Le charivari (17.1848)

™te. 0Q a

18 ?" aVaU
•râleur. ^

e ces apparitj

contredit fm h^

;he Pétait ses i

[ satêt« ^a,588

)(nS1,eS pluW

?' ,.que »«• or51i
nienuon de par,

lenrs lèvres onitot
huissiers? Evideiït

ibles méàitati0î;
couvert la véri,, !

lde 1 égare iS;
îr à imprimer J
l'il jetait ]'etfroi t
! dans le pays,
a garde mobile eii;
les éternels enn^
sont venus à fairJ
2 jusque surlCs,efft
lus de la nation,
avons observé ^ °°
îrre d'eau se sente S
.e voient forcés è{
■i d'avoir ouvertlabot ^
infernale des ind ^
3'agit-il de poisojl ^
naissance que nopi <<l
isurgés ne nous | 1=51
eriitude à cet égard. ^
que le Conslilulk -
r l'autre semaioe.lt ^

ses, oies mesïs || ^

uel il faut atlriktj ^
Autrement on ne tôt

nationale se fit à ^

le. Le citoyen Xai ^

de ce résultat, on ^

îeter et renifle comr ^

r dans les rues k{
jraître, c'est la lit
artine ; ça ne se \

vous voulez, mais,
centimes de ma pi
îarrault avait eu à;

ître, mais telle est i
politique. Ablf
inaire de la Patrie
ie qui a failli»
ce d'eau des SiM

s avec unenL
stant d'après, à pif

les.

:J(Jue chose d'au-*
de la pièce d'eaij
réponse de M. &
le Bdrrault.
elles ledit canari1'
nartine à la Wr'
lexandre DufflM'
un sou ; yourte"

a

W

w

C_3

a

S

ce:

cq
<£

w
eu