Le charivari (17.1848)

REVUE COMIQUE DE LA SEMAINE PAR CHAH.

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K-keys; dont kcon-
lng]ais, roule sans
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ires qui se laisse^
ueue des chevauï:
qui s étudient ato-
ll ces baronnes Jt
e partie l'ornement
îarquer en effet p
:re sur la pureté d<
il s'y glisse souvent
ngée.

me de Chantilly, on!
c o©s gra-ves \atm-
3n, ni des boulera-
it l'Europe, le mon-
srdinaire, exclusive*
i de poulains et dt

men continuaient je
àshionables à lentj
t rien à dire. Mais»

c'est que l'état pet-
•tes primes. Il non:
;es actuelles, les oc
rent public ne n»
: les courses à h
rimitif.qui était réel-
: chevaline, ne
in spectacle, unptij
de lansquenet hi
le grecs
s en ra
ées, qui en oui

cherché àlesrépa»
disaient l'écoule*
en un mot, aux
des courses, »'

emj a a e ■

LA POSTE AUX COMMISSIONS. — Ne vous gênez pas... Au lieu de porte" ma lettre, vous la — L'omnibus coûte six sous, vous, mon ami, vous ne coûtez

Moi aussi j'ai un de ces ustensiles de voyage, mais au lisez?... , , . q«e quatre sous ; j'aime mieux ça. Marchez, je vous prends a la

„,nins ie le cache et ne le mets pas comme ce monsieur sur ma — Mais, monsieur, comment voulez-vous que je sache qu elle course.

J est pressée, si je ne la lis pas?...

...„n, vous êtes diablement mal monté!... Je vous en- STRATAGÈME D'UN HOMME FATIGUÉ. M. CABET, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

gage à vous remonter autrement au premier relais. _ ^m m\ porlez vite cene lettre, elle est pressée... (Le voyageur.)—Comment! la France ça n'est plus ici?

' v (M. Cabet.) —Non, monsieur, la France est maintenant en

Amérique; j'ai envoyé tout le monde en Icarie, il ne reste plus
personne ici...

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mplirait i»W^
moeavres
,rent les agioté
lus qu'un jeu*'
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— Comment! je ne suis plus représentant, parce que je me AMLMMiiii™.
lis la barbe?

— Non, monsieur, vous ne pouvez être représentant et bar-