LK flHAftfVAftl .
encore plus sceptique que tous ses collègues avait
même soutenu à l'académie de Dijon, en 1835, que
le chêne lui-même était ufi arbre purement imagi-
naire et que l'on n'avait donc jamais pu cueillir sur
ses branches le gui.
Ce raisonnement était serré; aussi les académiciens
de Dijon restèrent stupéfaits.Néanmoins le président,
voulant faire une réponse péremptoire , déclare l'a-
cadémie en permanence.
L'académie de Dijon est donc en permanence de-
puis celle époque, mais elle n'a pas encore pu ré-
pondre au savant sceptique et logicien.
Jugez de la joie qui va éclater dans tout Dijon : le
gui, le fameux gui gaulois vient d'être retrouvé dans
une forêt des environs de Paris.
Ces jours derniers un savant était dans la forêt de
Saint-Germain occupa à chercher des hannetons et
il trouve le gui!
Quelle chance !
C'était un gui, un vrai gui, un pur gui que les
druides avaient oublié de couper.
Notre savant le cueillit avec un eustache de Saint-
Etienne, en guise de serpe d'or. — Dam' on n'a pas
toujours une serpe d'or sous la main !
Ce gui sera transféré en grande pompe au Muséum
d'histoire naturelle pour que tous les professeurs
réunis en concile aient à vérifier s'il mérite bien réel-
lement la qualification de gui gaulois.
Comme pas un seul de ces honorables savans n'en
a jamais vu, ils n'hésiteront pas à reconnaître à l'a- bulletin
nanimité que ce gui doit être reconnu pour du bon
gui.
Puis on le placera dans une des salles de l'établis-
sement, et les Parisiens qui descendent tous des an-
ciens Gaulois, hormis les marchands de peaux de la-
pins qui sont généralement Visigoths, les Parisiens,
dis-je, iront visiter ce gui sacré avec toute la véné-
ration qu'il mérite.
l>s membres de l'académie des Inscriptions et
Belles-Lettres auront très probablement la prétention
de retrouver l'air gaulois sur lequel les druides chan-
taient la fameuse chanson : Au <tui l'an neuf, au
gui l'an neuf!
Il est même possible qu'un savant essaie de re-
trouver la petite polka qui accompagnait cette chan-
son druidique. Rien n'est impossible aux savans
quand ils se dévouent à un travail consciencieux.
Restera ensuite une grande question à traiter, celle
de savoir à quoi diable pouvait servir le gui aux
druides ?
Personne n'a encors osé émettre la plus petite idée
là-dessus, pas même M. Emile de Girardin qui pour-
tant a une idée par jour.
Pour l'amour de D;eu et du gui, je demande que
la Presse consacre un alinéa à cette question.
Une fois que je saurai à quoi diable peut servir le
gui, je me montrerai d'autant plus joyeux qu'on l'ait
enfin retrouvé.
*¥ hippodrome. Le Char du Soleil voit son suc
cès grandir à chaque représentation. Aujourd'hui À
y aura foule pour admirer ce charmant spectacle.
„% château—rouge. Grande Fête héroïque déJ
diée à la garde nationale, à la garde mobile et à Far.
mée. Le jardin présentera ce soir un aspect vérita-
blement olympique, 10,000 lanternes aériennes l
balanceront dans le feuillage des tilleuls et les mas-
sifs des bosquets; des guirlandes de verres de cou-n,,;is-
leurs entoureront la terrasse du Château ; des fuis- ; " "
ceaux de drapeaux tricolores alterneront avec les
trophées militaires. Un orchestre d'harmonie mêlera
les fanfares et les marches guerrières aux quadrilles
et aux polkas de l'orchestre de danse. A 9 heures d
demie, ballon lumineux avec feu d'artifice aérien.
Une heure après, feu d'artifice extraordinaire par
Ruggieri
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
Pour trouver les truffes bonnes, il faut aller en Périgord.
(P, ours trouve E, lettre, UF bonne, ile faux, Tailejrand-
Périgord.)
Le Gérant : léopold panniek.
