LE CHARIVARI.
Ira chez elle. Le lendemain, l'arrêté suivant parût
dans la gazette officielle de Madrid.
« L'infante dona Josefa est déchue des prérogati-
res , rang et honneurs attachés au sang royal. »
Dona Josefa a fait des papillotes avec cet arrêté.
<,|ue m'importe, a-t-elle dit à son fiancé, le vain pri-
vilège de l'étiquette? Que me faut-il avec toi, pan e
Ceballa, du pain et des ognons. C'est ce que nous
traduisons ici par ces mots : Une chaumière et ton
cœur !
L'AUSTÈRE GUIZOT
professeur de français.
Il n'y a plus à en douter : l'austère Guizot ensei-
gne la littérature française aux fils de la perfide Al-
bion.
Quoi de surprenant après tout? le tyran Denys ne
se fit-il pas maître d'école sur ses vieux jours?
Le cours de l'austère Guizot paraît destiné à un
succès de vogue. Comme on s'en convaincra ci-des-
sous, il brille surtout dans l'art difficile des défini-
tions. Le résumé de sa première leçon nous est
adressé par une jeune et aimable correspondante, la
citoyenne Klindworlh (surnommée Agnès).
Voici quelques-unes des définitions qui ont'été le
plus justement applaudies par l'auditoire britannique
du célèbre professeur :
roi. Sustanlif masculin en langage ordinaire;
substantif neutre en langue politique. — Comparse
habillé de pourpre et d'or qu'on n'expose à l'adora-
tion des fidèles que les jours de fêtes carillonnées,
tels que le lfr mai, le 29 juillet et à l'ouverture des
chambres. — Personnage inviolable et sacré jus-
qu'au moment où on le flanque à la porte de son
palais, en lui criant : « // est trop tard ! » — Si-
gnes caras téristiques : avare, menteur, couard, van-
tard et bavard.
charte. Plaisanterie constitutionnelle inventée
par un vieillard podagre qui aimait beaucoup Ho-
race, M. Decazes et les noix de côtelettes de mouton.
— Deux cents lignes de prose à l'usage des habiles
pour berner les badauds.
pairie. Machine à voter, fonctionnant gratuite-
ment dans le palais du Luxembourg. — Assem-
blée délibérante à laquelle il est expressément dé-
fendu de délibérer. — Imposante réunion de ci-
toyens consciencieux auxquels il est formellement
ï uterdit d'avoir de la conscience.
député. Personnage de trente ans au moins,
payant au moins cinq cents francs de contributions.
— Envoyé à Paris pour faire accorder à ses amis et
connaissances des bureaux de poste, des bureaux de
tabac, des bureaux de papier timbré, des bourses et
des demi-bourses dans les collèges et pour voter des
fonds secrets au ministre de l'intérieur. — Chevalier
de la légion-d'honneur après une première session ;
officier de la légion-d'honneur s'il est réélu. —
Nommé de droit procureur du roi s'il est substitut ;
avocat général s'il est procureur du roi et procureur
général s'il est avocat général.
électeur. Homme respectable qui paie deux
oents francs d'impôts, et qui jouit par cela même de
tous les droits politiques, quelles que soient d'ailleurs
son intelligence et sa moralité. — En France, on en
compte deux cent mille. — Le jour où ce chiffre
sera réduit à dix mille, la France sera une nation
véritablement grande et véritablement forte.
conscience. Mot vide de sens ; abstraction philo-
sophique qu'on n'a jamais aperçue que dans les
œuvres nuageuses de Herder, de Vico et de Cousin.
égalité. Niaiserie sentimentale, proclamée par
des rêveurs dont la vraie place est à Bicêtre et à Cha-
renton. — Assemblage de ridicules syllabes qui hur-
lent de se trouver ensemble. —Substantif insensé.
presse. Invention diabolique et qu'on ne saurait
environner de trop absolues impossibilités. — Dans
un pays organisé sagement, le cautionnement de-
vrait être élevé à un million, le prix du timbre à
cinquante centimes par feuille et le droit de poste à
un franc par numéro. — Ainsi l'on aurait une presse
saine et peu abondante.
ministères. Phalanstères administratifs où se
groupent par centaines des jeunes gens qui aiment à
s'inoccuper du matin au soir, douze mois par an et
dix heures par jour. — Leurs appointemens varient
de quinze cents à dix mille francs. — Moins ils tra-
vaillent, plus cher ils sont rétribués.
serment. Formule banale , à l'usage de tous les
temps, de tous les systèmes, de tous les régimes. On
dit prêter serment, ce qui implique nécessairement
que le serment ne se donne jamais d'une façon ab-
solue. — On n'est un homme politique qu'à la con-
dition d'avoir prêté dix-huit sermens au moins dans
sa vie.
cabinet. On appelle ainsi l'ensemble des minis-
tres qui gouvernent un pays.—Sous un régime mo-
narchique, un cabinet doit être uni, c'est-à-dire que
le ministre des affaires étrangères doit passer la rhu-
barbe à son collègue de l'intérieur, lequel à son tour
passe le séné à son collègue du commerce. — C'est
de cette union touchante qu'a pris naissance ce pro-
verbe si connu : « S'entendre comme ministres en
foire. »
majorité. Un cabinet ne se soutient qu'à l'aide
de la majorité. — La majorité s'acquiert par divers
moyens tous plus ingénieux les uns que les autres.
— Les membres réellement forts ne traitent les af-
faires qu'au comptant. — Les imbécilles se conten-
tent de promesses.
honneur national. Vieux paradoxe imaginé par
les culottes de peau du temps de l'empire. — Mots
ronflans que ne prononce plus une bouche qui se
respecte tant soit peu. — Expressions boursouflées
qui sont, dans "ordre moral, ce que sont les décou-
vertes de Cuvier dans l'ordre physique : purs mas-
todontes, bons à être scellés et étiquetés dans des ar-
moires vitrées.
patriotisme. On n'ai jamais su la signification
précise de ce mot.
La séance est levée au milieu des plus vifs ap-
plaudissemens.
Mlle Klindworlh (surnommée Agnès) nous promet
de nous donner la suite de ces remarquables leçons.
A.
i mois-
rrui* i
|;ii>ois«"-"' " ~
'r général
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
Le Gérant : léopold pan.mer.
Imprimerie Lange Lévy et Comp., 16, rue du Croissant.
RKUCN.
OCCASION
2 beaux Divans rouges.—Appareils pour
le gaz. R. Neuve-Saint-Marc, 11, au i1*.
PnTTDCr PAR ENJEUX (SWEEPSTAKES) DU GRAN1»
llUUAtfJj SAINT-LÉGER, OUVEKIE A TOUS.
I2,fl00 souscripteurs à liv. st. 5 chaque.
La personne pour laquelle le premier cheval sera tiré re-
cevra liv. st. 20,' 00
Le second cheval, 10,000
Le troisième cheval, 10,000
A partager entrer les personnes ayant tiré les
partans, 10,000
De même les non-partans, 10,000
SWEEPSTAKES, N" 2.
12,000 souscripteurs] à liv. st. 2 chaque.
Le premier cheval, liv. st. 10,000
Le second, 5,000
Le troisième, 3,000
Partagé entre les partans, 3,000
Partagé entre les non-partans, 3,009
SWEEPSTAKES, N° 3.
, ,, 12,000 souscripteurs à liv. st. 1 chaque.
— Manière de croquemitaine moral crée pour con- | Le premier cheval, hv. st. 4,000
tenir les imbécilles et terrifier les petits enfans. - j ^ "Sème, ^OuO
L'insurrection est encore palpitante et déjà une
foule d'historiens improvisés pour la circonstance se
hâtent d'en recueillir les souvenirs pour les trans-
mettre à leurs contemporains. Dans cette course de
vitesse on remarque un jeune Tacite qui porte un
nom illustré par le Siècle et par M. Alexandre Du-
mas. Quatre-vingts heures de guerre civile. Tel
est le titre d'un petit livre dû à la plume de M. A.
de Bragelonne et qui fourmille d'illustrations, par-
mi lesquelles on distingue les portraits des généraux c^mor
Cavaignac, Bedeau, Négrier et Duvivier. Cette jolie ^ ^u PeuP
brochure est accessible à toutes les bourses fût-ce à mot le pays t«
celle du Juif-Errant. Elle coûte 25 centimes. aux citoyens
blique.
Maintenan
les crêpes fur
courant ordi
Le tamhour qui bat la diane fait lever de bonne heure les des émotions
soldats. — (Le tambour qui bat la Diane, fà;x levé, de bonne, ,
heures, laie solde A.)
Autour de
sur des amis
récpnciliatioi
la nalure hu;
sions s'effac
ont la durée
éternelle est
de bonne foi
manderons p
serait mécon:
monde et la
nous leur <
sentimens de
H la lutl
si°imée, si l'<
lère> c'est l'ar
Pide> énergiq,
de Ja haine ai
âmes l,asses ;
seu,e permise
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Wic.
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les Partis, aUî
Slu,emàtrav,
îu'un rêve d'
,Ui Offrent
la Prospérité <
Quelle
Partans, 2,000
Partagé entre les non-partans, 2,000
Les personnes qui désirent s'assurer des chances dans l'une
des courses par enjeux indiquées c-dessus, sont invitées à
en faire promptement la demande, car chaque tirage aura
lieu aussitôt que la souscription sera remplie. Le résultat du
tirage sera annoncé dans le Times, le Bell's Life, et 1 >s
journaux quotidiens de Londres. Pour donner aux dames una
occasion de piendre des actions, les bulletins seront délivrés
sur initia es au choix du souscripteur.
Toutes les communications devront contenir une remis?,
pour qu'il y soit fait attention. Les remises de l'étranger de-
vront être faites payables à Londres ; ruais toutes les commu-
nications devront être adressées à Richard Nicuoli s et
James Parkinson, Temple-Square, Aylesbury, Angleterre.
Le troisième cheval sera décidé par la feuille Bell's Lift.
Les prix seront payés après la course, avec déduction de 10 r.
100. La course aura iieu à Doncaster, le 14 septembre 1848.
Pour prévenir toute fraude, aucun bulletin ne sera valide,
qu'autant que la lettre qui le contiendra portera la marque
delà po.'te d'Aylcsbury. Les souscripu ur» qui vourtiont en-
voyer des banknotes feront bien de les envoyer par moitié prr
dillérehtes postes.
GRANDE CHAUMIÈRE, îST&iffi:
rant, Jardin et Montag. russes. Bals dimanche, lunûiet jeudi.'
excu
rue
lat*de la
!tesse libre, 1
SSa^es irr
lesa"nes de
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Ira chez elle. Le lendemain, l'arrêté suivant parût
dans la gazette officielle de Madrid.
« L'infante dona Josefa est déchue des prérogati-
res , rang et honneurs attachés au sang royal. »
Dona Josefa a fait des papillotes avec cet arrêté.
<,|ue m'importe, a-t-elle dit à son fiancé, le vain pri-
vilège de l'étiquette? Que me faut-il avec toi, pan e
Ceballa, du pain et des ognons. C'est ce que nous
traduisons ici par ces mots : Une chaumière et ton
cœur !
L'AUSTÈRE GUIZOT
professeur de français.
Il n'y a plus à en douter : l'austère Guizot ensei-
gne la littérature française aux fils de la perfide Al-
bion.
Quoi de surprenant après tout? le tyran Denys ne
se fit-il pas maître d'école sur ses vieux jours?
Le cours de l'austère Guizot paraît destiné à un
succès de vogue. Comme on s'en convaincra ci-des-
sous, il brille surtout dans l'art difficile des défini-
tions. Le résumé de sa première leçon nous est
adressé par une jeune et aimable correspondante, la
citoyenne Klindworlh (surnommée Agnès).
Voici quelques-unes des définitions qui ont'été le
plus justement applaudies par l'auditoire britannique
du célèbre professeur :
roi. Sustanlif masculin en langage ordinaire;
substantif neutre en langue politique. — Comparse
habillé de pourpre et d'or qu'on n'expose à l'adora-
tion des fidèles que les jours de fêtes carillonnées,
tels que le lfr mai, le 29 juillet et à l'ouverture des
chambres. — Personnage inviolable et sacré jus-
qu'au moment où on le flanque à la porte de son
palais, en lui criant : « // est trop tard ! » — Si-
gnes caras téristiques : avare, menteur, couard, van-
tard et bavard.
charte. Plaisanterie constitutionnelle inventée
par un vieillard podagre qui aimait beaucoup Ho-
race, M. Decazes et les noix de côtelettes de mouton.
