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[d'invasion de la banlieue
LES BALAYEUSES FIN* DE... NUIT
— T’as rien trouvé aujord'hui?
— Rien qu’un’ vieille berloque de
tocante en toc.
MESDEMOISELLES LES LYCEENNES ET LEUR
SUIVANTE
L’émancipation des blanches.
PREMIER CHAPITRE DUNE
INTRIGUE
C’est le vieux d’hier, ma
chère, et c’est bien nous qu’il
RM!? |ü
r*
LA MARCHANDE DES QUATRE-SAISONS
Naguère, elle faisait son persil;
maintenant, elle le vend.
HlMAWt
LE DÉJEUNER DE L APPRENTIE
Une coupe de wallace pre-
mière et un croissant de la
veil.Is-
Une queue qui rappelle « les plus 'mauvais
lours de notre histoire »
P/lM Jvl UHflTA
EMBALLÉES
Du poste chez le commissaire, en attendant
.e classique omnibus de la Préfecture.
UNE SAINTE FEMME
Ne raterait pas la messe de
huit heures pour tout au
monde, autant par pure hy-
giène que par conviction.
tOflfCÊtïJ
Heureusement que le Petit Jour-
nal permet une contenance qui
masque la mission dont on charge
la bonne.
Opération microbienne de mesdames les
concierges, qui consiste à secouer les pail-
lassons au nez des passants.
La petite blanchisseuse, — qui ne veut
pas rater l’heure à laquelle se lève le
nouveau client.
L-L-lj-J-
lovrnu
| [piW
LA PREMIERE CUEILLETTE DES HALLES
La demoiselle de magasin ma-
nœuvre le torchon avec une grâce „„CUW1C uu.
infinie, en vous saupoudrant des mide, pour savoir si Gaston épou- La nourriture du corps et de l’esprit,
poussières de son magasin. sera Marguerite
LES ROMANTIQUES LA PORTEUSE DE PAIN ET I A MARCHANDE
Dévorent le journal encore hu- DE journaux
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[d'invasion de la banlieue
LES BALAYEUSES FIN* DE... NUIT
— T’as rien trouvé aujord'hui?
— Rien qu’un’ vieille berloque de
tocante en toc.
MESDEMOISELLES LES LYCEENNES ET LEUR
SUIVANTE
L’émancipation des blanches.
PREMIER CHAPITRE DUNE
INTRIGUE
C’est le vieux d’hier, ma
chère, et c’est bien nous qu’il
RM!? |ü
r*
LA MARCHANDE DES QUATRE-SAISONS
Naguère, elle faisait son persil;
maintenant, elle le vend.
HlMAWt
LE DÉJEUNER DE L APPRENTIE
Une coupe de wallace pre-
mière et un croissant de la
veil.Is-
Une queue qui rappelle « les plus 'mauvais
lours de notre histoire »
P/lM Jvl UHflTA
EMBALLÉES
Du poste chez le commissaire, en attendant
.e classique omnibus de la Préfecture.
UNE SAINTE FEMME
Ne raterait pas la messe de
huit heures pour tout au
monde, autant par pure hy-
giène que par conviction.
tOflfCÊtïJ
Heureusement que le Petit Jour-
nal permet une contenance qui
masque la mission dont on charge
la bonne.
Opération microbienne de mesdames les
concierges, qui consiste à secouer les pail-
lassons au nez des passants.
La petite blanchisseuse, — qui ne veut
pas rater l’heure à laquelle se lève le
nouveau client.
L-L-lj-J-
lovrnu
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LA PREMIERE CUEILLETTE DES HALLES
La demoiselle de magasin ma-
nœuvre le torchon avec une grâce „„CUW1C uu.
infinie, en vous saupoudrant des mide, pour savoir si Gaston épou- La nourriture du corps et de l’esprit,
poussières de son magasin. sera Marguerite
LES ROMANTIQUES LA PORTEUSE DE PAIN ET I A MARCHANDE
Dévorent le journal encore hu- DE journaux
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Paris-vivant - Les Matinales, par Draner
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
ZST 207 D RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1893
Entstehungsdatum (normiert)
1888 - 1898
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 62.1893, Mai, S. 563
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg