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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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i5 CENTIMES

LE GRELOT

15 CENTIMES

LE PALAIS DE CRISTAL FRANÇAIS

Le jeudi 2b mars, dès sept heures du soir,
la foule envahissait les abords du Cirque
d'Hiver, où M. Nicole devait faire sa confé-
rence sur le Palais de Cristal Français, et la
fanfare de Belleville jouait encore l'ouverture,
qu'il était déjà impossible de trouver une
place.

En l'absence de M. Lockroy, empêché au
dernier moment, M. Nicole prend place au
fauteuil de la présidence et annonce au public
que la joie qu'il se promettait ne peut être
complète, car une indisposition l'empêche de
faire lui-même le discours qu'il avait préparé.
Il a pu l'écrire heureusement, et c'est M. Lar-
rey, le sympathique artiste de la Porte-Saint-
Martin, qui en fait la lecture.

M. Larrey s'acquitte merveilleusement de
sa tâche, mais les applaudissements interrom-
pent souvent l'orateur, principalement à la
suite des passages suivants :

François de Neufchâteau, ministre de la
République, est véritablement le créateur des
Expositions, il a droit à notre gratitude,
comme Français, comme républicain et com-
me protecteur.

C'était un poète et un poète de mérite, il
avait même, dans sa première jeunesse, publié
un recueil de poésies qui avait mérité l'appro-
bation de Voltaire, le vrai roi de cette époque
par son génie, et qui était au dix-huitième
siècle en possession de ce respect universel et
de cet amour que nous avons tous, au dix-
neuvième siècle, pour notre grand Victor
liugo.

Des applaudissements chaleureux accueil-
lent cette première partie du discours, et l'o-
rateur continue en parlant des tentatives qui
furent successivement faites dans notre pays,
relativement aux expositions :

« L'attention d'un certain nombre d'esprits
ne pouvait manquer d'être excitée sur le con-
tinent par le bruit qui se faisait autour de ces
innovations anglaises. A Paris même, quel-
ques personnes pensèrent qu'il y aurait uti-
lité à créer aussi une exposition permanente;
elles réunirent des capitaux, elles achetèrent
des terrains à Auteuil, et l'on put croire un
instant que Paris allait posséder son exposi-
tion permanente. Malheureusement le projet
n'eut pas de suites et l'exposition ne fut pas
ouverte.

» La population parisienne se berça d'illu-
sions analogues vers la fin de l'Exposition de
1807. On se rappelle qu'un vaste pétitionne-
ment fut c rganisé à cet effet et que M. Le
Play, réminent organisateur du concours de
1807, appuya le projet de tous ses efforts; mais
hélas 1 des difficultés de diverses natures,
l'opposition de certaines administrations, l'em-
pêchèrent d'aboutir; la pioche des démolis-
seurs fit disparaître jusqu'aux dernières espé-
rinces

» A ia fin de l'Exposition de 1878, on vit se
renouveler les mêmes patriotiques désirs, les
mêmes actives démarches suivies des mêmes
difficultés. Ce fut encore la pioche qui eut le
dernier mot. Tandis que ces différents projets
avaient à Paris le sort que je viens de racon-
ter, l'idée de la permanence des expositions
faisait son chemin en Europe. »

Monsieur Larrey continue en faisant alors
l'exposé de la création projetée :

Il s'agit de créer près de Paris, dans le parc
réservé de Saint-Cloud, aujourd'hui sans em-
ploi et dont l'entretien est très onéreux pour
PEtat, un grand établissement national analo-
gue à celui de Sydenham. et auquel je donne
ie nom de Palais de Cristal français pour
faire apprécier immédiatement sa destination
générale.

Il faut ajouter, d'ailleurs, qne le Sydenham
français se distinguerait par des différences
essentielles de la fondation déjà ancienne
d'outre-Manche.

Au point de vue industriel et technique, le
projet actuel se recommande au gouverne-
ment par son organisation nouvelle et métho-
dique des expositions, laquelle permettrait à
cette institution éminemment française de
joindre aux avantages des expositions tem-
poraires des avantages inconnus jusqu'à ce
jour.