VENDREZ 41
[3^e la réaction et de
tj^ens dotent de*
tonne: -Uyon. en
i,îSl,l»miiiique;*
|win,libr.;àH<>1'«».
y-Riilais ; à Londres, (
MiiH; dans tous tes
-éuiralei, eUici
C'est enfin samedi que doit avoir lieu au Parc-d'Enghien h
troisième fête des Mille et une Nuits (dite des loups). M. Dé-
siré, dont les fêtes précédentes nous aat fait juger de son ta
lent d'ordonnateur, va, dit-on, se surpasser en habiletéetl
nous donner le spectacle inconnu d'un vrai palais de lumières,!
et d'allées lumineuses offrant à nos regards éblouis les traits^
des principaux artistes français. Nous sommes persuadés que
chacun voudra voir ce bal magnifique où tout Palis dandy
s'est donné rendez-vous, sûr de trouver à toute heure 1ère
tour vrs Paris.
TfitïTAITr ïrffltîVfS Guérison assurée des her
iUJriyUXi illliljui.fi. nies, descentes, sans banda-
ge ni pessaire, et par le thé de bananiers, des flueursiUnn iiPPii„n m
blanches. Pharmacie indienne, rue Geoffroy-.darie, 5.
TÂTJT V TT'UnTT? à 6 neures. à 2 par tête. On aj
kJtkBiila U I1U IL le potage, grosse pièce de pois-
son, un ro>beef. 2 plats de légumes,' ôt;, salade plats d'en-l
tre-mets, dessert et une demi-bouteil e de vin. Dans la même]
maison on trouve un ordinaire à 1 fr., une chambre meublé|
avec le déjeuner et le dîner à 3 fr. par jour.
La réputation dont jouit cette maison, fondée depuis did
ans, donne à M. Besson l'espoir que les amateurs d'une tablq
bien servie, l'honoreront de leur confiance. N° 6, rue Neuve
Jes-Capucines.
HISTQI1E DE LA GABDI MOBILE,
depuis sa création, EVENEMENS DE JUIN, par A. Ballei*
ini.it. f vol. in-18, 50c. Par la poste, 80 c. Chez Pillet, riuj
desGrands-Augustins, 7; Martinon, Ledoyen et Giret.
PRESSES AUTOGRAPHIQUES-LITHOGRAPHIQUES à co
pieret à timbre sec. Guillaume, mécanicien et graveur,
62, rue des Vieux-Augustins.
On vend ce qui les guérit, rue Richelieu, 29
au 1er. Prix : 1 fr. 25 c. le rouleau.
fWTWl'ïîYW TANNIN et «ou contre la syphilis, dar
UliIJuiU 11U11 très, etc. Pharm. faub. Saint-Denis, 9.
Âf^IT ATTDÏIT Cours de M. LEsriNASSE. Traita
huMk&UikteJll à forfait, payable après reeept
Préparation à l'Ecole d'administration. Rue. Raillet, 5.
En vente à 1 fr. au lieu de 4 fr.
LA FRANCE MEDICALE.
Statistique de tous les médecins, pharmaciens, chirurgiens de Paris et des départemens, contenant leur
lieu de résidence. 18 vol. in-8° de 500 pages. Prix : 1 fr. au lieu de i fr. Cet ouvrage est le seul qui con-
tienne^ la nomenclature de tout le corps médical de Paris et des départemens. Adresser un bon sur la
poste à l'éditeur de la France médicale, rue Vivienne, 53, à Paris. (Affranchir.)
société des propriétaires réunis
FOUfi LA LOCATION
Des Propriétés, Usines, Appartenons, Magasins,
Maisons de Campagne, etc.
administration, rue de l'échiquier, 8.
Tous les propriétaires sont priés d'envoyer franco la dési-
gnation c'e leurs locaux vacans, avec le prix de location.
Tout locataire cherchant un local peut s'adresser à l'admi-
nistration qui lui donne gratuitement tous les renseignemens.
Ecrire franco, pour plus amples détails, à M. Not, direc-
teur.
Gestions de propriétés, ventes de maisons et de fonds de
commerce.
fiTIPKCrALEP10BH0IMEl STiSS
te, 34, contre les rhumes, grippes, catarrhes, pituites, asth-
me», enrouemens, irritations de la gorge et de la poitrine,
rix, 1 fr. bO c. la boite.
Ane. Maison»! W m f » mm ma 8, rue des Co-
saint-marc 11 A 11 1 A P fiS' JE
patentée par |fl U K E 11 I H de la Bourse,
le gouverne- Il Fl II I fl |T||Pour les né-
ment. ..I1.X1.JLI.J-Xl.il I Iguciations de
9nm mariage.
Une dame veuve, âgée , possédant une brillante
fortune, désire s'unir à une personne d'une famille
honorable et distinguée. — S'adresser à Mme saint-
marc, ayant à sa disposition plusieurs partis très
avantageux. (Affranchir.)
BONNE OCCASION.
A VENDRE avec grand rabais, tout ou partie d'un mobi-
lier, ensemble les cloisons, armoires et cheminées apparte-
nant au locataire, le tout d'une valeur de 1,500 fr., garnissant
un appartement de 700 fr., à louer, meublé ou non meublé
ru* bavait, n° i, au 2«, pré* l'Opéra-Comiqu*.
VINAIGRE D'ESPAGNE
©E MINVIELLE,
pour la toilette.
Ce vinaigre, dont les darnes d'Espagne font exclusi-
_ "veinent usage pour le soin de 1a toilette, resserre les
tissus, donne à la peau une élasticiiè, enlève le hâle, eflace les;
rides et rappelle le coloris de la jeunesse. — l fr. 50 c. le flacon^
Chez M. Minvielle, 5, pue des Fossés-Montmartre.
On trouve, à la même adresse, rélixir et la poudre de Min-i
vielle, pour les dents, 2 fr. le flacon et \ fr la boîle.
Avis à la province : Ces cosmétiques seront expédiés franco;
aux personnes qui en demandent pour 10 fr. au moins par une]
lettre affranchie contenant un mandat à vue sur Paris, avec l'ai
dresse bien exacte.—Dépôt chez M. James, pharmacien, rue de
Bussy, 9. et chez M, Sainl-Martin, galerie de fer, bonlevart des
Italiens, 19.
ASSEMBLE
Séance
s'est passé tant de c
; l'on s'est souvenu
il sa démission; l'ass
ïîq l'acceptant ce a
ifiçori dont le demi-
"beonvoit bien
kreprésentant tout
avons eu une se
I^M n'avait eate
(lt cet orateur se plai
•entendu Xavier ]
llWdu coude:—P,
orateur s'est é
^«nt à la tribu
!,ïait °»blié son dis
Varce qu'il a la
'f11* de traiter le
«onheur
ij'118 fait l'hor
^ Ncédaitpasaux
ia abouti h îv j
une heure, et
> *rnced<
si:;* "fa
* Zt,cili,é p»»
AVIS DANS L'INTERET DES OUVRIERS, ^«Ittaj, „,,.,;
' Be'
administrations et aux personnes 1 ' «eauno
qui désirent faire trvailler. Hi»„., "Ue
Ie« elev "
Le sieur LOKTIAS, entrepreneur de maçonneri?, dcmeiHU eieve,
rant 51, rue Boehechouart, L Paris, connu pour avoir exécute ! eau.ne a
des travaux importans, se chargerait de tous travaux de bâti- <|i0j> , oue qUe
mens en faisant coopérer dans les bénéfices des ouvriers hou- j, Ui ]0Ue.t:i i
nétes et actifs. '? Ir,^ 11 *e m,
MHn e' et pourc
ntau Ht le
MME WAH|*T amie intime et élève de Mlle LenorI
H&VJlJull mand, prévient sa nombreuse clie*
tèle qu'elle continue de donner ses consultations de midi «
4 naures> rue des Vieux-Augustins, 24. 1
Imprimerie Lange Lévy et Comp.i 16, rue du Croissant, j
ice nUlVe'«eut
que
ami ?
encore plus sceptique que tous ses collègues avait
même soutenu à l'académie de Dijon, en 1835, que
le chêne lui-même était ufi arbre purement imagi-
naire et que l'on n'avait donc jamais pu cueillir sur
ses branches le gui.
Ce raisonnement était serré; aussi les académiciens
de Dijon restèrent stupéfaits.Néanmoins le président,
voulant faire une réponse péremptoire , déclare l'a-
cadémie en permanence.
L'académie de Dijon est donc en permanence de-
puis celle époque, mais elle n'a pas encore pu ré-
pondre au savant sceptique et logicien.
Jugez de la joie qui va éclater dans tout Dijon : le
gui, le fameux gui gaulois vient d'être retrouvé dans
une forêt des environs de Paris.
Ces jours derniers un savant était dans la forêt de
Saint-Germain occupa à chercher des hannetons et
il trouve le gui!
Quelle chance !
C'était un gui, un vrai gui, un pur gui que les
druides avaient oublié de couper.
Notre savant le cueillit avec un eustache de Saint-
Etienne, en guise de serpe d'or. — Dam' on n'a pas
toujours une serpe d'or sous la main !
Ce gui sera transféré en grande pompe au Muséum
d'histoire naturelle pour que tous les professeurs
réunis en concile aient à vérifier s'il mérite bien réel-
lement la qualification de gui gaulois.
Comme pas un seul de ces honorables savans n'en
a jamais vu, ils n'hésiteront pas à reconnaître à l'a- bulletin
nanimité que ce gui doit être reconnu pour du bon
gui.
Puis on le placera dans une des salles de l'établis-
sement, et les Parisiens qui descendent tous des an-
ciens Gaulois, hormis les marchands de peaux de la-
pins qui sont généralement Visigoths, les Parisiens,
dis-je, iront visiter ce gui sacré avec toute la véné-
ration qu'il mérite.
l>s membres de l'académie des Inscriptions et
Belles-Lettres auront très probablement la prétention
de retrouver l'air gaulois sur lequel les druides chan-
taient la fameuse chanson : Au <tui l'an neuf, au
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Il est même possible qu'un savant essaie de re-
trouver la petite polka qui accompagnait cette chan-
son druidique. Rien n'est impossible aux savans
quand ils se dévouent à un travail consciencieux.
Restera ensuite une grande question à traiter, celle
de savoir à quoi diable pouvait servir le gui aux
druides ?
Personne n'a encors osé émettre la plus petite idée
là-dessus, pas même M. Emile de Girardin qui pour-
tant a une idée par jour.
Pour l'amour de D;eu et du gui, je demande que
la Presse consacre un alinéa à cette question.
Une fois que je saurai à quoi diable peut servir le
gui, je me montrerai d'autant plus joyeux qu'on l'ait
enfin retrouvé.
*¥ hippodrome. Le Char du Soleil voit son suc
cès grandir à chaque représentation. Aujourd'hui À
y aura foule pour admirer ce charmant spectacle.
„% château—rouge. Grande Fête héroïque déJ
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blement olympique, 10,000 lanternes aériennes l
balanceront dans le feuillage des tilleuls et les mas-
sifs des bosquets; des guirlandes de verres de cou-n,,;is-
leurs entoureront la terrasse du Château ; des fuis- ; " "
ceaux de drapeaux tricolores alterneront avec les
trophées militaires. Un orchestre d'harmonie mêlera
les fanfares et les marches guerrières aux quadrilles
et aux polkas de l'orchestre de danse. A 9 heures d
demie, ballon lumineux avec feu d'artifice aérien.
Une heure après, feu d'artifice extraordinaire par
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EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
Pour trouver les truffes bonnes, il faut aller en Périgord.
(P, ours trouve E, lettre, UF bonne, ile faux, Tailejrand-
Périgord.)
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VENDREZ 41
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lent d'ordonnateur, va, dit-on, se surpasser en habiletéetl
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TÂTJT V TT'UnTT? à 6 neures. à 2 par tête. On aj
kJtkBiila U I1U IL le potage, grosse pièce de pois-
son, un ro>beef. 2 plats de légumes,' ôt;, salade plats d'en-l
tre-mets, dessert et une demi-bouteil e de vin. Dans la même]
maison on trouve un ordinaire à 1 fr., une chambre meublé|
avec le déjeuner et le dîner à 3 fr. par jour.
La réputation dont jouit cette maison, fondée depuis did
ans, donne à M. Besson l'espoir que les amateurs d'une tablq
bien servie, l'honoreront de leur confiance. N° 6, rue Neuve
Jes-Capucines.
HISTQI1E DE LA GABDI MOBILE,
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PRESSES AUTOGRAPHIQUES-LITHOGRAPHIQUES à co
pieret à timbre sec. Guillaume, mécanicien et graveur,
62, rue des Vieux-Augustins.
On vend ce qui les guérit, rue Richelieu, 29
au 1er. Prix : 1 fr. 25 c. le rouleau.
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UliIJuiU 11U11 très, etc. Pharm. faub. Saint-Denis, 9.
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Préparation à l'Ecole d'administration. Rue. Raillet, 5.
En vente à 1 fr. au lieu de 4 fr.
LA FRANCE MEDICALE.