— Deux cents lignes de prose à l'usage des habiles
pour berner les badauds.
pairie. Machine à voter, fonctionnant gratuite-
ment dans le palais du Luxembourg. — Assem-
blée délibérante à laquelle il est expressément dé-
fendu de délibérer. — Imposante réunion de ci-
toyens consciencieux auxquels il est formellement
ï uterdit d'avoir de la conscience.
député. Personnage de trente ans au moins,
payant au moins cinq cents francs de contributions.
— Envoyé à Paris pour faire accorder à ses amis et
connaissances des bureaux de poste, des bureaux de
tabac, des bureaux de papier timbré, des bourses et
des demi-bourses dans les collèges et pour voter des
fonds secrets au ministre de l'intérieur. — Chevalier
de la légion-d'honneur après une première session ;
officier de la légion-d'honneur s'il est réélu. —
Nommé de droit procureur du roi s'il est substitut ;
avocat général s'il est procureur du roi et procureur
général s'il est avocat général.
électeur. Homme respectable qui paie deux
oents francs d'impôts, et qui jouit par cela même de
tous les droits politiques, quelles que soient d'ailleurs
son intelligence et sa moralité. — En France, on en
compte deux cent mille. — Le jour où ce chiffre
sera réduit à dix mille, la France sera une nation
véritablement grande et véritablement forte.
conscience. Mot vide de sens ; abstraction philo-
sophique qu'on n'a jamais aperçue que dans les
œuvres nuageuses de Herder, de Vico et de Cousin.
égalité. Niaiserie sentimentale, proclamée par
des rêveurs dont la vraie place est à Bicêtre et à Cha-
renton. — Assemblage de ridicules syllabes qui hur-
lent de se trouver ensemble. —Substantif insensé.
presse. Invention diabolique et qu'on ne saurait
environner de trop absolues impossibilités. — Dans
un pays organisé sagement, le cautionnement de-
vrait être élevé à un million, le prix du timbre à
cinquante centimes par feuille et le droit de poste à
un franc par numéro. — Ainsi l'on aurait une presse
saine et peu abondante.
ministères. Phalanstères administratifs où se
groupent par centaines des jeunes gens qui aiment à
s'inoccuper du matin au soir, douze mois par an et
dix heures par jour. — Leurs appointemens varient
de quinze cents à dix mille francs. — Moins ils tra-
vaillent, plus cher ils sont rétribués.
serment. Formule banale , à l'usage de tous les
temps, de tous les systèmes, de tous les régimes. On
dit prêter serment, ce qui implique nécessairement
que le serment ne se donne jamais d'une façon ab-
solue. — On n'est un homme politique qu'à la con-
dition d'avoir prêté dix-huit sermens au moins dans
sa vie.
cabinet. On appelle ainsi l'ensemble des minis-
tres qui gouvernent un pays.—Sous un régime mo-
narchique, un cabinet doit être uni, c'est-à-dire que
le ministre des affaires étrangères doit passer la rhu-
barbe à son collègue de l'intérieur, lequel à son tour
passe le séné à son collègue du commerce. — C'est
de cette union touchante qu'a pris naissance ce pro-
verbe si connu : « S'entendre comme ministres en
foire. »
majorité. Un cabinet ne se soutient qu'à l'aide
de la majorité. — La majorité s'acquiert par divers
moyens tous plus ingénieux les uns que les autres.
— Les membres réellement forts ne traitent les af-
faires qu'au comptant. — Les imbécilles se conten-
tent de promesses.
honneur national. Vieux paradoxe imaginé par
les culottes de peau du temps de l'empire. — Mots
ronflans que ne prononce plus une bouche qui se
respecte tant soit peu. — Expressions boursouflées
qui sont, dans "ordre moral, ce que sont les décou-
vertes de Cuvier dans l'ordre physique : purs mas-
todontes, bons à être scellés et étiquetés dans des ar-
moires vitrées.
patriotisme. On n'ai jamais su la signification
précise de ce mot.
La séance est levée au milieu des plus vifs ap-
plaudissemens.
Mlle Klindworlh (surnommée Agnès) nous promet
de nous donner la suite de ces remarquables leçons.