Par la création d'un Musée industriel inter-
national, qui aurait pour effet de placer inces-
samment sous les yeux des producteurs et des
ouvriers français des échantillons, modèles et
produits des industries étrangères ;

Enfin, par l'exposition permanente de col-
lections, documents et curiosités, intéressant
les Sciences, les Arts, l'Industrie et les diffé-
rentes connaissances pratiques.

Ce grand Palais, avec ses dépendances va-
riées, formerait pour la population parisienne,
pour celle des départements voisins et pour
les nombreux étrangers qui fréquentent notre
capitale, un centre unique au monde de vul-
garisation générale, d'enseignement par les
choses et de distractions de l'ordre le plus
élevé.

Et l'orateur termine par ces mots :

Rien ne se peut faire à notre époque, vous
le savez, sans l'assentiment de l'opinion pu-
blique, et je suis heureux de vous dire que les
encouragements qui nous parviennent nous
donnent pleine confiance dane son verdict.

L'accueil sympathique de la presse est pour
nous du plus heureux présage : nous la re-
mercions avec chaleur de son précieux con-
cours. „

Si le Parlement, comme nous eu avons 1 espoir

approuve avant la fin de la session le traité
que MM. les ministres ont signé après une
instruction de plus de deux ans, nous pour-
rons, mesdames et messieurs, vous convier,
cette année même, à vor.s rendre avec nous
sur le coteau de Saint-Cloud et là, au milieu
des arbres séculaires habitués jadis à d'autres
spectacles, nous poserons la première pierre
d'un édifice consacré aux plus grands intérêts
nationaux.

Les applaudissements les plus sympathiques
éclatent de toutes parts, et nous aussi nous
espérons au plein succès, à la réussite com-
plète de l'œuvre tentée par M. Nicole, le plus
habile de nos organisateurs.

Son projet, merveilleuaement conçu, sera
merveilleusement exécuté, nous en avons la
certitude, et M. Nicole pourra, lui aussi, être
classé parmi les grands patriotes, car il aura
rendu service à l'art, au commerce a l'indus-
trie et à la France entière.

C. L.

{Pourbps % |ïBansong?s

M. Camescasse est décidément d'une intelli-
gence beaucoup au-dessous de la moyenne. Il
se refuse avec une émouvante obstination, à
comprendre que la libre concurrence est la
base du commerce et de l'industrie modernes.

C'est pourquoi, jaloux de réserver à ses
agents le monopole de Y épuration, si souvent
tentée et toujours à recommencer, de certains
quartiers de Paris, l'honorable mais hydrocé-
phale préfet de police a mis sur pied, l'autre
jour, toute la brigade centrale pour protéger,
sur la rive gauche, les êtres en casquettes à
ponts et à dos irisé que les étudiants manifes-
taient la blâmable intention d'y empêcher de
circuler librement.

En vérité, n'est-ce pas une chose souverai-
nement ridicule qu'assister à cet écœurant
spectacle: la police fourrant au bloc de braves
jeunes gens coupables de ne plus vouloir cou-
doyer des bipèdes immondes et se trouver à
chaque instant exposés à leur serrer, par mé-
garde, la nageoire ?

X

Le pis de l'affaire est que, au point de vue
de la stricte légalité, M. Camescasse a eu rai-
son d'agir ainsi qu'il a fait,

Etre souteneur n'est pas un délit.

Donc, la police doit, au cas échéant, aide et
protection contre quiconque, à ceux qui exer-
ceront cette méprisable mais lucrative pro-
fession.

Pandore et son brigadier sur les dénis pour
assurer à Lantier et consorts le droit de conti-
nuer en paix leur petit commerce ;

Et pendant ce temps-là, Walder et l'assassin
de la rue Blondel qui se promènent tranquil-
lement sur le boulevard extérieur, peut-être
même sur le boulevard Montmartre :

Avouez qu'il est malaisé de trouver quelque
chose de plus intolérablement absurde, de
plus insupportablemcnt idiot 1

X

En allant jusqu'en Russie, cependant, nous
parviendrons à mettre la main sur ce quelque
chose, qui fait juste la contre partie de
celui-ci.

C'est la note ci-dessus, que vient do publier
le Messager du gouvernement russe :

« Par ordre de l'empereur, seront sévère
ment punis tous les actes de violence qui
seraient exercés sur la personne ou contre la
propriété des Juifs, ceux-ci se trouvant sous
la protection des mêmes lois que tous les
sujets du czar. Les autorités ont reçu l'ordre
de prendre en temps utile, sous peine de révo
cation, les mesures qu'elles jugeront néces-
saires pour prévenir ou réprimer les excès
contre les juifs. »

Or, comme nous le faisait fort judicieuse
ment remarquer quelqu'un qui connait très
bien la Russie et le monde russe, loin
de se trouver, au point de vue légal
sur un pied d'égalité avec les autres citoyens,
les trois ou quatre millions d'Israélites établis
en Russie sont soumis à une législation vexa-
toire qui les place absolument en dehors du
droit commun.

Cette législation, confuse, différente suivant
les provinces et suivant les villes, a même été
résumée par un juriste, Orchanskia, dans un
livre intitulé : Rousskoé Zakonodatelsvo
Evreiahh.

Les Juifs, sauf les marchands des gildes et
les élèves diplômés des universités, ne peu-
vent transporter leur domicile où ils veulent
Ils doivent rester parqués dans les provinces
occidentales comme dans un vaste ghetto.

Les Juifs peuvent être inscrits sur les listes
du jury : mais jamais le chef du jury ne peut
être un juif.

Les Juifs peuvent entrer dans les conseils

communaux ; mais ils ne peuvent y avoir la
majorité. N'y eût-il dans une des villes qu'ils
habitent qu'une infime minorité de chrétiens,
ceux-ci sont appelés à fournir la moitié de la
représentation municipale.

On a interdit aux Israélites de tenir aucun
débit de boissons ou de participer, d'une
manière quelconque, au commerce des spiri-
tueux, comme si la lèpre de l'ivrognerie ne
rongeait pas autant les contrées de l'empire
où ils n'ont jamais paru. On leur a défendu de
diriger des officines pharmaceutiques. On les
a expulsés de plusieurs administrations dans
lesquelles ils avaient trouvé des emplois.
Enfin, on les a mis dans l'impossibilité de
devenir propriétaires, même fermiers.
Et l'on s'étonne qu'ils se livrent à l'usure.
Mais, n'est-ce pas à peu près la seule car-
rière qui leur reste ouverte 1

La vérité est que le gouvernement russe,
aux abois, cherche à détourner sur d'autres
l'orage prêt à éclater sur sa tète.

C'est pourquoi il jette les russes en pâture
aux malheureux paysans, leur disant :

— Tenez, ce sont ces galeux, ces pelés qui
causent tout le mal I Prenez-vous-en à eux de
toutes vos misères et vengez-vous-enainsi que
vous l'entendrez: je vous les abondonne 1

En dehors de cela, que n'avoueront jamais
les conseillers du czar, tout ce que peuvent
dire ceux-ci, pour s'excuser et nous donner
le change n'est que sottise et mensonge.

On commence à s'apercevoir que l'envoi delà
flotte anglo-française dans le port d'Alexan-
drie, loin de débrouiller les affaires égyp-
tiennes, n'a fait que lts embrouiller encore
davantage.

Ce résultat était assez facile à prévoir, puis-
que l'escadre n'a pas de troupes de débarque-
ment et qu'il parait, à priori, assez peu prati-
que de transporter, sur des roulettes, les navi-
res cuirassés jusqu'au Caire.

Nous allons assister à une réédition de la
grotesque fumisterie deDulcigno.

Tant pis. Que ces sortes du choses se pro-
duisent une fois, passe encore. Mais deux,
non, c'est par trop bétel

X

VÉvênement ne fait plus trop florès. Ce
vieux roué de père Dumont a réussi à le dé-
possder de sa place et à faire du Gil Blas le
véritable Figaro républicain, dont les convic-
tions ne sont d'ailleurs pas beaucoup plus sin-
cères que celles de l'autre, légitimiste et cléri-
cal, de la rue Drouot.

Avouez aussi qu'on ne fait pas un journal
avec un pingre comme Magnier pour adminis-
trateur, et des rédacteurs comme le petit ca-
méléon rageur Chapron, ce pauvre Monselet,
qui baisse diablement et Georges Duval, ter-
riblement mauvais, dès qu'il ne s'inspire plus
de Balzac.

Seuls Wolff et Scholl y mettent encore du
talent. Ce dernier y écrivait l'autre jour une
de ces étourdissantes fantaisies dont il a le
secret.

Il suppose qu'il a été rendre visite à un de
ses amis de collège, devenu chef d'une tribu
du centre de l'Afrique. Indigné de tout ce
qu'il voit :

— Mais comment toi, avec l'instruction que
tu as reçue, n'as-tu pas modifié de pareilles
mœurs '?

Giors-Ello partit d'un franc éclat de rire.

—- Voilà bisn les Français ! s'écria-t-il. De-
puis douze tms que vous* êtes en République,
vous n'avez rien changé — que les préfets.
Vous faites des révolutions aux cris de : Vive
la Reforme 1 et vous ne réformez que les che-
veaux. Les hommes d'Etal de la République
transigent journellement avec des talapoins
qui prétendent amener leur Dieu dans de pe-
tites galettes au moyen d'une prière qui a
tout l'air d'un ordre. A peine arrivés au pou-
voir, ils s'empressent de protester de leur
respect pour tout ce qu'ils avaient combattu
jusque-là. Vos magistrats du coup d'Etat sont
toujours en fonction et chamarrés de croix di-
tes d'honneur, quoique portées par eux. Et tu
veux que moi, un pauvre nègre, j'aille toucher
à la tradition, modifier en quoi que ce soit les
superstitions auxquelles je dois mon pouvoir ?
Pas si bête. Vous avuz un Dieu en trois per-
sonnes; j'ai trois dieux en six serpents qni
exaucent les prières de mes sujets, ni plus
ni moins que votre Père éternel. Mon grand-
prêtre prédit ce que je veux qu'il prédise. Son
prédécesseur ayant tenté de me faire de l'op-
position, je l'ai condamné à être rôti sur la
place publique. Ç'a été une belle journée. Le
ciel a témoigné en ma faveur, grâce à un pé-
tard que j'ai fait venir de Paris. Le peuple,
persuadé par la détonation, a craché sur son
pape, et le nouveau grand-prêtre, une vérita-
ble frippouille, jouit d'une notoriété incontes-
tée... Et maintenant, déjeunons. Voici un gâ-
teau de maïs, un navarrin d'antilope et un
filet de vierge au piment rouge... On nous
servira ce soir, comme rôti, l'épaule d'un chef
de tribu au safran.

— Tu manges de l'homme?

— Absolument comme vous mangez du co-
chon. C'est la même viande. Tu vas me dire

que le cochon n'a pas d'âme. Eh bien 1 quand
tu m'auras prouvé que Tropmann en avait une,
je te promettrai de ne plus manger d'homme.
Du reste, je n'avais qu'à ne pas te prévenir
pour te faire avaler ma jeune fille comme an-
tilope et mon chef de tribu comme sanglier.
Maintenant, mange ou ne mange pas, cela
m'est égal.

Convenons-en, Scholl a raison 1 c'est à peine
si nous sommes supérieurs à ces sauvages
que nous méprisons tous. Notre progrès, nos
libertés, la douceur de nos mœurs, l'épuration
de nos croyances, autant de blagues ineptes 1
La civilisation 1 Quelle jolie collection de men-
songes.

Henry Vaudémont.

Dinah Samuel, de Félicien Champsaur, vient
de paraître chez l'éditeur Paul Ollendorff. Ce
roman moderniste, de mœurs parisiennes,
met en action cinq cents personnages connus.
L'intrigue se déroule dans le monde de la
presse, du théâtre, des cercles, de la politique.
Aucun ne voudra ignorer ce livre, car il est
nécessaire de le lire pour connaître l'histoire
des dix dernières années. Il a été rarement
donné de voir tracer, d'une plume aussi har-
die et aussi originale, tant de portraits: ils
gravitent autour de ce type excentrique qui a
nom : Dinah Samuel.

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