6 G. MASPERO. [6]
î~!JZ^^^^JXïLÏiSh*/iîol*' ier sarcophage de ïaho, Caire, G. Maspero,
Sarcophages des époques persane et ptolémaïque, t. I, p. 1 5 g, ce je t'ai donné à ta mère
Nonît, j'ai été douce pour toit).
[Résumé de Lacau, op. cit., p. 65.1
[Page 66, § i13.] f^p*~ .^(1 ^ \ f ~ P*> -l^lk^^
Paysan, Vogelsang, p. 38, Ramesséum 1. i5-i6, te un cliemin étroit, non large, car
il comportait la largeur d'un coupons, mais Butler 1. 29 nous donne ^^ij et Am-
lierst 1. i2-i3 \q",\ et Vogelsang, p. 53, Ramesséum 1. 7/1, p-^, où B1
1. 2/1 a ^^^q-— refaire entrer l'âne dans son domaine». Paysan, Vogelsang,
p. 55, Ramesséum 1. 79, P J f!§§ pour B11. 3o, -*-J|^- Paysan, Vogelsang, p. 128,
b> 1.148-1.51, ^\\^\i^i\^^\\^Kir,^r
que le peson dévie? est-ce que la balance penche d'un côté? est-ce que Tliot est
indulgent? Quand tu fais le mal, tu te mets le second de (tu t'assimiles à) ces trois-
ià; si les trois sont indulgents, toi aussi sois indulgent! »
[Page 66, § 1 là. — Résumé de Lacau, op. cit., p. 65.]
[Page 68, § 119-] La disparition du - au milieu des mots avait été remarquée
déjà par E. de Rougé {Poème de Pentaour, Revue égyptobgique, t. V, p. 164, note 1) :
tt^^f.». ptàr, au propre : revoir, apercevoir », puis ce regarder» dans le sens de
eeconsidérer, expliquer, signifier»; cf. ncDcupe «rêver, voir en songe».
[Résumé de Lacau, op. cit., p. 65.]
[Page 68, § 119-123. — Résumé de Lacau, op. cit., p. 66-67.]
[Page 69, § 12&.] [fjP^ jî) «haïr» devient (ftP^H) puis [flPtTiÎ! CP1*' considéré
comme féminin et prononcé mosdît, mosdi devient ffj P m ^f) • 1e1' sarcophage de Taho,
Caire, G. Maspero, Sarcophages des époques persane et ptolémaïque, p. 1/10, t3 jjj p {"""j
"V- \ \ P \ \ v-^T nouti-ô môsdi[ej asouî[t\ te le dieu grand qui hait les péchés».
[Page 73, § i3i.] Le décan SesHmou s'écrit aussi SHesmou, — dissimilation?
[Page 7/1 -, § i33.] Il a raison, et je l'avais dit : les trilitères du type * V ! V au
moins, devaient avoir une voyelle derrière chacune de leurs consonnes, et l'accent sur
la première : sâzamou, nâzamou, ce qui explique les formes coptes ccutm, nc&tm.
Erman a donc bien fait ici de rejeter la règle de Sethe [Verbum, t. I, § 17) d'après
laquelle l'égyptien n'aurait jamais eu l'accent sur l'antépénultième, si bien qu'à cha-
que accroissement par suffixe l'accent doit s'avancer d'un degré de manière à demeu-
rer toujours sur la pénultième.
î~!JZ^^^^JXïLÏiSh*/iîol*' ier sarcophage de ïaho, Caire, G. Maspero,
Sarcophages des époques persane et ptolémaïque, t. I, p. 1 5 g, ce je t'ai donné à ta mère
Nonît, j'ai été douce pour toit).
[Résumé de Lacau, op. cit., p. 65.1
[Page 66, § i13.] f^p*~ .^(1 ^ \ f ~ P*> -l^lk^^
Paysan, Vogelsang, p. 38, Ramesséum 1. i5-i6, te un cliemin étroit, non large, car
il comportait la largeur d'un coupons, mais Butler 1. 29 nous donne ^^ij et Am-
lierst 1. i2-i3 \q",\ et Vogelsang, p. 53, Ramesséum 1. 7/1, p-^, où B1
1. 2/1 a ^^^q-— refaire entrer l'âne dans son domaine». Paysan, Vogelsang,
p. 55, Ramesséum 1. 79, P J f!§§ pour B11. 3o, -*-J|^- Paysan, Vogelsang, p. 128,
b> 1.148-1.51, ^\\^\i^i\^^\\^Kir,^r
que le peson dévie? est-ce que la balance penche d'un côté? est-ce que Tliot est
indulgent? Quand tu fais le mal, tu te mets le second de (tu t'assimiles à) ces trois-
ià; si les trois sont indulgents, toi aussi sois indulgent! »
[Page 66, § 1 là. — Résumé de Lacau, op. cit., p. 65.]
[Page 68, § 119-] La disparition du - au milieu des mots avait été remarquée
déjà par E. de Rougé {Poème de Pentaour, Revue égyptobgique, t. V, p. 164, note 1) :
tt^^f.». ptàr, au propre : revoir, apercevoir », puis ce regarder» dans le sens de
eeconsidérer, expliquer, signifier»; cf. ncDcupe «rêver, voir en songe».
[Résumé de Lacau, op. cit., p. 65.]
[Page 68, § 119-123. — Résumé de Lacau, op. cit., p. 66-67.]
[Page 69, § 12&.] [fjP^ jî) «haïr» devient (ftP^H) puis [flPtTiÎ! CP1*' considéré
comme féminin et prononcé mosdît, mosdi devient ffj P m ^f) • 1e1' sarcophage de Taho,
Caire, G. Maspero, Sarcophages des époques persane et ptolémaïque, p. 1/10, t3 jjj p {"""j
"V- \ \ P \ \ v-^T nouti-ô môsdi[ej asouî[t\ te le dieu grand qui hait les péchés».
[Page 73, § i3i.] Le décan SesHmou s'écrit aussi SHesmou, — dissimilation?
[Page 7/1 -, § i33.] Il a raison, et je l'avais dit : les trilitères du type * V ! V au
moins, devaient avoir une voyelle derrière chacune de leurs consonnes, et l'accent sur
la première : sâzamou, nâzamou, ce qui explique les formes coptes ccutm, nc&tm.
Erman a donc bien fait ici de rejeter la règle de Sethe [Verbum, t. I, § 17) d'après
laquelle l'égyptien n'aurait jamais eu l'accent sur l'antépénultième, si bien qu'à cha-
que accroissement par suffixe l'accent doit s'avancer d'un degré de manière à demeu-
rer toujours sur la pénultième.