A.
i mois-
rrui* i
|;ii>ois«"-"' " ~
'r général
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
Le Gérant : léopold pan.mer.
Imprimerie Lange Lévy et Comp., 16, rue du Croissant.
RKUCN.
OCCASION
2 beaux Divans rouges.—Appareils pour
le gaz. R. Neuve-Saint-Marc, 11, au i1*.
PnTTDCr PAR ENJEUX (SWEEPSTAKES) DU GRAN1»
llUUAtfJj SAINT-LÉGER, OUVEKIE A TOUS.
I2,fl00 souscripteurs à liv. st. 5 chaque.
La personne pour laquelle le premier cheval sera tiré re-
cevra liv. st. 20,' 00
Le second cheval, 10,000
Le troisième cheval, 10,000
A partager entrer les personnes ayant tiré les
partans, 10,000
De même les non-partans, 10,000
SWEEPSTAKES, N" 2.
12,000 souscripteurs] à liv. st. 2 chaque.
Le premier cheval, liv. st. 10,000
Le second, 5,000
Le troisième, 3,000
Partagé entre les partans, 3,000
Partagé entre les non-partans, 3,009
SWEEPSTAKES, N° 3.
, ,, 12,000 souscripteurs à liv. st. 1 chaque.
— Manière de croquemitaine moral crée pour con- | Le premier cheval, hv. st. 4,000
tenir les imbécilles et terrifier les petits enfans. - j ^ "Sème, ^OuO
L'insurrection est encore palpitante et déjà une
foule d'historiens improvisés pour la circonstance se
hâtent d'en recueillir les souvenirs pour les trans-
mettre à leurs contemporains. Dans cette course de
vitesse on remarque un jeune Tacite qui porte un
nom illustré par le Siècle et par M. Alexandre Du-
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est le titre d'un petit livre dû à la plume de M. A.
de Bragelonne et qui fourmille d'illustrations, par-
mi lesquelles on distingue les portraits des généraux c^mor
Cavaignac, Bedeau, Négrier et Duvivier. Cette jolie ^ ^u PeuP
brochure est accessible à toutes les bourses fût-ce à mot le pays t«
celle du Juif-Errant. Elle coûte 25 centimes. aux citoyens
blique.
Maintenan
les crêpes fur
courant ordi
Le tamhour qui bat la diane fait lever de bonne heure les des émotions
soldats. — (Le tambour qui bat la Diane, fà;x levé, de bonne, ,
heures, laie solde A.)
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la nalure hu;
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Pide> énergiq,
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Wic.
, Vo»là ce qrj
les Partis, aUî
Slu,emàtrav,
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la Prospérité <
Quelle
Partans, 2,000
Partagé entre les non-partans, 2,000
Les personnes qui désirent s'assurer des chances dans l'une
des courses par enjeux indiquées c-dessus, sont invitées à
en faire promptement la demande, car chaque tirage aura
lieu aussitôt que la souscription sera remplie. Le résultat du
tirage sera annoncé dans le Times, le Bell's Life, et 1 >s
journaux quotidiens de Londres. Pour donner aux dames una
occasion de piendre des actions, les bulletins seront délivrés
sur initia es au choix du souscripteur.
Toutes les communications devront contenir une remis?,
pour qu'il y soit fait attention. Les remises de l'étranger de-
vront être faites payables à Londres ; ruais toutes les commu-
nications devront être adressées à Richard Nicuoli s et
James Parkinson, Temple-Square, Aylesbury, Angleterre.
Le troisième cheval sera décidé par la feuille Bell's Lift.
Les prix seront payés après la course, avec déduction de 10 r.
100. La course aura iieu à Doncaster, le 14 septembre 1848.
Pour prévenir toute fraude, aucun bulletin ne sera valide,
qu'autant que la lettre qui le contiendra portera la marque
delà po.'te d'Aylcsbury. Les souscripu ur» qui vourtiont en-
voyer des banknotes feront bien de les envoyer par moitié prr
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GRANDE CHAUMIÈRE, îST&iffi:
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lat*de la
!tesse libre, 1
SSa^es irr
lesa"nes de
* s^élé ai)
ik ^ande. et
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Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Rébus
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1848
Entstehungsdatum (normiert)
1843 - 1853
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 17.1848, Juillet (No. 183-213), S. 756
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg