Le charivari (17.1848)

et détournerait

être libre

frère

a,nanceSetàsesH

lié'C'est la triade

naturelle
^nt par trois ê(re

4

association de tro,
ième la c 1 >

» non plus. %

là sur le boulevard^

i et relu le beau tnaw.
;ans rien y compreé-

a plus à s'inquiète li
tvée du choléra. M

mener une vie de Ci.

de la loi el de l'ami
ma triade naturelle;s
îvé celle du philosoç.
nt il est la sensatiot
nt et M. Cabet la œ
péciale quelconque,
vive la triade

fini, le Père Z

vaut «ne autre,1»
■usement vers le»
nennrèsbien!
prise pour l»t*

tre fenêtre

LES VESUVIEN N ES .

TRAGIQUE,

! j'ai à vous dire, je »
de m'exprimerenvti!
micien?

în me disant que si
m'écouteriez prol*
: contenle de la prose,
:bé était dans son plein
er, à minuit, ce qui*
écis, le quai Confiât:
e mystérieuse,
ïne, mais la vériféi
aux artistes de Torche

nière fois de sa vie, ava
le se transporter sens a
irénade espagnole, wm-
Ue, — quand «ele \m

ae s'adressait cethom-

Rachel qui,non ti

son balcon dans le si«

gique arrachée au sot

Chez kkrbPl. de la Bourse

cris en vers, maisiet UN HOMME DECOUVERT POUF AVOIR ETE SURPRIS

en^ouXfnneC? -Bourgeois si vous voulez ravoir votre chapeau c'est cinq sous