GUSTAVE RICARD
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quatre-vingt-quatorze, auxquels iJ faut joindre les vingt-neuf énu-
mérés à la fin de l’étude de M. Brès, sans compter les nombreux
portraits demeurés en Angleterre. De plus, on doit à Ricard la déco-
PORTRAIT DE U. F. A., PAR, G. RICARD
(App. à M. Félix Abram.)
ration de l’hotel Demidoff à Paris (1865), des études de têtes, des na-
tures mortes, et de nombreuses copies.
Il connaissait à merveille les maîtres de la couleur. Avec une
patience passionnée, il avait, sous le vernis et malgré les mys térieuses
transformations que le temps fait subir à la peinture, reconstitué la
13
XXIX.
3" PÉRIODE.
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quatre-vingt-quatorze, auxquels iJ faut joindre les vingt-neuf énu-
mérés à la fin de l’étude de M. Brès, sans compter les nombreux
portraits demeurés en Angleterre. De plus, on doit à Ricard la déco-
PORTRAIT DE U. F. A., PAR, G. RICARD
(App. à M. Félix Abram.)
ration de l’hotel Demidoff à Paris (1865), des études de têtes, des na-
tures mortes, et de nombreuses copies.
Il connaissait à merveille les maîtres de la couleur. Avec une
patience passionnée, il avait, sous le vernis et malgré les mys térieuses
transformations que le temps fait subir à la peinture, reconstitué la
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3" PÉRIODE.