s'élèvera donc à 526.000 + 71.000 + 175.000... = L. E. 772.000
Somme à valoir...... » 78.000
Total...... L. E. 850.000
5° Utilisation des chutes pour le travail du coton.
Passons maintenant à un autre ordre d'idées des plus impor-
tantes: La fourniture des chevaux-vapeur par l'électricité pour le
travail du coton.
Nous avons indiqué plus haut que, à Assiout, 4.030 chevaux-
vapeur seraient utilisés pour les usines de coton de la Haute-
Egypte ; les autres usines seront placées à proximité du Caire, pour
l'utilisation des cotons de la Menoufieh, de la Charquieh et de la
Galioubieh.
La force nécessaire à ces dernières usines sera fournie par un Barrage du Nil
barrage en travers du Nil placé en amont du Caire et produisant ^j^' enamont
un réièvement du plan d'eau d'étiage de 5m,50 en dehors du relève-
ment du barrage actuel ; cette force sera égale à
215.000-xs- 50- = 20 000 cilevaux_vapeur environ.
Sur ces 20.000 chev.-v 2.000 chev.-v seront utilisés pour les ProductjQn
manœuvres du barrage, et 2.000 pour les transports; il restera 20,ooo chev.-v.
donc 16.000 chev-v. destinés aux usines à coton du Caire qui
pourraient être établies entre Hélouan et Matarieh, le long du
chemin de fer, sur la lisière du désert et aussi près que possible
delà compagnie des eaux du Caire. Eu résumé avec les 4.000
chevaux d'Assiout, on aura 20,000 chevaux pour les usines à coton.
On peut déterminer la quantité de coton pouvant être traitée au utilisation de
Caire à l'aide de ces nouvelles forces. cette force-
On admet qu'une broche pour cotonnade commune travaille
environ 50 k. de coton ; les usines, comportant 15,000 broches
environ, pourront travailler 15,000 X 50 k. = 750,000 k.
Pour traiter 100,000 tonnes de coton, moitié environ de la pro-
duction totale moyenne de l'Egypte (200,000 tonnes), il faudra donc
i 00.000 tonnes -i on ,
- = 130 usines.
750 tonnes
Somme à valoir...... » 78.000
Total...... L. E. 850.000
5° Utilisation des chutes pour le travail du coton.
Passons maintenant à un autre ordre d'idées des plus impor-
tantes: La fourniture des chevaux-vapeur par l'électricité pour le
travail du coton.
Nous avons indiqué plus haut que, à Assiout, 4.030 chevaux-
vapeur seraient utilisés pour les usines de coton de la Haute-
Egypte ; les autres usines seront placées à proximité du Caire, pour
l'utilisation des cotons de la Menoufieh, de la Charquieh et de la
Galioubieh.
La force nécessaire à ces dernières usines sera fournie par un Barrage du Nil
barrage en travers du Nil placé en amont du Caire et produisant ^j^' enamont
un réièvement du plan d'eau d'étiage de 5m,50 en dehors du relève-
ment du barrage actuel ; cette force sera égale à
215.000-xs- 50- = 20 000 cilevaux_vapeur environ.
Sur ces 20.000 chev.-v 2.000 chev.-v seront utilisés pour les ProductjQn
manœuvres du barrage, et 2.000 pour les transports; il restera 20,ooo chev.-v.
donc 16.000 chev-v. destinés aux usines à coton du Caire qui
pourraient être établies entre Hélouan et Matarieh, le long du
chemin de fer, sur la lisière du désert et aussi près que possible
delà compagnie des eaux du Caire. Eu résumé avec les 4.000
chevaux d'Assiout, on aura 20,000 chevaux pour les usines à coton.
On peut déterminer la quantité de coton pouvant être traitée au utilisation de
Caire à l'aide de ces nouvelles forces. cette force-
On admet qu'une broche pour cotonnade commune travaille
environ 50 k. de coton ; les usines, comportant 15,000 broches
environ, pourront travailler 15,000 X 50 k. = 750,000 k.
Pour traiter 100,000 tonnes de coton, moitié environ de la pro-
duction totale moyenne de l'Egypte (200,000 tonnes), il faudra donc
i 00.000 tonnes -i on ,
- = 130 usines.
750 tonnes