Statistique de tous les médecins, pharmaciens, chirurgiens de Paris et des départemens, contenant leur
lieu de résidence. 18 vol. in-8° de 500 pages. Prix : 1 fr. au lieu de i fr. Cet ouvrage est le seul qui con-
tienne^ la nomenclature de tout le corps médical de Paris et des départemens. Adresser un bon sur la
poste à l'éditeur de la France médicale, rue Vivienne, 53, à Paris. (Affranchir.)
société des propriétaires réunis
FOUfi LA LOCATION
Des Propriétés, Usines, Appartenons, Magasins,
Maisons de Campagne, etc.
administration, rue de l'échiquier, 8.
Tous les propriétaires sont priés d'envoyer franco la dési-
gnation c'e leurs locaux vacans, avec le prix de location.
Tout locataire cherchant un local peut s'adresser à l'admi-
nistration qui lui donne gratuitement tous les renseignemens.
Ecrire franco, pour plus amples détails, à M. Not, direc-
teur.
Gestions de propriétés, ventes de maisons et de fonds de
commerce.
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me», enrouemens, irritations de la gorge et de la poitrine,
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patentée par |fl U K E 11 I H de la Bourse,
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BONNE OCCASION.
A VENDRE avec grand rabais, tout ou partie d'un mobi-
lier, ensemble les cloisons, armoires et cheminées apparte-
nant au locataire, le tout d'une valeur de 1,500 fr., garnissant
un appartement de 700 fr., à louer, meublé ou non meublé
ru* bavait, n° i, au 2«, pré* l'Opéra-Comiqu*.
VINAIGRE D'ESPAGNE
©E MINVIELLE,
pour la toilette.
Ce vinaigre, dont les darnes d'Espagne font exclusi-
_ "veinent usage pour le soin de 1a toilette, resserre les
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rides et rappelle le coloris de la jeunesse. — l fr. 50 c. le flacon^
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On trouve, à la même adresse, rélixir et la poudre de Min-i
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aux personnes qui en demandent pour 10 fr. au moins par une]
lettre affranchie contenant un mandat à vue sur Paris, avec l'ai
dresse bien exacte.—Dépôt chez M. James, pharmacien, rue de
Bussy, 9. et chez M, Sainl-Martin, galerie de fer, bonlevart des
Italiens, 19.
ASSEMBLE
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s'est passé tant de c
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il sa démission; l'ass
ïîq l'acceptant ce a
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"beonvoit bien
kreprésentant tout
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I^M n'avait eate
(lt cet orateur se plai
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llWdu coude:—P,
orateur s'est é
^«nt à la tribu
!,ïait °»blié son dis
Varce qu'il a la
'f11* de traiter le
«onheur
ij'118 fait l'hor
^ Ncédaitpasaux
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AVIS DANS L'INTERET DES OUVRIERS, ^«Ittaj, „,,.,;
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administrations et aux personnes 1 ' «eauno
qui désirent faire trvailler. Hi»„., "Ue
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Le sieur LOKTIAS, entrepreneur de maçonneri?, dcmeiHU eieve,
rant 51, rue Boehechouart, L Paris, connu pour avoir exécute ! eau.ne a
des travaux importans, se chargerait de tous travaux de bâti- <|i0j> , oue qUe
mens en faisant coopérer dans les bénéfices des ouvriers hou- j, Ui ]0Ue.t:i i
nétes et actifs. '? Ir,^ 11 *e m,
MHn e' et pourc
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MME WAH|*T amie intime et élève de Mlle LenorI
H&VJlJull mand, prévient sa nombreuse clie*
tèle qu'elle continue de donner ses consultations de midi «
4 naures> rue des Vieux-Augustins, 24. 1
Imprimerie Lange Lévy et Comp.i 16, rue du Croissant, j
ice nUlVe'«eut
que
ami ?
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Études sociales, 2
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: La famille. - Mais si l’on abolit la famille qui donc me soignera dans ma vieillesse?... - Mais parbleu dans votre vieillesse on vous mettra aux enfans trouvés!...
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1848
Entstehungsdatum (normiert)
1843 - 1853
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Thema/Bildinhalt (normiert)
Zweispitz <Motiv>
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 17.1848, Août (No. 214-244), S. 895
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Rébus
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
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R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1848
Entstehungsdatum (normiert)
1843 - 1853
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
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Reproduktionstyp
Digitales Bild
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Public Domain Mark 1.0
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Le charivari, 17.1848, Août (No. 214-244), S. 896
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg