira toutes les dénégation»- p4tliJie«» i».cc nvjmt.
Quant aut prétendus a MCTW h de g) îtonixicrs uMem.-Hiibi,
envegjsti'és p.ir d'habiles et im.ngiB^tîfs quislionuriua, et au*
evaluniion* falmb-iiac*-. de» perle* aUt-maaukw,. cas pesi*»
a- mOAcns » paevieRdMint iU, onc foi» cnaoov, ù Icnvrer le
jpnvbUe-r nie jour oit In véi*4é nppftsaîfra, laodvnilbiMôw i*en
seea que pliw enislta'.
IB y ai à l'.iîi.-i nti'me. itr* Itvtiaioe* (yui le ■ nlmt et le
craignent, et qui voudra»r4 léogu* loutre oc»
méthodes qaii conaianénl à (erenee les yt-u* m face
réalités.
En tête du a Jotuenni. h diavfii uum, M W sénateur
bert CBitiqu* ^évèiuimcut l' h opMmWoe Ik'mI
ciens de la guerre d'usure. Il écrit :
« Oifc soiOnJa, le» theou jcteMe-. de l» gueera. iL'uâî
ISn^-an iiL [ior L confondre aven la gufMre iL'marti*»»
IO Mars
« Les lourdi canons, dont le tonnerre ininterrompu r6-
sonne autour de Verdun, ont Raie en mines — pliu encore
que les murailles de la vieille Beetercss»— leiiri trop faelln
tkéorie» et- laars dattajerruNCS lHiisiona. Et, ces ruines-là, '
il ne faudra peint les relever.
d Chaque jour nn nous annonçait l'épui-emenl prochain
de ("Allemagne Notre- farouche ennemi^ ivre de confiance
en ta force, devenait;, à oatendaecea prophètes, une maniera
de malade atteint d/nn mal de langueuo dont nous n'avions
qu'ft lo retarder monriv. La viatoire étnit une prime promise
à la patience des Alliés.
il A quoi bon chercher, peiner, combiner, tenter, ill
suffisait de savoir attendre P Et beaucoup se faisaient \
l'idée d'un monotone stationnement tout au long du morne
front, creusé de lignes successives de tranchées, herisié da
fils de fer barbelés, — jusqu'au jour où l'adversaire formi-
dable tomberait de consomption et demanderait grice____
« Ah ! comme tout cela est loin, .après dix jours de vraie
bataille I L'attaque sur Vcnduo* préparée os* stlance» dé-
rh*înè-l- en coup de foudre, raanf-ne las espnts 1 d'autres
imago de guerre, plu? |it»ajiianaes ot plu* vraast L'amie
nllemaudc est toujours là, forée formidable d'offensive, dont
les moyen*, loin de faiblir, se sont aceras. Et les m«m«
qui ppo<' la m tuent hi<*r rin»iolal»tlité de» fortifications
loni'nenicïil at-cunwléiiî sua l'imrueoa» ligne, lùnnptp.
swiiué, ptmr l'un, caisune poux l'a u tac des belbgéranU, de
u perce* », tombent aujourd'hui dans l'eitréme opposé, et
voient dcj.i se (te^mer. par Vrrdun, une meiiBce- sua
FVml____
« F,' \lu*>iiagne applique le vani praneipe de gurar* : fs*.
lion. li m,'est d« fesee; il n-'est d» vie, it n'oafc de, possibilité
da vaiwere. ipja. dans. I .iciion. L'hisloire des siécLcs. noue
apprend que les peuple-* qui rcne-occnl, lea armée» qui subis-
sent, bt* chefs qui acceptent, n'oat jamais» été «ctonau»
Le ■sroeè* vs> awt »edo*nFiw, à> csnur qeri. ne a* eentenlent
point d'un i ■■ ■■1i1.it paxtiesy m» imaanlestLesv ajai swlexfe plu»
et nwiiii, .ibï ehocchdiMs, aux inapaiicnla, aax a«dentn\
pour (pu toute minute est une. occasion d*efloTt, ite FravahT,
da création....
» Pfr dispos» plu* que nuire atnbititM» drui étVe de
11 tenir ». Vsnv Bl« daté ûtrer d' k agic »----»
La- H ftalaillt » partage Tasis- de \f. ITumnstrt, en éer».
▼anf : *
(i, La. m -noriU nuanenque qui consiiLu*. puaUVin, un
appoint sérieux à notre- avantage o/"y fait rien : notas rcsis-
tena, nous, paroi», nom frappon» qTiand ai» nous- a frnppésv
mer* l*snit»ili»« de l'aetw»*»- semble jaeqni'iei tencfcsiviié'd»
L"Mtem<Mer;e. La> comtataston wesa- pna sans- éosouvoia csnsas
qouv cesuane ,U. atulaxd, rapoclumt que la Eéajlesaeai fcao>
gaàa dib s«aviec da» armée» an campagne dit : a La* avec**
h la guerro ont toujours dW remçoit** par le» gr^néraus)
(mi ont voulu et cherithé 1» baéaitle": Gao* qui- Comt taussa-
aatfe tsuijMtsas oat Taînean» Kir pawuyst t-'inatiaUee des opéra-
tssunv on> fasfc anétsat le» **é*iacieata aat lieu de tan *wbde h
Ln> i«KUs(iiioktcv ht vumlesce, L'oiuknatMwi- des alUqaca
.u..nnn.li'i n-m..i>giieiit ebex l'eunetna d*sine \!tslitc. d'une
.'tu.uee. d'un capxit otTenaif qai hurlent rruettyre- prn arve
les afTrrmations tant de fois servira* (fans certain» jeemaïav
d'une Allemagne à bout de souille. Un se pceînt t> mm
demander pouonyas» ht -on- rWaïUS naaaérnnaw itnatf car pare
depuis des ia»îe> kn> Allié» (-fspèche ceost-ci d'intorv«vti« bac
réins» ut de a tmwtr imitrr iea> svnnnrmnisn as» lieu* do les
, le généref Perret porte ce coup dreit
Dans f* « Bcfbir :
aux Anglais :
d On u certewierncnt préh*é eSr» rwujM» se* routa réiîn-
due dn fnmt ptmr tantewainar è> Varduiw Pauranei ce* oré>
Hwsvna oatt-ila porté aaiéasarmaaifr saur le* iretsaex /na>
* On iv as**z dit et Watété antar £oaunu(ruta quw i'ûif*»é«
v F rame» éèjMtnmit MW mtitiaa. l'owq«ai- n*
vttav d* faadcam c»ot pèseacm naevépautesy qn'anepair
: a. fait. iiifiiM t m
Cbronte envoie; h rasiîr vossl dVte ranlilé-comawrm-r toal
dr même ii dr^wner les» ilUtasmaai learpéia» trsueii» '
LISTE OES DÉCÉDÉS FRANÇAIS
eu tefi'itoire occupé
rEI.LF.RIE9 (Nord).
7 ao&i 1011. - tiïrh'inçtm Adèle, 71 ans.
M omit llfl* — ï,«nue('.lcfiTtfe-//cnn, S* ans,
9 septembre MVti — Ci«r/fl«t lilarcêt, 7 (o«r*.
11 septembre tBK, — iO'tiHuujï Augustin K an*.
13 seplcmtitf — fouis Ckrys&ttnm-Déstrée, 72 an».
15 teptrmtrrf 1014, — Quelaer Prunçoti-GIlbert, 1 on |<
29 jpplrFiihre -HH*. — {tssclaer Albert, i an,
30 scpttimbrt HUt — Pctbacq Portund, 33 ans.
2 ociobrc CHV - Wc7wn( dditina, 77 oriJ.
fi ocfohrc tint - r^imo^rl Zéphir, 4-1 ans.
12 octobre Ui*. - Cortatcr Agiaée-Cêtine, 73 ans.
18 octobre luit. — Oumonf Louùe, 6S ans
25 octobre 19(1, ~ ftfaircsea /lniome-Jean-Capbs/f?, 53 onr.
19 notic/iiô/js mil. — 6*andrurf Aiiutphic, >S0 ans.
19 novejitb'f- I3rt — Wupiui Louu, 119 ans.
29 "r'lT'"ft"* l'J,L — PUtnarii Constant, SI ans.
I" décembre — t.acat tîmite-Jcan-Uaptisie, 78 ans.
5 déccfii^fc OH. - f^wnMof Uriule, 67 ans.
28 dàccmhr,- i'iti — .Iffoi Marie-f^jtnae-^lerfiJidrr, 6t fins-.
23 décembre Vtkt — <'Mtlrd tppollnc, 78 ans.
30 dÉtcmbrc ('Hf - ffffff.t Kiiu'b;-/e(in-aapijsïe1 58 ans.
30 dêccwhrp I0!i. — Jfluninvx Constantin, 79 ans.
li fflnjtîcr 1M5 — fjtgnrau Emile, «7 uns.
15 février — frmefonf Marttf-7*Wrr,!(î-D(*rir',e, 99 ant.
SI lévrier 1 î»l'î — Uuite ttraest-Jean-llapliste, 50 ans.
80 trtflf.t Mt — liaioméc AtfrYd-Jean-Rnptisto-Lnufs, Cl unr.
8 aurif ISj.'j, — Ansiaux Blnte, 66 ans.
M ttvni [»I5 — hnmtaex Cécile, SI ans.
1" mai lfll"<. - MxmH hrunoms-Jean-HapUste, 65 nns.
13" mai 1916. — «eurf«r MarHal, 7t ans.
Î3 mai tV8 — Gaulfery é'tnle-Jc«n-Hnj<f'".ife, 77 Mat
tfuWrf 1015 - 4pptmcourt Alfred, « une.
3 futllcl lill5 — fiiiilmm r/'inifc'-Lniifr, 77 tinf.
1! prMM MM — Smbnen' Vtctar-Atwé, 55 uni.
tll (Mi/lrt ITMS. - retjnei rVmtcois, 80 ^ins.
1C ivtltei MUS. - Ua tbtth Lunen, &r> mi.
5 scj>fritibre IftlS. — tîadbitte ildi'phonse-f'ijnUe, 5 ruiv
2J septembfe 1015. — liûdb-.Oe t'avitis t'.tiqaid, 14 >in*.
I* aciobrr (915. — Tarnaux iulia-iWurta, 71 un*.
FLAItiNLS-iS.y.-0iIVÏER3 (Arr.l.-nu-s).
iï nttuiinire i^te- — flourdun Serge, a mots.
ai) (u M u iiji '1. — UUiterieaus Ovide. 73 un*, propriétaire.
■J mui>i ir(iû. — Carnins-iwin Vtronitjoc, 78 uns. oins piv
t-eUm.
rONÎAIWE-HOTïlE-DAME (Nord).
Ui 101V - laaijtcmai t Miène-Aïuiée, I mois l.
21 aoùl l'JiL - l'atmcttiux Joséphine, liS «ni,
22ir_.iK Itili — tirUa'ix t <ono-Lucienne, i mots.
Vbatftemkt* l«W. - Caquette ÎJtie-Maria, G mois.
H srp tenait 'tait. - 9*lsmqvi hdu-nuc, 84 art;'.
16 seplcmbfe hflt. — titdivum MvUc, 1 fa«nL
20 m'pl. iuî.;- Uatfc — fa 'i ^eaunat, (A) ans, fourmilier,
8 (v/,)f(,r Ktli — ?a'.'> htui MUf/s 1,1 w<i, 65 unr,
UU'HIj/ll».
1T. mMi;-- Ml1 - Capfttr 9i-.'/i.'.!»,», S.\ nrs, ménuy^rr*.
21 o-t.ifjie i^ii t'ftuvut1 1 il-.iMl-Tottsswnt, 62 an*, jour-
MeftW
— C !i hw'h Rmtt» Alexis, 37 ans, four-
WnrtMind j-V tr>r; -h-Joseph, 8! ans.
nat et.
I" détemfit
14 dénombre tittt. — l*m*Hiaitdt- Denis-Henri, lâs «nj,
lournatoer.
M décembre IM4 — tfrrijnieovsri Lo in-tofepH, 8f ans, toit-
leur d'Habits. ■ ■ r
4 janvier 1915. — dfcaranrire Hubert, 78-aru, journaHer.
16 januicr 1015. —Sain £■; LcopoUl^ ti-t ans, cultwatcur.
17 lufujusr tytû. — litsttt Itmrt-J&iH'liiQyU, 30 on*, uo«laji/;eT.
19 januter IÙIj. — Jac'(wflifM»rl Pierre-Joseph. 83 a*** cutt*-
uaietir.
24 fantuer 101S — Gra^pstaenn /'i/w, Sat mis, ménagère.
6 février 1915. — Bouriimi Eva&aâ, 54 imm, aMtnujére
6/if»ner 1915. — fiintctiiL Uer.iM-Françuu, ù5 ans, cultivateur.
15 février 1915. — Faille JiL/te-drnétte, 71- an», ménagère,
février 1915. — Cruion Uoialic-litlsab., 74 uns, nuînajdre.
10 riia;-jt.l,l|i;>. — Ji/dju^murt Herrunet, b-mots.
14 murs IW5. — (-onnulie K^tutn, ï ans.
H mars l'Jtû. — Hornuint! Itorru-la*., 63 ans, oi'Uivatew.
18 mars 1915. — Ptnniiatuie Charles-irenn, 14 «s», couureue.
19 mars (915. — Cany Lidsx-i aiherma, 7» ans, ménagère.
5 uiu'rt" 1915. — ItOMChm (Iregotre-Freslénc, 3 'iils.
18 avni MNOI — tibh-d Alfred Henri, 4 ans.
t mai 1915 — Obled Narcisse, 82 ««#, in<i;ittfférc.
8 mai 1915. — Cul l'Titnrnjs-Ji'nn-IJapl., 5* anj, fourniRer.
13 fnoi 11H5. — fiumrf Jmv-tlnptts'e, 76 ans i<wrnalter.
22 mai 19IÔ. — éKi i/brr /' f'ivic-fl-ftine, 63 ans, ménagère.
31 mat 1*15. — Trttineinnt ' Picrre-Jfysr}>h, 57 ans, maçon.
31 mat 1Mr>. — (itinse^t f9r*;rr- \ilri nds', l>* uas, ménaadre.
13 [«in 1915. — thrt"n» A^f**e>, 73 nu*, mu natter.
21 jtrm 1915. — C«ron Julm, 1 mois. - ;
12 juillet KH5. — Cri* fri-^:inr-1'tnlorni^e, 61 anr,
m<1mi'Ktre.
5 aodf 11)15 — CnifRç? lulw-Ctttlvnne, 31 un*, mdfiaffére.
28 (*orif 1915'. — rViffiMt ><»'.-.ip>i-Fr.T«çtrt*, ti moinV ['
3 septembre- [915. — Oimpinn fïffnd-/^His», V urrï. 1
16 septembre 1015 — (liclf,» Vatevt>n, 50 aa-v, secrétaire
de rnarre.
29 septembre 1015. — M.'«/»s* V'*Jfc»rtf-d4i»e,e, 60 ans,
ménafère,
13 oefoirre Î9J5. — FVmwifi! !!?,*ri-t.ntti*, 67 ans, cordonnier.
22 octobre PU', — Mmttier f.iuttnt^Mnrta, titans, ménagère.
7 nwFflfuf* 19.". — (kuthn't Miirtc-Jos«plt, 68 un*,
asj|BBBajfaat
rOUFJrHES (Mocd).
2 août n)i '1. — 1ntf;t*îe FrttlérfC-Ui^n, !>o ans, /ifeur.
3 aoûf ioVi. — B»rnra\ ï.éftne■Kalandc-JtUirnne, i% ans,
ffMluii-
7 aoflt 191'j. — fTnras Finnine-Maryneritc-Joteph, 74 an»,
méniifférr.
10 aotlf 1u.1t,—Pnnwrt Kiwlc-Valéry, 3-j ans, contrt-mattr*
de laminoir.
ta aoât ini4. — Jottniottx FuUlonie-Auguste, 80 ans, sens
profession.
10 août igrft. — [fonnaire Thérèse-Joséphine, 86. ans, sans
pro/csjinin.
11 aodt 1 ça s 4. —i- Lemaire Crtnslance-Mélanie, 73 ans, tans
profession.
12 aodt iqi.'i. —Cornil Juiet-Omer, ao ans, rortaebear.
i l août igit. — Dountau D^stré, 78 ans, ptigrvear.
16 aodt j g 14, — /fermer Cécile-Joseph, 70 an*, ion* pr9*
fessier».
16 aodf inrtf. — fferouart Clément-Fidèle, 4i ans, filessK
16 août inià. — Berger Victorin^-Joséphine, 7* an*, son*
prn/iiitaBi,
17 aodi iç}ifi. — Boulanger Jutes, 63 ans, employé.
iy «od( nji.'i. — Brihuye Charles, 69 ans, compfafrt*. ;
a* a&dt 1 çj 14-. — Franc;:»'* .M>:nsf/c-lfarr«^ » n****.
a: aodf ir)li. — Copain Kmilc Jnsrph, 68 asw, t«w f*s>
/curOIT.
ad-aodi igj'i. — ftewelde EÎT:irr $farie~ITenfii!ttrt £3 «ru,
ménagère.
37 août iqi4- — (Jf/ciuw*/«k l_riui*-f;tiaj- tlsraWar» 7#.flny,
3«nst nrOrtsatsiH.
Ssvaowé 1.51— tannées Henri, i* asva. wsnwr.
/l jaatcmiw «gtî. — flrfrawr)» Uiwre-jsadwilff, 70; ans, srane
pro/nsKMSr.
4 sepfembre lyi.fl — lyemhirr JHles-fotamh* 9$ aies», wsu pr«-
fcsswn.
4 saptmiarc igi/i. — GuHhny Pîerre-I&ni-Germain* g anj.
6 sepfcoibre 1914. — Bisîcu* dnd'rr^, l\ mois.
(i sa*dcmé>r* 1514- — fJo/jorguai Vteaaeians. 74 an*, mofe-
lassurr.
7* teptt-nibr? igift. —Ssudmri Yictorten-Hésirt, 6o> oaur,
trieur de lame.
ia saptembre rgi4. — Porfef Cêféstm-Krnesf', 70 «f*e, sans
pnofùssion,
ii japtar.Drc *r>i4. — Curftj: icnnatc-CaroHae, 35 atu» wenr
de charilé.
i3 seplemore igi4. — CéfÛP ffcnn>ffc-Sii:nnnc-.1dtffe( 6g
ans, ménagère.
i5 septembre. rgi5. — Conon /Îenfld-Cfiarf^j, 1 an.
15 stplntrbre igt4. — /Vtif /Iripeêma-.lugiwia,. 77/ on*, >«*»•
profession.
16 jcpfembre 191/1. — Valant Roger-fotsph'ISsiauaArd, i3
j'o»«.
16 sepferwkri* ig»4. — Suaire Phitvmène~Blt**f 44 eftsy Mé-
nagère.
17 f.*pfcmfiri; igt4- — ITorn iïrntst-Rolifrt-EdxHi-tfi, !W rtnt,
trsfirmier,
tj septembre- igi4. — kcelereq fio^Htrl-Famond, > miMS.
I7 3fp(cmfjr* igi^i. — UilUi Armarxl-Gutteate, ) ww.
ig septembre 1914. — f-e (îo// Jp»np soM^f rér-ratalr ou 71*
régiment dfinfanteite.
20 septembre igt4- — Dupri Classe, 58 m», m/'trt^re.
ar septembre igt4-— f-apof )e J canna, 1 au,
a4 srpfrnt/ire igi4-—Codmant F.lic-Jaseph-Ctusttoe, t
a4 septembre igi4.
sohk profession
a4 septembre igii.
na^ère.
a8 septembre rgi«. — ^ffioume Cftar(M-4«oui«(in, W aiu,
/lirur.
ag «pfrmbre igro.
m/.nagère.
5j septembre- rgi4.
(acnrur.
3o septembre tgii. ■
71 ans, dvrnrttique.
ï octobre tgi4. — flertauar dntorne-iojepft-Lottb, 84 an*,
sans profession.
ï octobre igt4- — Lixon Jean-Baptitte-Joseph, 88 ans,
.tan» profession,
4 octobre iqi.'j. — Hennièê Henri, a8 on*, toldat an gi* ré-
menf d'infanterie,
5 octobre igift- —> /fOutanffn Joséphlnt, Bfi nns, ion» prt~
fession.
S octobre 1 q 14. — Herbet Augustin, 88 ont, Ituevr.
8'octosrs igi4- — Cartier ITfmlM, 05 ana, ménagère.
II oetobre igi4. — Bry Marte-Déslrée, 8t ans, ménager*.
11 octobre igti. — Boulet I.lst-MarymrHe, sa ans, sanV
pneus*.
■ï petobre ipi4. — Cotant Julien, if nnJ, MM profestUm.
Utunois Yictoire-fiésirée, SC «ru,
- Denis A!arie~Jat*ptie, 76- an», 'n-éna-
■ Bertrand Murie-Adolphime, 64 an*,
Cfcapxat 4(bert Henri, 14 ana, roi-
- Trodn /rw-ffaptofe-OIMer-ftonsJd*,
i3 ociairre i*as«> — Lcctif Ctaite-tilaoeh*, an ans, ilsseasm.
