Le charivari (17.1848)

^stes deviPn ,0Us M '-'

Jevise de n,|epli méti«rs à filer, peut aspirera la gloire de servir d'à-

i avez ra" S?i- au!c enfa"^ du Pauvre- p'us de misère pour eux;

meltre ^'""^il]!' pour éux plus d'ignorance, plus de souffrance;

n°tre drapea|) alors plus d'avilissement, car le malheur fait les mé-

;eau ^ chans et le bonheur fait les bons.....Ainsi, rendre

e par ,L fr^°n)0n rst, 'es en^ans c'n PGUP'e heureux, c'est faire le peuple

" v At"U|>i bon : travailler au bonheur des enfans, c'est assurer
le bonheur des pères.
C'est le devoir de tous de dire sa pensée, dès

mieux que ^ - qu'elle a pour but une amélioration dans la destinée

dation. %• du peuple, car l'esprit de tous doit apporter son

matin- à un ca 't • lribut 8U 1)iRn_ô,r* et a la P'°ire de la nouvelle ère

;amin de Parjs 3,115 ' où nous entrons.

Jeule du n, '""^«i Recevez, etc.

peuple qiji seven?

'LE CHARIVARI.

--a—......* - ■- m.....

W ' --- i Lé comité polonais qui a toujours eu Vds sympa*

Le comité central de la société démocratique polo-
naise vient de présenter au gouvernement provisoire
une adresse dans laquelle il exprime son enthou-
siasme pour la nouvelle République et Son espoir de
voir un jour la nation polonaise occuper sa place au
banquet fraternel des peuples.

« Tolérée, dit l'adresse, sotis le réginie des alliés
» de nos oppresseurs , la société démocratique polo-
naise peut désormais, sou» celui des fils de la liberté,
» travailler ouvertement à l'indépendance de sa patrie,
» à la liberté, l'égalité, la fraternité de ses citoyens, à
» l'émancipation sociale et politique, au progrès moral
» et intellectuel de son peuple. »

thies ardentes du peuple français, peut aujourd'hui
compter sur l'appui efficace de son gouvernement.
Malgré les monarchies absolutistes qui toqlaient en
vain leur barrer le passage, la France du Midi et la
France du Nord se tiennent aujourd'hui embrassées
dans une étreinte fraternelle.

Le gérant : Léopold PAsnyiiifc.

Imprimerie lange lévy et c.e, rue du Croissant, 4(5.

e patriotique ao
int que les cendresd'A.
apportées au Panita[
^eau sera transférée,
lxet du peuple saa,',
la patrie reconnais»
s.

iaux du Nalionall»,

! de l'école de Saint-Cp
partie maintenant,^
ratifs de cette oTatiint

nt tous les élèves deIV Un magistrat tonnant hier contre la République. Le même s'inclinant aujourd'hui devant te Le mot de l'énigme.

République.

u Charivari.

amour de la pairie A
la bonté des mœurs ml

; doit mener à l'an»
2 la patr ie émanent tout

milieu d'un peuple Ira
lontempîais avec émolfc
is et je songeais à ta
, Puis, tournant mes f
ni n'est plus qu'un*
As pourquoi, après»
uxedes trônes, ce moi
a demeure des eife
ces appartement
ctoires, en «les
i l'activité du travailrer
,as.ùonnés et b:is ^
a de modestes insli»
■uctiondu pe«P,e'::
m et industriel^
vmx formés par ^
rendraient à

lération

Isère, peut-être 11W ,!011firfjI1

d'enfans «UÈ Fuite à travers les barricades. \ , « n , • ,

°. . «Oi —an ç-*i. tu \cuk co.u ;u...1km-.\.. s,a ?e .flonr.e. 8tes airs d

la Franc, «ne g*

son fouet. A bientôt le dessin d'inauguration/ ^es!l«ïït«te l« «Micatnt-«e rej>rené pws mum

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