LINTEAU EN MARBRE, ÉCOLE FLAMANDE, FIN DU X U SIECLE
(Musée du Louvre.)
LES ACCROISSEMENTS
DU DÉPARTEMENT DES SCULPTURES
(MOYEN AGE, RENAISSANCE ET TEMPS MODERNES)
AU MUSÉE DU LOUVRE
(i917"192 i )
Phot. Demotte.
TÊTE DE CHRIST
BOIS PEINT ET DORE
ÉCOLE DU MIDI DE LA FRANCE
XI le SIÈCLE
(Musée du Louvre.)
C’est une tradition déjà ancienne à la
Gazette des Beaux-Arts d accueillir périodi-
quement ce que M. André Michel qualifiait
de « rapport » sur les nouvelles acquisitions
du département dont il avait reçu l’héritage
de Courajod. Appelé à mon tour à continuer
l’œuvre nécessaire de l’enrichissement pro-
gressif de ces collections, je n’aurai garde
de manquer à cette tradition et je reprendrai
simplement l’histoire du département au
moment où M. André Michel l’avait laissé-
pour les lecteurs de la Gazette, au printemps
de 1917. Moment tragique, Rien que, dès
le début de son article, M. André Michel
saluât avec joie la réouverture au public de
« la section la plus nationale des musées
nationaux » et qu’en le terminant il affir-
mât, avec sa foi généreuse que n’avaient
pu abattre les deuils cruels ni les inquié-
(Musée du Louvre.)
LES ACCROISSEMENTS
DU DÉPARTEMENT DES SCULPTURES
(MOYEN AGE, RENAISSANCE ET TEMPS MODERNES)
AU MUSÉE DU LOUVRE
(i917"192 i )
Phot. Demotte.
TÊTE DE CHRIST
BOIS PEINT ET DORE
ÉCOLE DU MIDI DE LA FRANCE
XI le SIÈCLE
(Musée du Louvre.)
C’est une tradition déjà ancienne à la
Gazette des Beaux-Arts d accueillir périodi-
quement ce que M. André Michel qualifiait
de « rapport » sur les nouvelles acquisitions
du département dont il avait reçu l’héritage
de Courajod. Appelé à mon tour à continuer
l’œuvre nécessaire de l’enrichissement pro-
gressif de ces collections, je n’aurai garde
de manquer à cette tradition et je reprendrai
simplement l’histoire du département au
moment où M. André Michel l’avait laissé-
pour les lecteurs de la Gazette, au printemps
de 1917. Moment tragique, Rien que, dès
le début de son article, M. André Michel
saluât avec joie la réouverture au public de
« la section la plus nationale des musées
nationaux » et qu’en le terminant il affir-
mât, avec sa foi généreuse que n’avaient
pu abattre les deuils cruels ni les inquié-