16 ootobre iex4V ■— Caréaiisnl Hensi-UeepK 7.7 ans, satm
vf acioèmr sgaék —Satsed^n, Âag.ute, 56 on*» tisseur.
ia> oatesare iguév — ftsaalaàHe ,Weri*-f-a»i.«-W*'I^/ïar 5a aaay
àr octobre igi4. — Bostien AdeU-ScholmtUjue, Sït(insr son*
profession.
aS ofcio*»re iui4~ — SfocA /nfevdfcnd, 74 au, cordonnier.
a& œio^/c h#i4. — Desiey Nicolas*,. 8g anj, manouurrer.
38 octobre Kiijj. — Braeq Auront, 60 ans, ménagère:
4 novembre igi4. — Gravez lYarciwse-Aimé, 81 ans, son*
profession.
4 nouembre igi4". — Mnnjoe Césmeine-Jnsmphine, 76 ans,
sans' profession, •
s» ssoews* w >n«4h — Ob i>*ujs. JCrswat» a^-onav tiaas b»k
lat-noTi—é m igeaV — Vrtnux, ui/ont mort-né.
tj nosupsttwia is>a*>. — flittry nlasastfaer, a «an, -
isY novembre ig»4. — Jnwwwas* Juane» 4V asaaie»
ri noaemb rr ia«é> —- HeifaetJults, 5<jt aea» eonaMrgfi.
i5 novembre 19,1.4. — l.ci'ux. lfan-liaptuie^Désiri, xt au»
(i*soi**i*s;iie.
18"novembre 1914. —■ Leeompte Plerre-Jôteph, 66 ara, ma-
■ Boury France-Arthur, 1 moit.
~ Armlmtn ietsn^hMUwsmse, 54*o
■ Boufieau CVlejh'n-E'iJoaflni, 74 ans.
ig noremfire igi4- -
29 nnu*Fnb« ifjj4.
nsmonenr.
11 novembre 1914.
epîcif r.
» n t^marr 1 r)r|, — Thomas, tnf&nt mort-né.
as novembre î^raU— HeutOtar éasotraor-Dr»», 8evnn*v ***»
nro/asasnpw
2i noewiretar rni4. — &oaHnnt* Looien-t'rrtnrwx» 50 on*.
d**>»*enl.
a4 novembre igi4. — IValrem^ FranmuitrJnben^ am,
sswa nfeaesaaonk
a4 noirmbiT rgi4- — G&u Aheé, .'S ans. papetier;
a8 nooembre igi4. — llérnr Jetm-lîaptiatr, 77 1*», s'iii*
pro/«9arn*i.
ag novembre rg i4- — Fmseè Ernest, 5s> ona, frieur.
30 noodinbre- iffi4. — Huai, m/nnr nmrt-n*.
a décfnti-re igi4- — /ftiiWrt iMa«e--f.éontii«- tm^hf, fia an«,
m^snsf)>>rti. .
4 derambrr if)i4.— fiVrvjrrrl M«xu;i;/f-n 11 i Si ««,
sens nraéraaiorc.
6 décembre 1914. — Buvdier Jean-Baptiste Alcide* 7! «•»,
son* prvfestiomx
7 décembre ig»4_ —WoaseW /feetor-, 5- ans. caiffear.
i4 déeembra tgié. — Failcur Swçtîatr, 87 nn*, MHH f"1-
feuian.
ii décembre igi4. — Danis. '/.itirr-Sop'ne-i'Utru:<-:i: ^
ans, .'•uns profeeeian.
18 décembm i«i4. — J'etu H«>ui-trrmtwWTarr-*, 6Û-un»,
indu striai.
16 décembre. 1 q 14. — t.tfeort ftenri^.iislave, 20 a-:*, r*i-
(acft«i(r,
16 décembre 1914. — ttégc*JaUs>, fio an%t, aaas|paWM
17 daeembr» 1914. — Uardy rbeopbife-Cemt7f*, 7» ans,
journalier.
So décembre igi4. — Gourdin Anmineie-Caroltne, 65 «a*,
ménaoér*.
%w, décembre igi4. — Demeaax Marie-Berthe, 3J ans, HtV
nager*,
il daeembr* iSt*. — Lectereq* Alsxmndrt-Viciar, 6* am.
fit jiuwre.)